•  Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’< Zelensky a fait supprimer er les élections législatives et la présidentielle. C'est un tyran qui se maintient au pouvoir. Le fait qu'il soit reçu à l'assemblée nationale est un véritable scandale!» -François -FrançoisAsselineau Asselineau’ 

    GUERRE OTAN CONTRE RUSSIE.L’Amérique est la seule véritable responsable de la guerre en Ukraine 

     

    31 mai 2024 Marc Rousset GUERRE OTAN CONTRE RUSSIE 

     

    Notre faux ami l’Amérique : face à la doxa atlantiste, européiste et russophobe du Système

     

    « Les responsables des guerres ne sont pas ceux qui les déclenchent, mais ceux qui les ont rendues inévitables. »

    Montesquieu

     

    « Ce que font les Américains en Ukraine, c’est : « On vous fournit les armes, vous fournissez les cadavres »

    Andrés Manuel Lopez Obrador, Président du Mexique

     

    « L’OTAN est engagée dans une guerre avec la Russie, via un intermédiaire et elle arme cet intermédiaire ! La guerre signifie la guerre ! »

    Sergueï Lavrov – Ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie

     

    L’Occident met en avant la propagande de la Russie envers ses citoyens, mais ce que l’on vit en Occident relève d’une propagande tout aussi intense et particulièrement mensongère ! L’agresseur apparent de l’Ukraine est la Russie depuis le 24 février 2022, mais l’agresseur véritable de la Russie est l’Amérique qui, depuis la chute du Mur de Berlin en 1989 et le célèbre ouvrage Le Grand Échiquier de Zbigniew Brzezinski en 1997, n’a toujours eu qu’un seul et unique but : mettre à bas la Russie, la dépecer en trois, tout en lui faisant perdre la stratégique Ukraine, russe depuis la fondation de la « Rus de KIev » en 882. Le jour où la guerre éclate en Ukraine, le Président Biden déclare « que l’Occident fera de la Russie un État paria sur la scène internationale ».

     

    Les dix-huit preuves de la responsabilité de l’Amérique pour la guerre en Ukraine :

    1) Les engagements pris en 1990 par les Européens et les Américains envers la Russie, lors de la réunification de l’Allemagne et de la chute de l’URSS, n’ont pas été respectés.

    Le 9 février 1990, selon le procès-verbal de la rencontre, le secrétaire d’État américain James Baker auprès de George Bush dit à Gorbatchev : « Nous comprenons que pour l’URSS et les pays européens, il est important d’avoir des garanties que la présence militaire de l’OTAN ne se déplacera pas d’un pouce en direction de l’Est ». Le lendemain, selon des archives russes, le chancelier Kohl dit à Gorbatchev : « Nous estimons que l’OTAN ne doit pas étendre sa sphère d’influence ».

     

    2) Le motif de la politique d’agression de la Russie par l’Amérique a été écrit noir sur blanc, dès 1997, par Zbigniew Brzezinski, dans son livre « le Grand Échiquier » !

    L’Ours russe, poussé dans les cordes par l’Amérique et l’expansion à l’Est de l’OTAN, ne peut pas se permettre de perdre stratégiquement, économiquement, démographiquement, linguistiquement et historiquement l’Ukraine. Plus qu’une guerre de la Russie contre l’Ukraine, c’est une guerre défensive et préventive de la Russie, alliée par nécessité avec la Chine, contre l’Amérique et l’OTAN !

    Au moment de l’effondrement de l’URSS, en 1991, l’ambassadeur américain à Moscou Robert S. Strauss envoie la dépêche suivante à Washington : « L’événement le plus révolutionnaire de l’année 1991 pour la Russie n’est pas l’effondrement du communisme, mais la perte de l’Ukraine ».

    Quant à Zbigniew Brezinski, il écrit noir sur blanc, dès 1997, dans « le Grand Échiquier » : « L’Amérique doit absolument s’emparer de l’Ukraine, parce que l’Ukraine est le pivot de la puissance russe en Europe. Une fois l’Ukraine séparée de la Russie, la Russie n’est plus une menace ».

