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    Yves Roucaute : « Le CO2, n’est pas une molécule polluante ou dangereuse, mais une source d’oxygène et d’énergie »

    Le livre « L’obscurantisme vert* » du professeur d’université Yves Roucaute vient de paraître aux éditions du Cerf, et c’est un régal.

     

     

    La vérité sur le réchauffement climatique, le CO2 et les écologistes de pacotille :

     

    Le taux de CO2 a toujours été supérieur à celui d’aujourd’hui, au cours des 460 derniers millions d’années, y compris pendant certains épisodes glaciaires.

     

    Le CO2, n’est pas une molécule polluante ou dangereuse, mais une source d’oxygène et d’énergie : ce gaz, que nous expirons en permanence (l’humain expire environ un kilo de CO2 par jour) est un bienfait pour l’humanité : il permet d’augmenter les rendements agricoles et de lutter contre les famines.

     

    Les écologistes, pour une partie, ne connaissent pas les dossiers, et profitent de l’inculture des Peuples, pour leur faire croire que le CO2 est responsable d’un réchauffement climatique (très modeste et naturel)…et se faire élire au mépris de la vérité.

     

     

     

    Il y a 2,5 à 3,8 milliards d’années, les températures étaient supérieures à 55 degrés…et le taux de CO2, mille fois plus important qu’en 2022.

     

    Il y a 500 millions d’années, le taux de CO2 était de huit à dix-sept fois supérieur à ce qu’il est aujourd’hui, soit 3000 à 7000 ppm (partie par million) contre 415 ppm en 2022.

     

    Lors de l’Eocène ( entre – 54 et – 49 millions d’années) , les températures moyennes étaient de 29°C sur terre, les mers étaient à 40°C, et le taux de CO2…de 1600 ppm (partie par million, soit…QUATRE fois plus qu’aujourd’hui )

     

    Si l’on traduit les PPM (parties par million) en pourcentage «classique, on obtient 0,044 % de CO2 dans notre atmosphère en 2022, contre 0,2 % il y a 49 millions d’années, soit cinq fois plus.

     

    Le principal gaz a effet de serre est la vapeur d’eau, qui joue un rôle majeur dans le réchauffement climatique, avec le méthane.

     

    Il y a deux cents millions d’années (fin du Trias ) 80% des espèces ont disparu, pour une cause non définie, alors que l’humain…n’était pas né.

     

    Il y a 66 millions d’années, 76% des espèces sont à nouveau exterminées (y compris les dinosaures)

     

    Evidemment, ni l’humain, ni le CO2, ni les réchauffements et refroidissements climatiques naturels permanents sur notre planète, n’étaient «responsables».

     

    Entre deux glaciations, il y a 5,9 millions d’années arrive la «crise Messénienne» : un réchauffement brutal qui dure… 630 mille ans !

     

    …le niveau des mers baisse de…150 mètres… les températures de surface de la mer, passent de 19 à…27 degrés.

     

    Puis, juste après le Messénien, vient le Pliocène inférieur (de- 5,3 à – – 4,7 millions d’années)… arrive une période.. ; encore plus chaude !

     

    … puis une période froide (entre -4,7 et – 4 millions d’années)… puis encore une période de réchauffement, entre -4 et -3,5 millions d’années.

     

    Les températures sont supérieures de.. .8 degrés par rapport à celles d’aujourd’hui, et jusqu’à 15 degrés de + en Arctique. Le niveau des mers monte de… 25 mètres.

     

    Et le CO2 ?

     

    Entre 300 et 400 ppm (partie par million) contre 412 en 2022.

     

    Toute l’Histoire du climat nous démontre qu’il n’y a AUCUNE corrélation entre le taux de CO2 et une variation de la température NATURELLE.

     

    Au Xème siècle, peu avant les croisades, commence «l’optimum climatique médiéval» ( de 950 à 1270 )…

     

    … suivi d’un petit âge glaciaire de 1270 à 1500… suivi d’un nouveau réchauffement de 1500 à 1560… suivi d’un nouveau petit âge glaciaire, de 1560 à 1830… suivi d’un réchauffement… puis d’un refroidissement de 1870 à 1910…

     

    Puis d’un léger réchauffement (environ + un degré en 120 ans)… et donc…

     

    … un nouveau refroidissement attendu dans les années 2030/2040.

     

    Dès Qu’un record de chaleur est battu, les écolos se précipitent pour nous expliquer que c’est la faute au CO2, donc à l’Homme…

     

    Mais…

     

    … rien lorsqu’il s’agit de records de froid :

     

    15,5 degrés à New York en…2014

    -37 degrés dans le Minnesota

    -48 degrés sur les Grands Lacs en 2019

    -55 degrés en Sibérie en décembre 2020 à Ojmakon. Moscou -15… -Oslo – 38,9 degrés.

    L’Histoire de notre planète est une oscillation naturelle permanente entre des périodes de réchauffements, souvent rapides et des refroidissements…

     

    .. ; et le niveau des mers a varié de… QUATRE CENTS mètres en cent millions d’années (entre moins 150 m et +250 mètres par rapport à aujourd’hui)

     

    Les «gaz à effet de serre» sont une conséquence et non une cause de ces variations naturelles, dues à de multiples facteurs, comme la position de la Terre par rapport au Soleil, aux éruptions volcaniques, à la tectonique des plaques, aux chutes d’astéroïdes, etc.

     

    Le Giec, tarte à la crème des écolos, a été créé par des «croyants» , des écolos, qui, disposant d’importants budgets, n’en distribuent les prébendes qu’aux scientifiques qui font des enquêtes allant dans leur sens… Les scandales – peu connus- de manipulations de courbes et de conclusions ont été dénoncés par d’autres scientifiques qui n’ont… pas voix aux médias mainstream…

     

    Mais alors pourquoi cette «lutte contre le CO2».. ; qui est bon pour notre planète, et sur lequel nous n’avons d’ailleurs aucun moyen d’action ?

