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    Ce moment de l'histoire, peu connu, où les Américains ont failli gouverner... la France

    Par Nathan Weber · Publié mercredi 19 octobre 2016 à 15h

    C’est un point méconnu de l’histoire. Un détail que l’on ne vous a probablement jamais enseigné en cours d’histoire… et pourtant, cela peut changer de manière radicale la perception que vous pouvez avoir des événements de la Seconde Guerre Mondiale — plus particulièrement, de son héritage et de son impact sur le monde après sa résolution, le fameux « Nouvel Ordre Mondial » souhaité par les alliés vainqueurs.

     

    On nous dépeint souvent cela de manière un petit peu idéalisée (en tout cas simplifiée) : Churchill, Roosevelt et de Gaulle, triomphants, main dans la main, rétablissent la paix et préparent un avenir de paix et de prospérité pour l’Europe et, a fortiori, pour le Monde.

     

    La France, accueillant à bras ouverts les Américains salvateurs qui viennent lui rendre sa vieille liberté en clamant « La Fayette, nous voilà ! »

     

     

     

    Et pourtant, ce beau récit de fraternité et d’entraide entre les nations est à tempérer fortement.

     

    Car la vérité est là : Charles de Gaulle a toujours refusé catégoriquement de participer aux commémorations du 6 juin 1944, date du débarquement allié en Normandie

     

     

     

    Mais pourquoi ? Est-ce donc cela, la fameuse ingratitude Française, cette arrogance bien de chez nous qui nous est si souvent reprochée par nos « sauveurs » d’outre-Atlantique ?

     

    En fait, si l’auteur de l’appel du 18 Juin a gardé une certaine rancœur face à tout cela, c’est parce que les événements qui ont permis la fin du nazisme en France ne se sont pas déroulés d’une manière aussi idyllique que ce qui nous est présenté. Car après leur arrivée sur les côtes françaises, les Américains se sont plutôt conduits en colonisateurs… qu’en libérateurs !

     

     

     

     

    Libérer… ou annexer ?

     

    Oui, si les Américains se sont engagés sur le sol Français, c’est parce qu’ils voulaient… gouverner la France. Dès 1941, deux ans après le début de la Seconde Guerre Mondiale, Washington avait déjà prévu d’imposer à la France un statut similaire à celui des futurs vaincus, l’Italie, l’Allemagne et le Japon.

     

     

    Il s’agit d’un statut de protectorat, un AMGOT (Allied Military Government of Occupied Territories). En clair, un gouvernement militaire américain destiné à contrôler les territoires occupés…

     

    Ce gouvernement aurait aboli toute souveraineté de la France — y compris le droit de frapper sa propre monnaie !

     

     

     

    Voici ce qu’aurait déclaré de Gaulle à Alain Peyrefitte, des propos qu'il rapportera plus tard :

     

     

    « Le débarquement du 6 juin, ça a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s’apprêtaient à le faire en Allemagne !

     

    Ils avaient préparé leur AMGOT qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l’avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis ! »

     

     

     

    Dès les premiers jours suivant leur débarquement en Normandie, les soldats Américains commencèrent à distribuer ces billets à la population. Vous ne remarquez rien ?

     

     

     

     

    Oui, niveau coloris et graphisme du billet, cela ressemble à s'y méprendre à des dollars américains…

     

    En fait, c’est peu ou prou la même chose, à ceci près que cette monnaie est libellée en francs, sans doute pour faire plus « couleur locale ». Et pour cause : ces « dollars français » ont été imprimés par le Bureau of Engraving and Printing, le même organe qui se charge de la création des documents officiels du gouvernement fédéral américain !

     

    La circulation de ces billets est d’ailleurs très mal accueillie par la population dans son ensemble, notamment par les commerçants. Lorsque François Coulet, le Commissaire de la République, apprend que les armées américaines distribuent leur propre monnaie sur le sol français, il recommande aux banques de simplement les encaisser comme argent comptant SANS les remettre en circulation, afin d’endiguer leur diffusion.

     

    Ce n’est qu’avec l’arrivée de Charles de Gaulle sur le sol Français, le 27 juin, que le projet d’AMGOT que les Américains voulaient imposer s’effondra pour de bon. Le général, bouillant de colère, dénonça l’utilisation par les troupes américaines de cette « fausse monnaie », et en fit interdire la circulation et l’encaissement par les commerçants.

     

     

     

    Mais pourquoi, au juste, Washington voulait-il retirer ainsi sa souveraineté au pays nouvellement libéré ?

     

    Pour certains historiens américains, c’est parce que Roosevelt ne pouvait pas supporter l’idée que de Gaulle, « apprenti dictateur » selon lui, accède au pouvoir. L’idée d’un président Américain qui voudrait épargner à la France d’être gouvernée par un militaire qui conserverait le pouvoir est plutôt plaisante… Mais lorsqu’on se penche sur certains faits, la réalité semble être malheureusement toute autre.

     

    Ainsi , De Gaulle parle volontiers du comportement méprisant de Churchill et de Roosevelt à son égard, de l’exclusion totale des armées françaises lors du débarquement, et d’une volonté d’imposer à la France une « seconde occupation » afin de faire main basse sur les richesses de son empire colonial.