     

    3) L’expansion sans fin de l’OTAN à l’Est

    Poutine est le témoin vivant de six vagues successives d’élargissement de l’OTAN à l’Est. En mars 1999, les premières adhésions à l’OTAN d’anciens pays du Pacte de Varsovie : République tchèque, Hongrie et Pologne ; en 2004 les trois pays baltes, la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie ; en 2009 l’Albanie et la Croatie ; en 2017, le Monténégro ; en 2020 la Macédoine du Nord ; en 2023 la Finlande et la Suède.

    Il convient de noter que les États-Unis rejettent de leur côté, au nom de la doctrine Monroe, depuis le XIXe siècle, toute idée d’une alliance militaire hostile sur le continent américain et toute présence militaire d’un adversaire stratégique dans leur étranger proche.

     

    4) Nonobstant la révolution Orange en 2004, les États-Unis ont, en fait, agressé la Russie en Ukraine, dès 2014, avec le coup d’État de Maïdan à Kiev, monté par la CIA

    L’opération Euromaïdan montée par les services secrets américains, avec l’aide des services secrets polonais et des mouvements extrémistes ukrainiens, avait pour but d’empêcher tout rapprochement économique entre l’Ukraine, pays ruiné, et la Russie, ainsi qu’à renforcer l’encerclement de la Russie.

    Victoria Nuland, Secrétaire d’État adjointe, a reconnu que la révolution a été largement fomentée par un investissement de 5 milliards de dollars dans les ONG destinés à renverser le gouvernement Ianoukovitch : « Il est vrai que le peuple ukrainien était excédé par la corruption ambiante, mais nous avons attisé ce mouvement et nous avons profité de cette frustration populaire pour mener à bien un coup d’État qui n’était pas du tout le changement voulu par le peuple ».

    La première agression rampante de la Russie par l’Amérique a même commencé pour la première fois dès 2004, la révolution Orange ayant été en fait provoquée par la CIA et les ONG américaines, style George Soros.

     

    5) Suite aux intrigues en coulisses de l’Amérique, les accords de Minsk I (5 septembre 2014) et Minsk II (12 février 2015) n’ont pas été respectés par les Ukrainiens. La France et l’Allemagne, garantes des accords, ont menti à la Russie d’une façon scandaleuse.

    L’Amérique qui conseillait les Ukrainiens ne les a pas incités à respecter les accords de fédéralisation de l’Ukraine et de l’utilisation de la langue russe (abrogation pure et simple par les autorités centrales de Kiev) qui étaient prévus par les accords de Minsk car elle a toujours poussé à l’affrontement et à la guerre. Les premiers combats en Ukraine ont donc commencé, en fait, en 2014, avec 14 000 civils et militaires tués dans le Donbass de 2014 à 2022.

    La Chancelière Merkel a même reconnu officiellement, après avoir quitté ses fonctions, que l’Allemagne n’avait jamais eu l’intention de faire respecter les accords de Minsk : l’objectif était « de gagner du temps », de tromper la Russie, afin de permettre aux Ukrainiens de s’armer, de s’équiper, de s’entraîner avec l’aide des États-Unis et de l’OTAN, pour préparer et gagner la guerre à venir contre la Russie. Suite aux aveux publics de la chancelière, Poutine a tenu à souligner le manque de sérieux, les mensonges inacceptables et l’hypocrisie des Occidentaux.

     

    6) Cette guerre, avec son motif principal, avait été annoncée, dès le 18 février 2019, par Oleksiy Arestovytch, conseiller du Président ukrainien Zelensky

    Le 18 février 2019, Oleksiy Arestovytch, conseiller du Président ukrainien Zelensky, avait pu déjà déclarer que « le prix à payer pour rejoindre l’OTAN serait un grand conflit avec la Russie, en précisant que cette guerre commencerait entre 2020 et 2022 ».

     

    7) Une offensive militaire ukrainienne, avec l’accord officieux des États-Unis, pour reprendre tout le Donbass avait déjà commencé dès le 16 février 2022, alors que la Russie n’est intervenue militairement que le 24 février 2022.

    Vladimir Poutine a invoqué, le 24 février 2022, l’article 51 de la Charte des Nations Unies qui prévoit une assistance en cas d’attaque des deux républiques du Donbass ayant proclamé leur indépendance. Selon les observateurs impartiaux de l’OSCE le nombre de tirs d’artillerie ukrainienne est passé progressivement de 76, le 16 février 2022, à 1484 le 22 février 2022. 1,5 million de personnes du Donbass pro-russe ont été déplacées et 14 000 personnes ont péri sous les bombardements ukrainiens de 2014 à 2022. Un massacre à venir et un exode des populations russophones était quasi certain sans l’intervention militaire russe au Donbass, qui était donc légale en vertu du droit international.