     

    Pour faire des profits : les écolos bobos vont réussir à faire interdire les Diesels (qui émettent…DIX fois moins de particules que les moteurs à essence… les pollutions dans les villes… ne cessant de diminuer, avec des polluants qui ont… totalement disparu, contrairement à ce que croient… près de 90% des Français !)

     

    Derrière les écolos, il y a toutes les machines à cash : les fabricants d’éoliennes, de photo voltaïque , de voitures, d’avions , de mobilité électrique, etc.

     

    Il s’agit de relancer mondialement la consommation en faisant croire à une nécessité doublée d’une bonne action… et de se faire élire, pour vivre aux frais des naïfs… quel est le parti qui n’est pas écolo pour ces législatives, qui ne changeront rien à nos vies ?

     

    Un dernier argument : en admettant par jeu intellectuel que les écolos bobos ont raison : le CO2 est une horreur (que les écolos arrêtent de respirer ! Ils en émettent un kilo par jour !) , savez vous de combien diminueraient les émissions mondiales de CO2 si l’on bloquait les 42 millions de véhicules en France ?

     

    De… moins d’un pour cent… !

     

    Et si l’on bloquait tous les véhicules européens ? De moins de dix pour cent… !

     

    D’autant que chaque fois qu’un consommateur, croyant bien faire, vend son essence ou son Diesel pour une voiture électrique… son « vieux » véhicule part en Afrique ou dans un pays pauvre, ou il va rouler… pendant au moins 50 ans !

     

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Claude Brasseur pour Dreuz.info.

     

    Sources (plus de 300) dans : « L’obscurantisme vert* » du professeur d’université Yves Roucaute (éditions du Cerf. 390 pages-24 euros.


  • Islam et nazisme – Kabyles.net

     

    Le grand mufti musulman de Jérusalem a conseillé Hitler pour l'extermination des juifs.

     

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    Société / Monde

    Le Grand Mufti de Jérusalem a bien conseillé Hitler sur la destruction des juifs d’Europe

      le Grand Mufti de Jérusalem a bien joué un rôle dans l'extermination des juifs d'Europe.

     

     

     

     

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    Pourquoi l'Extrême Gauche s'Accroche-t-Elle Autant à Cette si Imparfaite Cause Palestinienne ?

    par Alan M. Dershowitz

    25 juillet 2022

     

    A de nombreuses reprises, les Palestiniens ont rejeté le statut d'État qu'on leur offrait sur un plateau. Mohammed Amin al-Husseini, leader du peuple palestinien à la fin des années 1930, a justifié ce rejet ainsi : nous refusons un État juif plus que nous désirons un État palestinien. Al-Husseini et son peuple, se sont alliés avec l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. Photo : Adolf Hitler rencontre al-Husseini, le 28 novembre 1941. (Source de l'image : Archives fédérales allemandes)

     

    Aussi erroné soit-il, le discours anti-israélien des Palestiniens, reste fiché au cœur de l'idéologie de l'extrême gauche, notamment celle qui adhère à l'« intersectionnalité des luttes ».

     

    Pourquoi la cause palestinienne focalise-t-elle plus l'attention que des causes pourtant impérieuses comme celles des Kurdes, des Ouïghours et d'autres peuples apatrides et opprimés ? Sur les campus, les manifestations anti-israéliennes sont plus nombreuses que les manifestations contre la Russie, la Chine, la Biélorussie ou l'Iran. Pourquoi ? La réponse a peu à voir avec les Palestiniens, et tout à voir avec Israël, en tant qu'il est l'État-nation du peuple juif. Les manifestations anti-Israël sont la manifestation politique de l'antisémitisme international. Tout le monde se lève en faveur des Palestiniens parce que la nation accusée de les opprimer est Israël.

     

    Il n'y a rien de mal à soutenir les Palestiniens. Mais il est faux - et sectaire - de donner la priorité à une cause aussi imparfaite alors que tant d'autres causes sont aussi méritantes, sinon plus. Non seulement l'extrême gauche privilégie les Palestiniens ; mais cette même extrême gauche ignore largement les autres causes, tout simplement parce qu'Israël est de l'autre côté de la question palestinienne. La réalité est triviale : les mérites des Palestiniens sont insignifiants et l'antisémitisme de leurs supporteurs massif. Ils parlent d'antisionisme, mais c'est pour mieux masquer leur sectarisme anti-juif.

     

    L'affaire Ben and Jerry's en est le meilleur exemple. La marque a décidé de boycotter certaines régions d'Israël, tout en continuant de vendre ses crèmes glacées à des pays qui commettent des abus bien plus importants. Lorsque la question a été posée aux fondateurs de Ben et Jerry's de savoir pourquoi ils limitaient leur boycott à Israël, ils n'ont pas su répondre. Eh bien, j'ai dans l'idée que les fondateurs de Ben et Jerry's sont incultes. Ils agissent en idiots utiles qui emboitent le pas d'une meute gauchiste antisémite. Pour paraphraser une vieille expression : le fanatique voit, le fanatique suit (bigot sees, bigot does).

     

    Qui dirige la foule des fanatiques antisémites ? BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanction) ! Ce mouvement qui a entrepris de mondialiser le boycott de l'État-nation d'Israël a été fondé par un radical palestinien nommé Omar Barghouti. Ce dernier n'a jamais caché que son objectif était la destruction d'Israël et son remplacement par un État palestinien qui irait « de la rivière à la mer », c'est-à-dire du Jourdain à la mer Méditerranée – soit l'intégralité d'Israël. Barghouti et tous ceux qui dirigent BDS aujourd'hui, veulent rendre ce territoire judenrein, c'est-à-dire nettoyé au plan ethnique des 7 millions de Juifs qui « occuperaient » indument des terres musulmanes et arabes. Ces soi-disant -"occupants" incluent des juifs Noirs et Bruns, originaires d'Europe, d'Asie, d'Afrique et d'Amérique. Nombre d'entre eux descendent d'une population indigène qui vivait là avant le début de l'Islam, et aussi bien avant que de nombreux "Palestiniens" originaires d'Egypte, de Syrie, du Liban, du Golfe et d'Afrique du Nord ne s'installent en Palestine. Les Juifs sont les autochtones d'Israël aussi surement que les descendants d'immigrants le sont des Etats Unis d'Amérique.