     

     

     

    Voici le souvenir d’un entretien avec le Général de Gaulle, tel que rapporté par Alain Peyrefitte dans son ouvrage « C’était de Gaulle », Éditions de Fallois/Fayard (1997).

     

    Le sujet de la conversation traite du refus catégorique du Général de se rendre à la cérémonie commémorant les vingt ans du débarquement, en 1964.

     

     

    « Alain Peyrefitte (l’air candide) : ”Croyez-vous, mon général, que les Français comprendront que vous ne soyez pas présent aux cérémonies de Normandie ?

     

    Charles de Gaulle (sévèrement) : – C’est Pompidou qui vous a demandé de revenir à la charge ? (Je ne cille pas). Eh bien, non ! Ma décision est prise ! La France a été traitée comme un paillasson ! Churchill m’a convoqué d’Alger à Londres, le 4 juin. Il m’a fait venir dans un train où il avait établi son quartier général, comme un châtelain sonne son maître d’hôtel. Et il m’a annoncé le débarquement, sans qu’aucune unité française ait été prévue pour y participer. Nous nous sommes affrontés rudement. Je lui ai reproché de se mettre aux ordres de Roosevelt, au lieu de lui imposer une volonté européenne (il appuie). Il m’a crié de toute la force de ses poumons : ”De Gaulle, dites-vous bien que quand j’aurai à choisir entre vous et Roosevelt, je préférerai toujours Roosevelt ! Quand nous aurons à choisir entre les Français et les Américains, nous préférerons toujours les Américains ! Quand nous aurons à choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large ! ” (Il me l’a déjà dit. Ce souvenir est indélébile.)

     

    ”Le débarquement du 6 juin, ç’a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s’apprêtaient à le faire en Allemagne ! Ils avaient préparé leur AMGOT, qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l’avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis.

     

    ” C’est exactement ce qui se serait passé si je n’avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous-préfets, mes comités de libération ! Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n’est pas là ! »

     

     

     

    Selon l’analyse qu’en livre Annie Lacroix-Riz, Professeur d’histoire contemporaine à l’Université Paris-VII dans les pages du Monde Diplomatique, les Américains se sont conduits en France exactement de la même manière qu’avec d’autres pays d’Amérique Latine (ou du Moyen-Orient ?) En témoigne la répugnance de Washington à traiter avec Charles de Gaulle, dont le nom commençait à unifier la Résistance et les Français, et « l’affection » des Américains pour certaines des figures de la collaboration et d’anciens du régime de Vichy tel que François Darlan…

     

    « Les États-Unis pratiquèrent à la fois le veto contre de Gaulle, surtout lorsque son nom contribua à unifier la Résistance, et une certaine complaisance mêlée de rigueur envers Vichy. À l’instar des régimes latino-américains chers à Washington, ce régime honni aurait, à ses yeux, l’échine plus souple qu’un gouvernement à forte assise populaire », explique-t-elle.

     

    Le Président Roosevelt refusa toujours de reconnaître la légitimité de la France Libre, préférant maintenir une ambassade auprès de Pétain et du régime de Vichy jusqu’en novembre 1942, puis usant des manœuvres les plus tortueuses pour tenter d’écarter Charles de Gaulle du pouvoir et installer, à sa place, des dirigeants plus malléables.

     

     

     

     

     

    Pour de Gaulle, « Les Américains ne se souciaient pas plus de libérer la France que les Russes de libérer la Pologne. »

     

    De Gaulle livre un portrait assez sombre de la politique et des ambitions américaines de l’époque :

     

    « Vous croyez que les Américains et les Anglais ont débarqué en Normandie pour nous faire plaisir ? Ce qu’ils voulaient, c’était glisser vers le nord le long de la mer, pour détruire les bases des V1 et des V2, prendre Anvers et, de là, donner l’assaut à l’Allemagne. Paris et la France ne les intéressaient pas. Leur stratégie, c’était d’atteindre la Ruhr, qui était l’arsenal, et de ne pas perdre un jour en chemin.

     

    Churchill avait demandé à Eisenhower d’essayer de libérer Paris pour Noël. Il lui avait dit : « Personne ne pourra vous en demander davantage.

    Eh bien si, nous étions décidés à demander davantage ! Le peuple de Paris s’est soulevé spontanément et il aurait été probablement écrasé sous les décombres, comme le peuple de Varsovie, s’il n’avait pas été soutenu. Mais il y avait des hommes qui, trois ans plus tôt, à Koufra, s’étaient juré de libérer Paris, puis Strasbourg. Ce sont eux qui ont libéré Paris avec son peuple. […] Les Américains ne se souciaient pas plus de libérer la France que les Russes de libérer la Pologne. Ce qu’ils voulaient, c’était en finir avec Hitler, en essuyant le moins de pertes possibles. Ce qu’ils voulaient épargner, c’était le sang des boys, ce n’était pas le sang, les souffrances et l’honneur des Français. »


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    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’La dette est une construction artificielle créée par les banques avec le consentement des états pour dépouiller les peuples et en faire des ésclaves a leur solde Les gouvernements sont au courant,et ils laissent faire! honte a eux (Michel Rocard)’

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    Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias

    Publié le 12-11-2011 à 15h07 - Modifié à 10h50

     

    Avatar de plumedepresse

    Par plumedepresse

    Journaliste engagé

    LE PLUS. On parle beaucoup de crise et de dette en ce moment, mais de quelle manière ? Le journaliste Olivier Bonnet reproche aux médias de relayer la théorie libérale, sans s'interroger sur des étapes fondamentales comme celle de la loi Pompidou-Giscard en 1973.