     

    8) Le secrétaire du conseil de défense de la Russie Nikolaï Patrouchev a affirmé en 2023 que l’Ukraine voulait signer fin mars 2022 un accord de paix avec la Russie, avant de céder, sous la pression des Américains.

    Alors que le conflit entre la Russie et l’OTAN s’enlisait en Ukraine, Nikolaï Patrouchev, le secrétaire du conseil de défense de Russie a indiqué que Kiev était prêt à cesser les hostilités quelques semaines après le début de la guerre. Les délégations russes et ukrainiennes avaient entamé des négociations en Turquie. Il a déclaré : « Sans la pression exercée par les États-Unis sur ceux qu’ils ont installés à la tête de l’Ukraine, cette situation ne se serait pas produite. Les dirigeants ukrainiens eux-mêmes étaient prêts à signer un traité de paix et ont remis à la Russie des propositions écrites que nous avons approuvées ». Il a enfin ajouté : « Cela s’est produit uniquement parce que les États-Unis ont fait pression sur eux et ont déclaré qu’aucune négociation ne devait avoir lieu ». Le témoignage de l’ex Premier ministre israélien Naftali Bennett a confirmé ces faits.

    Les États-Unis et l’Angleterre ont en effet persuadé les Ukrainiens que la Russie allait s’écrouler économiquement, financièrement et monétairement, suite aux sanctions économiques, commerciales, terribles mises en place par l’UE et l’ensemble des pays occidentaux, et suite aussi au « hold-up » des avoirs en dollars et en euros, soit 300 milliards de dollars, de la Banque centrale de Russie. Ils ont insisté également sur le matériel et les tactiques guerrières supérieures de l’OTAN, capables de vaincre l’armée russe. (À suivre)

     

    Marc Rousset -Auteur de « Notre Faux Ami l’Amérique"

    (Source "Riposte Laïque")