     

    Les Palestiniens méritent-ils un État ? Oui, mais pas plus que les Kurdes ou d'autres peuples apatrides. Pourquoi pas plus ? Parce que les Palestiniens ont rejeté à de nombreuses reprises la possibilité de construire un État qui leur était offerte sur un plateau. Un ancien dirigeant du peuple palestinien a donné l'explication fondamentale de cette attitude à la fin des années 1930 : qu'il n'y ait pas d'État juif nous sied mieux que la création d'un État palestinien.

     

    Ce dirigeant, Mohammed Amin al-Husseini, s'est allié - lui et son peuple - à l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. Al-Husseini a passé les années de guerre à Berlin avec Hitler, à préparer une "solution finale" pour les Juifs qui peuplent aujourd'hui Israël. Il a été inscrit sur la liste des criminels de guerre nazis. Cela n'a pas empêché sa photo de trôner dans de nombreux foyers arabes palestiniens qui le considéraient comme un héros et un leader.

     

    Bien qu'ils aient figuré au côté des perdants de la Seconde Guerre Mondiale, les Palestiniens se sont vu offrir un État sur la grande majorité des terres arables de Palestine, dans le cadre d'une solution à deux États proposée par les Nations Unies. L'Etat offert aux Juifs représentait une superficie de terres arables bien plus petite. La zone proposée à l'État juif était peuplée d'une majorité substantielle de Juifs. Les Juifs ont accepté la solution à deux États. Les Arabes l'ont rejeté et sont entrés en guerre contre le nouvel État juif pour le détruire. C'est cette agression militaire illégale qui a généré cette masse de réfugiés palestiniens, qu'ils appellent la "Nakba" ("catastrophe"). Une catastrophe en réalité, auto-induite. Et de nombreux dirigeants et partisans palestiniens actuels reprochent à leurs prédécesseurs de ne pas avoir accepté la solution à deux États proposée par les Nations Unies il y a 75 ans,

     

    Plutôt que d'essayer de négocier un État au cours des années qui ont suivi, la direction palestinienne sous Yasser Arafat a opté pour le terrorisme contre des cibles civiles israéliennes et internationales. Les Palestiniens auraient pu avoir un État en 1948, en 1967, en 2000-2001, en 2005 et en 2008. Ils ont toujours préféré la disparition de l'État juif à la création d'un État palestinien vivant en paix au côté d'Israël. Ils pourraient toujours avoir un État maintenant, s'ils négociaient un compromis au lieu de fomenter le terrorisme.

     

    J'aimerais savoir combien de ceux qui manifestent contre Israël connaissent un peu de cette histoire. Malheureusement, eux aussi sont les idiots utiles de ceux qui connaissent l'histoire mais veulent la défaire parce qu'elle a abouti à un État-nation pour le peuple juif. Cela n'a pas vraiment d'importance. La seule conclusion qu'il est possible de tirer de tout cela est que l'opposition irrationnelle de la gauche extrême à Israël est la manifestation moderne du fanatisme le plus ancien et le plus durable.

     

    Alan M. Dershowitz est professeur émérite de droit Felix Frankfurter, à la Harvard Law School, et l'auteur de son plus récent ouvrage The Price of Principles : Why Integrity Is Worth Its Consequences. Il est boursier de la Jack Roth Charitable Foundation au Gatestone Institute et anime également le podcast "The Dershow

    (Source :Gatestone Institut)

     


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    La catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl

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    Nucléaire, politique énergétique française & influence

    Dans cette partie seront étudiés les ressorts de « l’exception nucléaire française ». Des ressorts relatifs à la politique énergétique exclusive et expansionniste que représente en France le choix du nucléaire. On l’a vu, cette énergie est pourtant loin de faire l’unanimité. Et pourtant, en France, aucun véritable débat national n’a encore été engagé sur le sujet. Les revendications et dénonciations visant le nucléaire se heurtent parfois à un déni de la part de l’industriel, voire au secret. Ainsi, cette partie est nécessaire pour comprendre les difficultés que les associations peuvent rencontrer à s’opposer à l’activité nucléaire civile, quelque soient les revendications ou les problèmes pointés, de la question des mines d’uranium à celle des déchets…

     

    La spécificité française

    « La France est le seul pays où un candidat d’un parti de gouvernement ne peut espérer accéder au pouvoir s’il émet des doutes sur le nucléaire. Cela étonne nos voisins tout comme l’absence de débat ou encore le choix qu’a fait la France en matière d’énergie de ne faire justement qu’un choix : celui du nucléaire ». Ces propos d’Yves Lenoir – relayés par François Mayle dans Le Point du 24 mars 2011 – un ingénieur « fin connaisseur de la nucléocratie (élite œuvrant pour la promotion du nucléaire , ndlr) » et président de l’association Enfants de Tchernobyl Belarus, révèlent les différentes dimensions de « l’exception nucléaire française » : le choix énergétique politique français se pose comme incontestable, légitime, bien que toutes les décisions qui l’accompagnent soient opaques et le débat inexistant, alors qu’il est extrêmement fort en Allemagne par exemple.

     

    L’expérience française, longue d’une cinquantaine d’années, s’est développée avec l’objectif de devenir un géant, chef de file international de cette énergie. À ce titre, Areva est une exception : c’est la seule entreprise au monde à être présente sur l’ensemble de la chaîne nucléaire. La société bénéficie d’une image d’expertise, à la pointe des technologies, aussi son savoir-faire s’exporte bien.