     

    C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En cause, la loi Pompidou-Giscard de 1973 sur la Banque de France, dite "loi Rothschild", du nom de la banque dont était issu le président français, étendue et confortée ensuite au niveau de l'Union européenne par les traités de Maastricht (article 104) et Lisbonne (article 123).

     

     

     

    D'une seule phrase découle l'absolue spoliation dont est victime 99% de la population : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France".

     

     

    Contraint d'emprunter aux banques privées

    En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Depuis l'application de ce principe, la finance et son infime oligarchie donnent la pleine mesure de leur asservissement des peuples, en une spirale exponentielle d'accroissement des inégalités.

     

    Le pouvoir est désormais aux mains des créanciers privés, qui l'exercent au bénéfice exclusif d'intérêts particuliers, quand la puissance publique a renoncé à son devoir de protéger l'intérêt général. La démocratie, étymologiquement pouvoir du peuple, est morte. On le voit en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, en France...

     

    Qui gouverne ? "La troïka" - Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne - resserrant toujours davantage son emprise jusqu'à l'étranglement des peuples. Et l'on pérore sans fin sur les plateaux de télévisions, sur les ondes et dans les colonnes de la presse sur "l'insupportable fardeau de la dette", "la France en faillite", "les nécessaires sacrifices", que "nous ne pouvons pas continuer à vivre au-dessus de nos moyens" et que, d'ailleurs, "les Français l'ont compris".

     

    Silence médiatique

    Inlassable propagande des conservateurs-libéraux ? Bien sûr, mais relayée par le silence complice des médias. Et c'est ainsi que s'imposent dans l'opinion les apparentes évidences biaisées qui prétendent l'austérité inéluctable, contre la justice et l'intelligence. Deux ans d'austérité en Grèce déjà, pour quel résultat ?

     

    Avec toujours la même justification simpliste et manipulatrice, résumée par la question posée par un journaliste d'Europe 1 à Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle : "Mais comment des pays européens endettés peuvent-ils faire autrement pour réduire leurs déficits ?"

     

    "Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts", résume Mai68.org. Faisons la soustraction : sans les intérêts illégitimes encaissés par les banksters financiers privés, la dette publique française se serait élevée, fin 2008, à 21,4 milliards d'euros - au lieu de 1327,1 milliards ! Un escroc peut-il rêver pareil butin ? Et personne ne dénonce jamais ce scandale absolu ! A part Mélenchon et l'extrême droite - qui ne le fait que par opportunisme, étant entendu qu'elle a toujours été au service zélé du capitalisme libéral et ne remettra donc jamais en cause son empire...

     

     

     

    Mais les éminents confrères ? Les Calvi, Barbier, Demorand, Joffrin, Apathie, Bourdin, Pujadas ou qui savons-nous encore ? Ceci ressemble bien à une omerta. Et à une honteuse trahison de leur mission d'informer.

     

     

     

     

     

    Article initialement publié sur plumedepresse.

     

    Voir aussi, sur le même sujet, le projet de documentaire du mensuel Regards, L'arnaque du siècle


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    Mahomet pédophile

     

    Mahomet est aussi un pédophile notoire. Il s'est marié avec Aïsha lorsqu'elle avait 6 ans. Aïsha était la fille d'Abu Bakr, le meilleur ami de Mohammed. Il a donc donné sa fille pour épouse au prophète. Le mariage a été consommé à ses 9 ans, selon les Hadiths.

     

     

     

     Université de Californie

     

    Travail de recensement de tous les hadiths

     

    Volume 5, Livre 58, Numéro 234 :Aisha commentée :Le Prophète m'a engagé quand j'étais une fille de six (ans). Nous sommes allés à Médine et avons séjourné chez Bani-al-Harith bin Khazraj. Puis je suis tombé malade et mes cheveux sont tombés. Plus tard, mes cheveux ont poussé (à nouveau) et ma mère, Um Ruman, est venue me voir pendant que je jouais dans une balançoire avec certaines de mes amies. Elle m'a appelé et je suis allé la voir, ne sachant pas ce qu'elle voulait me faire. Elle m'a pris par la main et m'a fait rester debout à la porte de la maison. J'étais alors à bout de souffle, et quand ma respiration est devenue correcte, elle a pris de l'eau et m'a frotté le visage et la tête avec. Puis elle m'a emmené dans la maison. Là, dans la maison, j'ai vu des femmes Ansari qui ont dit : « Meilleurs vœux et la bénédiction d'Allah et bonne chance ». Puis elle m'a confié à eux et ils m'ont préparé (pour le mariage). 






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