  • Les commentaires et rapports des médias concernant la situation actuelle en Israël risquent d’influencer et de troubler beaucoup de chrétiens. Il est indispensable de rappeler la réalité concernant «le mythe palestinien», développé dans un article publié en 2001 par Joseph Farah, journaliste arabe américain qui s’est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient. – Léopold Guyot, PasteurWeb La situation au Proche-Orient paraît simple pour tout le monde : les Palestiniens veulent une patrie et les musulmans veulent le contrôle de sites qu’ils considèrent comme étant sacrés. Eh bien, en tant que journaliste arabe américain qui s’est forgé une connaissance approfondie de la situation au Moyen-Orient, à force de commenter jets de pierres et tirs de mortiers, je peux aujourd’hui vous assurer que la justification de la violence et des émeutes ne trouve pas son origine dans la simple revendication palestinienne à une patrie, ni dans la volonté des musulmans de contrôler des sites qu’ils considèrent sacrés. Comment expliquer qu’avant la guerre des Six Jours en 1967, il n’y eut aucun mouvement sérieux de revendication d’indépendance palestinienne? «Avant 1967? me direz-vous, les Israéliens n’occupaient pas la Cisjordanie et la vieille ville de Jérusalem.» C’est vrai. Mais durant la guerre des Six Jours, ce n’est pas des mains des Palestiniens, ni de Yasser Arafat qu’Israël conquit la Judée, la Samarie et Jérusalem Est. Ces territoires étaient de fait occupés par le roi Hussein de Jordanie depuis 1948. A-t-on une seule fois demandé au souverain hachémite de restituer ces territoires aux Palestiniens? Est-ce qu’une seule résolution de l’ONU a vu le jour à ce sujet? Non et non. Ne vous demandez-vous pas alors pourquoi tous ces Palestiniens ont soudainement découvert leur identité nationale après qu’Israël ait gagné cette guerre? La vérité est que la Palestine est un mythe. Le nom «Palestine» est utilisé pour la première fois en l’an 135 de l’ère actuelle par l’empereur romain Hadrien qui, non content d’avoir éradiqué la présence juive en Judée (une présence qui durait depuis plus de mille ans), non content d’avoir détruit leur temple à Jérusalem, non content d’avoir interdit l’accès du pays aux derniers Juifs, se persuada qu’il fallait annihiler toute trace de civilisation juive dans le pays en le débaptisant au profit d’un nom dérivé des Philistins. Les Philistins étant ce peuple auquel appartenait Goliath et que les Hébreux parvinrent à vaincre des siècles plus tôt. Ce baptême était pour les Romains une façon d’ajouter l’insulte à la blessure. Ils essayèrent également de changer le nom de Jérusalem en Alea Capitolina, mais cela ne rencontra pas le même succès. La Palestine en tant qu’entité autonome n’a jamais existé au cours de l’histoire. Le pays fut dominé successivement par les Romains, par les croisés chrétiens, par les musulmans (qui n’ont d’ailleurs jamais fait de Jérusalem une capitale pendant qu’ils occupaient le pays), par les Ottomans et, brièvement, par les Britanniques au lendemain 2 / 3 de la Première Guerre mondiale. Dès 1917, avec la déclaration Balfour, les Britanniques s’étaient montrés favorables à céder au moins une partie du territoire au peuple juif afin qu’ils y établissent un Etat souverain. Il n’existe pas de langue proprement palestinienne. Ni même de culture spécifiquement palestinienne. Il n’y a jamais eu de Palestine dirigée par des Palestiniens. Ces derniers sont des Arabes, et sont indissociables des Jordaniens (la Jordanie étant elle aussi une invention récente, créée de toutes pièces en 1922 par les Britanniques). Le monde arabe contrôle 99,9% des terres du Moyen-Orient. Israël ne représente que 0,1% de la superficie régionale. Mais cela est déjà trop pour les Arabes. Ils veulent tout. Et c’est précisément là que se situe le nœud du conflit qui les oppose à Israël. Avidité. Fierté. Jalousie. Convoitise. Toutes les concessions que pourrait faire Israël n’y suffiront pas. Qu’en est-il des lieux saints de l’islam? Il n’y en a tout simplement aucun à Jérusalem. Cela vous choque? Vous pouvez l’être. Je suis persuadé que vous n’entendrez jamais cette vérité brutale de la part d’aucun média international. C’est politiquement incorrect. Je sais que vous me direz : «La mosquée Al Aqsa et le dôme du Rocher à Jérusalem représentent le troisième lieu saint de l’islam.» Faux : en réalité, le Coran ne fait aucune mention de Jérusalem. La Mecque est citée des centaines de fois. Médine est mentionnée un nombre incalculable de fois. Mais Jérusalem, jamais (inversement, Jérusalem est citée six-centsoixante-neuf fois dans la Torah). Il n’existe aucune preuve historique que le prophète Mohammed se soit rendu à Jérusalem. Alors comment Jérusalem est-elle devenue le troisième lieu saint de l’islam? Les musulmans, aujourd’hui, se réfèrent à un vague passage du Coran, la 17e sourate, intitulée Le voyage nocturne. Il y est fait état d’un rêve de Mohammed qui fut transporté de nuit «du temple sacré au temple le plus éloigné dont nous avons béni l’enceinte». Au VIIe siècle, des musulmans ont identifié les deux temples mentionnés dans ce verset comme étant la Mecque et Jérusalem. Voilà à quoi tient la connexion si étroite entre l’islam et Jérusalem – connexion faite de rêve, d’imagination, d’interprétations et de mythe. Parallèlement, le peuple juif voit son enracinement à Jérusalem remonter à l’époque du patriarche Abraham. La dernière vague de violence qui sévit en Israël1 a eu comme origine, dit-on, la visite du chef du Parti du Likoud Ariel Sharon2 sur le mont du Temple, là où se trouvent les fondations du temple construit par Salomon. C’est le site le plus saint du judaïsme. Sharon et son entourage y furent accueillis à coups de jets de pierres et d’insultes. Je sais à quoi cela ressemble. J’y étais. 1 N.d.l.r. : L’article ne fait pas référence à la vague actuelle de violence (2021). 2 N.d.l.r. : Ariel Sharon est décédé en 2014; c’est Benyamin Netanyahou qui est l’actuel président du Likoud depuis 2005. 3 / 3 Pouvez-vous imaginer ce que ressentent les Juifs lorsqu’ils sont menacés, lapidés et tenus éloignés du lieu le plus saint du judaïsme? Alors, me direz-vous, quelle est la solution pour apporter la paix dans ce Moyen-Orient? Franchement, je ne pense pas qu’un homme aujourd’hui puisse se prévaloir de détenir une solution durable. Mais s’il y en a une, elle se doit de commencer par rétablir la vérité. La poursuite des mensonges n’apportera que plus de chaos. Continuer à mépriser un droit légitime vieux de cinq-mille ans pour les Juifs, de surcroît renforcé par des preuves historiques et archéologiques éclatantes, en les opposant à de fausses revendications, ne pourra que donner une mauvaise réputation à cette diplomatie de menteurs. Joseph Farah Source : Site internet PasteurWeb.org Article original : Palestine is a myth! – 25.10.20 Mise en forme : APV Date de parution sur www.apv.org : 19.05.21 / Mis à jour le 20.05.21