     

    On le voit, la spécificité française est en soi, le premier argument qui motive les acteurs du nucléaire, attirés par l’image d’une France autonome et puissante en même temps que leader mondial d’une énergie désormais choisie par de plus en plus d’États dans le monde.

     

    Un choix politique engagé à l’après-guerre dans le plus grand secret

    Dans un article intitulé "La France accro au nucléaire", publié dans Le Point du 24 mars 2011, le journaliste Patrick Bonazza revient sur les débuts du nucléaire français. Des débuts qui sont à l’image de la politique nucléaire qui se poursuivra jusqu’à aujourd’hui encore : marqués par le secret.

     

    L’auteur raconte que c’est par Pierre Messmer que tout a commencé en mars 1974. Selon le journaliste, Messmer « use » de ses pleins pouvoirs de premier ministre en « court-circuitant les cabinets ministériels, ignorant le parlement » et annonce le lancement de six centrales nucléaires par an pendant une décennie. Dans ce même numéro du Point, François Mayle, auteur d’un dossier intitulé Soixante ans de mensonges d’États, explique que ce lancement fait suite à une décision du général de Gaulle, qui, au sortir de la Seconde Guerre mondiale et « des deux explosions atomiques », « comprend immédiatement que l’atome est vital, qu’il garantira à la France une double indépendance. D’abord militaire mais aussi énergétique ». C’est dans le plus grand secret que débute l’aventure. En octobre 1945, Messmer signe l’ordonnance créant le Commissariat à l’énergie atomique (CEA), dont les missions sont de diriger « les recherches scientifiques et techniques en vue de l’utilisation de l’énergie atomique dans divers domaines de la science, de l’industrie et de la défense nationale ». Ainsi, le nucléaire, dès ses origines, mélange les genres militaire et civil, implique des enjeux géostratégiques, politiques et économiques. L’État, les industries de l’armement et de l’énergie, les scientifiques... tous veulent leur part du gâteau. En 1945, les ingénieurs du CEA entament la construction du premier réacteur destiné, comme l’explique cette fois Samuel Gontier (un journaliste détracteur du nucléaire) dans le numéro de Télérama du 23 mars 2011 à travers le dossier "Pourquoi la question du nucléaire a-t-elle été occultée ?", « à la fabrication d’une bombe en laissant croire aux politiques qu’il s’agit de produire de l’électricité ». François Mayle définit les relations originelles entre développement de l’énergie atomique civile et militaire comme des « relations incestueuses » qui dès lors « ne cesseront pas ».

     

    Le nucléaire devient une « raison d’État » et la France se donne tous les moyens de son indépendance énergétique : il s’agit d’assurer son rayonnement. François Mayle poursuit : « Les gouvernements de gauche de la IVe République, appuyés par les communistes ne désavoueront pas la ligne gaullienne et cette volonté d’indépendance nationale. Au fil des décennies, le nucléaire devient la chasse gardée des militaires et des nucléocrates, ces brillants ingénieurs des Mines, eux aussi peu enclins à la transparence. » Ainsi, le développement de l’énergie atomique serait, depuis ses origines, l’affaire de groupes d’influence (ou « lobbies », pour reprendre la dénomination utilisée par le milieu associatif anti-nucléaire), un avis que partage Samuel Gontier : « une toute petite élite - les ingénieurs du corps des Mines – a confisqué le débat sur la politique énergétique de la France. » Il poursuit : « L’immense pouvoir que représente la maîtrise de l’énergie se retrouve entre les mains d’une technostructure, d’une extrême minorité qui perpétue son pouvoir en occupant tous les postes clés, autorités de contrôle comme l’ASN, industriels (Areva, EDF), ministère, enseignement supérieur. Et bien-sûr l’Elysée où, depuis de Gaulle, tout se décide dans la plus grande opacité. »

     

    Implications motivées par la volonté de puissance et opacité des décisions : depuis ses débuts, le « projet nucléaire » est une affaire acquise pour l’État et les industriels. À tel point qu’en France, le débat n’a jamais vraiment eu lieu…

     

    Un débat « verrouillé » ?

    Remettre en cause le nucléaire au regard du principe de précaution, pour parer aux contaminations, aux risques sanitaires ? Un « tabou ». Le mot est lâché par le journaliste François Mayle, pour qui « nos dirigeants s’arrangent avec la vérité ». Jean-Marc Ayrault, député PS, a récemment déclaré qu’un débat sur le nucléaire devait être piloté par l’Office parlementaire des choix scientifiques et technologiques. Selon Samuel Gontier, cette institution est pourtant toujours restée très discrète depuis sa création en 1983, au point qu’elle est accusée par les opposants à l’atome d’être un « relais au lobby nucléaire ». Dans le documentaire R.A.S., nucléaire, rien à signaler du réalisateur d'Alain de Halleux, diffusé sur Arte le 25 mars 2011, un ouvrier témoigne : « Si quelque chose doit faire évoluer le nucléaire en France, ce sera l’accident. » Et encore, malgré les terribles accidents connus de la population (cf. notre partie sur l'information et la transparence) comme Tchernobyl en 1986 ou Fukushima cette année, il n’est pas pour autant question de discuter la « pertinence » du choix nucléaire, si l’on reprend les propos de Nicolas Sarkozy, renchérit par son premier ministre François Fillon, sur le plateau du journal télévisé de France 2 le 17 mars 2011 : « Il serait absurde de considérer que cet accident nucléaire condamne le nucléaire. »

     

    Pour Stéphane Lhomme (interview ici) de l’Observatoire du nucléaire, le choix du nucléaire est « une option politique et même idéologique avant d’être une option industrielle ». Ainsi, il serait « hors de question » pour l’État français d’admettre qu’il « se trompe », en tous cas de remettre en cause sa politique énergétique nucléaire engagée depuis plus de cinquante ans. « C’est la fuite en avant » conclut Lhomme. Même chose du côté de Maryse Arditi (interview ici) de la FNE : « Pour le nucléaire la concertation c’est toujours du bluff. C’est un trompe-l’œil. Donc il n’y a pas de concertation, il y a une controverse mais il n’y a pas de concertation. » Yannick Jadot, député européen affilié à Europe Écologie, partage aussi ce point de vue : « le nucléaire est une industrie dans laquelle on peut discuter de tous les scénarios et à la fin on construit des centrales ».

     

    Aujourd’hui, un discours univoque : celui de la propreté

    En France, la relance nucléaire (appelée « renaissance ») que souhaitent les industriels français comme Areva et l’État lui-même, visant à développer massivement et à l’international l’utilisation de l’énergie nucléaire est une affaire capitalistique et politique considérable : leur position d’experts mondiaux en la matière favorise une potentielle position de leadership. Pour justifier la nucléarisation, l’argument de l’indépendance énergétique ne suffit plus : les industriels, l’État et les organismes soutenant le développement de cette énergie ont développé un discours commun fondé sur l’idée que le nucléaire est une énergie propre. L’entrée en vigueur du protocole de Kyoto, en 2005, et de ses clauses imposant la réduction des gaz à effet de serre, qui ont fourni aux acteurs du nucléaire sa meilleure opportunité de légitimation : l’activité nucléaire n’émettant que très peu d’émissions de CO2, elle est devenue propre. Cet argument pèse désormais très fortement dans les débats concernant le principe de précaution et de l’équilibre « risques-progrès ». Dans les discours pro-nucléarisation, parmi lesquels le discours de l’État – le plus grand soutien de l’activité nucléaire en France - cette énergie est présentée comme responsable : c’est un modèle et une fierté française.

     

    De nombreuses personnalités (scientifiques, écologistes, politiques), associations et ONG dénoncent vivement le discours des industriels et de l’État qui, selon elles, avancent d’une part des arguments surestimés voire mensongers (principalement celui stipulant que le nucléaire civil fera baisser en profondeur le taux d’émission de CO2) et d’autre part éludent ou minimisent tous les risques liés au nucléaire. Le discours serait manipulateur et non objectif, élaboré afin de développer un projet d’envergure mondiale extrêmement lucratif. Derrière ce point de vue apparaît l’idée d’un lobby nucléaire qui masquerait sans cesse le nombre et l’importance des accidents qui se sont produits et se produisent tous les jours dans les centrales.(cf. notre partie sur l'information et la transparence)

     

    Des promoteurs et des soutiens à l’énergie nucléaire influents

    Les associations s’opposant au développement de l’énergie nucléaire parlent de « lobbies », un mot anglais signifiant un « groupe d’intérêts communs », organisé pour représenter et défendre ces intérêts. En France, le terme de « lobby » est connoté de manière péjorative car on les perçoit comme défendant des intérêts « particuliers ou corporatistes » aux dépens d’autres options ou intérêts. C’est ce que l’on reproche au « lobby nucléaire français », qui a la particularité d’être en concomitance avec les décideurs politiques. En France en effet, le nucléaire civil bénéficie « d’un large consensus au niveau politique ». Dans un article d’Alain Gerbault, publié sur le site Slate le 14 mars 2011, « le lobby nucléaire » aurait un vaste « réseau politique tout acquis à sa cause » et des « relais sûrs » parmi les députés du Parlement. L’article pointe aussi les passages opérés entre le monde politique et la sphère nucléaire : « Gilles Ménage, directeur de cabinet de François Mitterrand, présida EDF », « Henri Proglio est un proche du président de la République », etc. La mauvaise connotation de la dénomination « lobbies » est liée au fait que le lobbying est une activité « souvent entourée d'opacité et employant des arguments incontrôlés, voire corrupteurs, dans un contexte d'encadrement encore insuffisant sur le plan législatif, compte tenu des enjeux financiers et économiques ».

     

    Alors, dans quelles mesures peut-on parler d’un « lobby » nucléaire en France ? Tout d’abord, il est intéressant de constater que les personnes placées à tête de plusieurs organismes (comme par exemple, en France, de la CEPN et de la SFEN, voir plus bas) visant à fournir de l’information sur les problématiques nucléaires en assurant la transparence de celles-ci sont souvent issues du milieu nucléaire industriel et étatique. Autre exemple frappant : en 2006, une nouvelle loi relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire promet de rendre l’information accessible au grand public : l’Autorité de Sûreté nucléaire (ASN) est crée. En l’occurrence, cette « autorité administrative indépendante » est dirigée, comme nous l’apprend le journaliste Samuel Gontier, par « un collège de cinq commissaires – irrévocables – dont trois sont nommés par le président de la république , les deux autres par les présidents de l’assemblée nationale et du Sénat ». Peut-on parler ici d’indépendance ? Mais ici les liens entre les autorités politiques, l’ASN, l’industriel Areva et des organismes d’expertise scientifiques comme l’IRSN ne sont pas véritablement cachés. Ci-dessous, un schéma qui montre la nature des liens entre ces quatre instances, issu de la présentation (en anglais) des engagements de l’IRSN vis-à-vis du contrôle des mines. Les quatre organisations sont reliées par la demande/le service d’une expertise : rien de très choquant jusque là, sauf que l’on peut se demander pourquoi l’État choisit l’IRSN pour mener à bien l’étude, plutôt qu’un autre organisme, plus neutre, et ne fonctionnant pas sous la tutelle conjointes des ministres chargés de la Défense, de l’Environnement, de l’Industrie, de la Recherche et de la Santé…

    Présence de liens forts (à hauteur de 33%) entre les industriels, le milieu politique et des organismes dont le milieu n’a pu être identifié. Ces organismes correspondent, principalement, à la liste suivante :

     

    Centre d'étude sur l'Evaluation de la Protection dans le domaine Nucléaire (CEPN)

    Extractive Industries Transparency Initiative (EITI)

    European Nuclear Society

    International Radiation Protection Association (IRPA)

    American Nuclear Society

    Société Française d'énergie Nucléaire (SFEN)

    Sustainable Nuclear Energy Technology Platform

    World Nuclear Association

    En s’intéressant à leurs activités, on découvre des liens qui les unissent fortement aux instances étatiques et institutionnelles : membres, financements, etc. On peut imaginer qu’ils constituent ces groupes d’influence qui participent au développement de l’énergie nucléaire.

     

     


  • Soujoud

     

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    Avenir de la Culture

     

     

    Islamisation : la volonté populaire méprisée

    22 juillet 2022

     

    Islamisation : la volonté populaire méprisée

    Par Avenir de la Culture

    Avenir de la Culture dénonce : les pouvoirs publics méprisent la volonté populaire au profit d'une politique de soumission à l'islamisation de la France.

    La France est en train de se couvrir d’un blanc manteau de mosquées, comme au Moyen-Âge elle s’était couverte d’un blanc manteau d’églises, selon l’expression célèbre de Raoul Glaber. Voilà un constat qui s’impose à toute personne un tant soit peu observatrice et de bonne foi.

     

    Cette situation exceptionnelle qui est en train de changer le visage de la France, peut-être pour des décennies, est-elle voulue, ou, tout au moins, acceptée des Français ? Curieusement, avant d’autoriser un chantier pharaonique dans leur ville, les élus locaux ne demandent jamais leur avis à leurs administrés.

     

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    Le succès des campagnes lancées par Avenir de la Culture contre l’islamisation explique cette prudence : les Français ne veulent tout simplement pas que leur pays ressemble à l’Algérie ou à la Turquie et ils sont des dizaines de milliers à le faire savoir.

     

    Des élus locaux aux abonnés absents

    A Strasbourg, l’une des plus grandes mosquées d’Europe pourrait bientôt voir le jour. Ses gigantesques minarets ottomans devraient culminer à 36 mètres de haut. Le projet est entre les mains de Millî Görüs, une association d’origine turque qualifiée de « confrérie fondamentaliste » par le Conseil d’État.

     

    L’imam de Drancy a tiré la sonnette d’alarme à propos de ce chantier : « C’est de la provocation. C’est la même politique qu’à Istanbul, lorsque l’église Sainte-Sophie est devenue une mosquée. » « Je n’arrive pas à comprendre comment une ville comme Strasbourg, qui a été touchée dans sa chair par le terrorisme puisse être complice des organisations islamo-politiques (…) au service d’Erdogan, l’homme qui a menacé la France », a ajouté M. Hassen Chalghoumi sur Radio Classique, le 26 mars 2021.

     

    Pourtant la municipalité socialiste, puis écologiste, de Strasbourg a donné carte blanche à Millî Görüs pour construire sa « forteresse ».

     

    Mme Jeanne Barseghian, le maire Europe Écologie-Les Verts de la capitale alsacienne projetait même d’accorder une enveloppe de 2,5 millions d’euros à cette association pour qu’elle puisse mener à bien rapidement les travaux !

     

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    Sous la pression populaire, notamment celle relayée par Avenir de la Culture, Millî Görüs a renoncé à recevoir cette subvention. Néanmoins, le projet de grande mosquée est toujours sur les rails et ce alors que la pétition d’Avenir de la Culture exigeant l’arrêt des travaux a réuni plus de 30 000 signatures. Les Verts qui se font régulièrement les chantres de la démocratie participative ont décidemment bien du mal à entendre la volonté populaire…

     

    A Metz, il existe une situation similaire, bien que cette fois le maire soit issu des Républicains, un parti qui prétend régulièrement lutter contre l’islamisation de la France.

     

    François Grosdidier a délivré un permis de construire au bénéfice d’une mosquée gigantesque qui pourrait accueillir jusqu’à 4000 personnes ! Celle-ci serait flanquée d’un espace « culturel » comprenant une salle d’exposition, une librairie, une bibliothèque, des salles de classe, un gymnase, un restaurant, des bains turcs et un musée dédié à l’histoire de la civilisation musulmane et à l’apport de l’immigration en Lorraine. Ce n’est plus une mosquée, c’est un centre de propagande !

     

    Par le truchement d’Avenir de la Culture, 40 000 Français ont protesté auprès du maire de Metz. Pour le moment, à l’instar de son homologue de Strasbourg, celui-ci fait la sourde oreille…

     

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    En l’absence de réponse de l’édile messin, Avenir de la Culture continuera bien sûr d’alerter et de mobiliser les Français contre ce chantier.

     

    Où est le gouvernement ?

    Le mépris des pouvoirs publics quant à la volonté populaire se vérifie également au niveau national.

     

    Les Français souhaitent-ils que l’islam turc essème partout sur le territoire national ? C’est peu probable et le succès rencontré par la pétition d’Avenir de la Culture exigeant la dissolution de l’association Millî Görüs le prouve. Près de 100 000 personnes ont interpellé le ministre de l’Intérieur d'agir, sans que celui ne prenne la peine de répondre.

     

    La feuille de route dressée par le fondateur de Millî Görüs, l’ancien premier ministre turc Necmettin Erbakan est pourtant extrêmement inquiétante : « Les Européens sont malades… Nous leur donnerons les médicaments. L’Europe entière deviendra islamique. Nous conquerrons Rome. »

     

    Cette nébuleuse est la tête de 71 mosquées en France ! A celles-ci, s’ajoutent les établissements scolaires dirigés par la confrérie.

     

    L'islam et le Suicide de l'Occident - II

    À Strasbourg, Millî Görüs a ouvert un groupe scolaire (école, collège, lycée) où certaines filles assistent voilées aux cours, comme en Iran !

     

    Sur un tract de recrutement diffusé il y a quelques temps par cet établissement, on pouvait voir une fillette probablement d’origine arabe ou turque portant le hijab, assise à côté d’une petite fille blonde qui la regardait avec admiration ! Le message est clair : pour ces gens-là, l’avenir de la jeunesse française est islamique.

     

    En plus de Strasbourg, des établissements dirigés par Millî Görüs ont ouvert leurs portes à Villefranche-sur-Saône en 2019, puis à Blois, Mulhouse et Annecy en 2020. D’autres projets sont à l’étude, notamment à Albertville, en Savoie, et à Lormont, près de Bordeaux.

     

    La prolifération des écoles islamiques en France devrait être un vif sujet de préoccupation, d’autant plus que certaines d’entre elles sont sous contrat avec l’État, ce qui leur donne droit à des subventions publiques. C’est notamment le cas du lycée Averroès de Lille qui a obtenu, en justice, que la région Hauts-de-France lui verse 274 638 euros de subvention. Cet établissement a pourtant été pointé du doigt pour ses accointances avec l’islam radical, notamment de la part d’un ancien enseignant.

     

    « En plus de vingt années de carrière en milieu scolaire, je n’ai jamais entendu autant de propos antisémites de la bouche d’élèves dans un lycée ! », écrivait Soufiane Zitouni dans les colonnes du journal Libération en 2015.

     

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    Bien sûr, l’immense majorité des Français ignorent que leur argent est utilisé pour financer de telles écoles. C’est pourquoi Avenir de la Culture a tiré la sonnette d’alarme à la rentrée 2021. Plus de 15 000 Français ont demandé au ministre de l’Éducation nationale d’intervenir pour éviter que l’argent du contribuable ne serve à financer de tels établissements.

     

    « Les hommes combattront… »

    Au regard de ces faits, qui peut raisonnablement nier que l’islamisation de la France est imposée au peuple français avec la complicité des élites politiques, locales et nationales ?

     

    Ce n’est pas la première fois dans sa longue histoire que la France est trahie par ceux qui ont pour mission de la protéger.

     

    Quand sainte Jeanne d’Arc rendit visite au « petit roi de Bourges » pour lui demander de « bouter l’Anglais » hors de France, le pays était livré aux mains de l’occupant avec la complicité d’une part conséquente du clergé et de la noblesse. La victoire du roi d’Angleterre était alors jugée inéluctable. Pourtant, Dieu est intervenu et c’est une humble bergère qui sauva le royaume.

     

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    Plus près de nous, le miracle de la Marne, quand l’armée allemande fut stoppée aux portes de Paris, en septembre 1914, prouve que le Ciel n’abandonne jamais la Fille aînée de l’Église. Toutefois, pour que Dieu offre la victoire, encore faut-il que les hommes combattent, comme le disait sainte Jeanne d’Arc.

     

    Avec les centaines de milliers de Français qui souhaitent que leur pays reste une terre chrétienne, Avenir de la Culture ne cessera pas de mener le combat. Jusqu’à la victoire.


  •  La première partie publiée du 6ème rapport du GIEC donne l'alerte - Les  clés du social 

    LES ¨PETS DES VACHES SONT CONSIDéRéS AUSSI COMME GAZ A EFFET DE SERRE.L'ABSURDE ECOLO N'A AUCUNE LIMITE,COMME PAR EXEMPLE METTRE DES LOUPS A PROXIMITE DES MOUTONS AU NOM DE LA SAUVEGARDE DES ESPECES.

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     LE CO2 DE NOS ENERGIES FOSSILES(GAZ,CHARBON) POUR PRODUIRE L'ELECTRICITE EST LE BOUC EMISSAIRE POUR FAVORISER LA MULTIPLICATION DES CENTRALES DU LOBBY NUCLEAIRE.QUID DES ACCIDENTS NUCLEAIRES ET DES DECHETS NUCLEAIRES ? LE FEU NUCLEAIRE A NOS PORTES.VOIR FUKUSHIMA ET TCHERNOBYL.

     

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    > Études par Alain Mathieu

    le 18 mars 2018

    Le réchauffement est-il dû au CO2 ?

    Dans son « résumé à l’attention des décideurs » de 2014 le GIEC indique qu’« il est extrêmement probable que (les émissions humaines de gaz à effet de serre) aient été la cause principale du réchauffement ». Qu’en pensent les climato-sceptiques ?

     

    Ils disent :

    1) On ne sait pas encore avec certitude quelle est la cause du réchauffement. Peut-être les variations d’activité du soleil ? les rayons cosmiques ? les aérosols ? les variations de la nébulosité ? les variations de la durée de rotation de la terre ? Dans son avis du 3 novembre 2015, l’Académie française des sciences indiquait : « il reste de nombreuses questions en suspens nécessitant un programme de recherche soutenu ». C’est ce que disent les « climato-sceptiques ».

     

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    2) Si la quantité de CO2 dans l’atmosphère était la cause principale du réchauffement, ne devrait-on pas observer une hausse régulière de cette température, proportionnelle à la teneur en CO2, qui augmente régulièrement. Comment expliquer alors les périodes de refroidissement (1880-1910 ; 1945-1975 ; stagnation depuis 1998) ?

     

    3) Il est possible que le réchauffement soit la cause principale, et non la conséquence, de l’augmentation de la teneur de l’atmosphère en CO2.

     

    4) Le réchauffement a des effets positifs sur les rendements agricoles (encore accrus par l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère), le tourisme, les besoins de chauffage, le nombre de décès dus au froid.

     

    5) Si l’« effet de serre » existe, les émissions humaines n’y jouent sans doute qu’un rôle secondaire puisque leur stock dans l’atmosphère pourrait ne représenter que 4,8 % du stock total de CO2 dans celle-ci.

     

    6) L’« effet de serre » n’est pas prouvé. Dans une serre il existe une barrière physique (verre ou plastique) bloquant l’air dans une enceinte fermée. L’« effet de serre » créé par le CO2 est de nature différente. Il est ainsi décrit par le GIEC : « le CO2 piège le rayonnement infrarouge thermique ; le globe qui rayonne moins vers le cosmos doit donc se réchauffer ». Or les mesures du rayonnement infrarouge de la terre faites depuis 1974 par les satellites de la NOAA, une administration américaine, ne constatent aucune baisse de ce rayonnement, compris entre 225 et 240 watts par mètre carré. Le réchauffement ne serait donc pas dû à une baisse du rayonnement infrarouge causée par l’effet de serre.

     

    7) Devant des données aussi peu sûres, ne prenons pas de décisions nocives et coûteuses. L’Allemagne a rendu inutilement plus onéreuse sa production d’électricité. Ne faisons pas la même erreur. D’autant plus que, même si l’effet de serre existe, la contribution française (1 % des émissions humaines) est marginale, et nos efforts dérisoires. Si en outre nous arrêtons des centrales électriques nucléaires, nous augmenterons comme l’Allemagne nos émissions de CO2.

     

    8) Notre production d’électricité dépasse nos besoins. La France est le premier exportateur mondial d’électricité (7 % de sa production) et n’a pas besoin de nouvelles productions. Sous le prétexte de « sauver la planète », le gouvernement français oblige EDF à acheter à des propriétaires de « fermes » éoliennes et photovoltaïques des kilowatts dont elle n’a pas besoin, à des prix maintenus pendant dix ans à un niveau compris entre deux et trois fois le prix de revient d’EDF avec ses propres installations. Les subventions versées à EDF pour combler la différence sont financées par des impôts payés par tous les Français sur leur consommation d’électricité. Ces subventions feront dans quelques années monter de 30 % le prix de l’électricité, y compris pour les « précaires énergétiques » (les Français trop pauvres pour pouvoir payer leurs factures d’électricité). Des petits malins ont compris qu’en produisant de l’électricité à ces prix garantis pendant dix ans ils pourraient devenir millionnaires. L’un d’eux est même devenu milliardaire. C’est une politique ubuesque, enrichissant des riches au détriment des pauvres. Il est urgent de l’arrêter, comme l’a fait notamment le Royaume-Uni.

     

    9) Le gouvernement français a fait voter une loi limitant à 50 % en 2025 la part du nucléaire dans la production d’électricité. Mais le ministre Nicolas Hulot a reconnu que cet objectif ne serait pas atteint. Ce sera au plus tôt en 2035 et sans doute bien après.

     

    10) Les prévisions d’évolution des technologies sont toujours difficiles. Qui aurait parié il y a 15 ans sur le pétrole de schiste et le gaz de schiste, qui ont révolutionné le marché et fait baisser de moitié le prix du pétrole brut ? Que deviendront les recherches sur des tissus remplaçant les panneaux photovoltaïques et pouvant à terme faire baisser le prix de l’électricité qui en proviendrait ? Les prix des batteries permettant de stocker les productions d’électricité intermittentes suivront-ils le chemin de la baisse vertigineuse des prix des transistors ? Trouvera-t-on le moyen de faire baisser le coût du transport à grande distance de l’électricité ? En couvrant 5 % de la superficie du Sahara en panneaux photovoltaïques, on pourrait produire toute l’électricité consommée par la planète, si elle était transportable à peu de frais. Un gouvernement sage ne s’engagerait pas sur un chiffre déterminant la part du nucléaire dans vingt ou trente ans dans la production d’électricité.

     

    11) Un gouvernement sage renoncerait à son interventionnisme dans le domaine de l’énergie : fixation arbitraire des prix, subventions et taxes nuisibles, fermeture autoritaire de centrales nucléaires, etc. Il s’efforcerait de créer un marché équitable, sans subventions, dans lequel des producteurs d’électricité en concurrence se battraient pour produire et vendre au prix le plus bas possible.

     

    12) En l’absence de certitude sur les causes du réchauffement climatique, n’empêchons pas les pays en développement de se doter de centrales électriques au charbon.

     

    13) Il est irréaliste de prévoir, comme le fait le GIEC, que les émissions de gaz à effet de serre seront réduites de 50 % d’ici à 2050.

     

    14) Neuf auteurs ont publié le 15 mai 2013 une étude cherchant à évaluer le « consensus » scientifique sur les thèses du GIEC concernant le réchauffement climatique dû principalement à l’homme. Ils ont examiné 11.944 articles sur le sujet parus dans des revues scientifiques entre 1991 et 2011. Les résultats ont été les suivants : 66,6 % ne prennent pas position ; 0,7 % considèrent l’influence humaine comme négligeable ; 0,7 % considèrent que l’influence humaine explique plus de 50 % de la hausse des températures ; 32 % considèrent qu’il y a une certaine influence humaine. Le GIEC en a déduit que « plus de 97 % des scientifiques » étaient favorables à ses thèses. C’était une falsification, reprise depuis par de nombreux hommes politiques. La vérité était : la majorité des scientifiques ne prend pas position ; la majorité de ceux qui prennent position estiment que les activités humaines ont une certaine influence sur l’élévation des températures ; très peu considèrent que l’influence des émissions humaines est prépondérante.

     

    15) La vérité d’une théorie scientifique ne dépend pas du nombre de savants qui la soutiennent. Sinon, les théories de Copernic, Galilée, Newton, Pasteur, Einstein, de la tectonique des plaques, n’auraient jamais été admises. Le doute est un puissant facteur de progrès scientifique.

     

    La conclusion est donc : ne nous excitons pas ! Dans de nombreux pays les hausses de la température atmosphérique et du CO2 seront bienfaisantes (c’est pour l’avoir écrit que le chef du service météo de France Télévision a été licencié). Les catastrophes dont on nous menace sont exagérées. Les Européens, qui sont moins concernés que les habitants des pays chauds par ces catastrophes, sont ceux qui s’en inquiètent le plus. Les mesures préconisées pour les éviter sont très probablement incapables de les éviter, et certainement nuisibles. La France et son président ne devraient pas prendre la tête d’une croisade aussi ridicule.