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    Hallucinante video d’un cheikh sur djihad et esclavage, « un des bienfaits de l’islam »

    10 Déc 2017Christine TasinDjihad, Esclavage, Islam, Textes fondamentaux sur l'Islam

     

    Hallucinante video d’un cheikh sur djihad et esclavage, « un des bienfaits de l’islam »

    Ce cheikh précise que « Le djihad pour Allah consiste à attaquer les infidèles, à s’emparer de leur territoire, et à les obliger à vivre sous le joug islamique. ».

     

     

     

    Le 7 décembre par Robert Spencer.

     

    Dans cette hallucinante vidéo, le cheikh Saalim Bin Sa’d At-Taweel suite à son discours sur le djihad et l’esclavage en islam, confirme mes propos énoncés à maintes reprises. Les organisations gauchistes et musulmanes aux États-Unis vont-elles se risquer à qualifier le cheikh Saalim Bin Sa’d At-Taweel d' »islamophobe » ignorant et raciste ? Ce n’est pas demain la veille.

     

    « L’érudit koweïtien Saalim At-Taweel précise que : Le djihad pour l’amour d’Allah consiste à combattre les infidèles pour les convertir à l’islam, et que les asservir est un des bienfaits de sa religion », MEMRI, 7 novembre 2017 :

     

    Le 7 novembre, le religieux koweïtien cheikh Saalim Bin Sa’d At-Taweel a rendu public sur YouTube un de ses sermons, où il clarifie la notion du djihad. Il explique que si le « djihad » peut être interprété de façons différentes, le « djihad pour Allah » signifie le combat contre les infidèles afin de répandre l’islam. Il affirme en outre que les musulmans devraient s’abstenir de nier le fait que l’esclavage fait partie intégrante de l’enseignement islamique. Il ajoute que l’esclavage est « l’un des bienfaits de l’islam », parce qu’il offre aux infidèles l’opportunité de devenir musulmans et d’éviter les feux de l’enfer. Au cours de la dernière décennie, cheikh At-Taweel s’est rendu plusieurs fois aux États-Unis, et il a été invité pour donner des conférences dans des mosquées à Worcester, au Massachusetts, à Modesto, en Californie, à New York et ailleurs. En 2016, il a participé à la 3e Conférence annuelle sur le savoir au Royaume-Uni.

     

    Saalim Bin Sa’d At-Taweel précise :  lorsqu’il est question du djihad pour Allah, les musulmans [orthodoxes] veulent dire se battre pour Allah. Le mot « djihad »ne signifie pas uniquement « combat ». « Se battre »n’est qu’un des sens du mot « djihad », mais le djihad pour « Allah » se réfère à la « lutte » entreprise pour Allah.

     

    […]

     

    Il continue : « En effet, (le djihad) est le summum [NDT : le nec plus ultra] en islam. Si l’islam était un chameau, le djihad pour Allah se situerait sur le faîte de sa bosse [NDT : sic]. Le Prophète Mahomet le considérait comme le parachèvement de l’islam. Cette forme du djihad est sans doute l’un des plus grands hommages rendu à Allah. Il implique de se sacrifier soi-même, ainsi que son argent, et un grand effort mérite une grande récompense.

     

    […]

     

    Oui, le djihad peut être défensif ou offensif. Le djihad défensif consiste à se préserver. Si nous devons nous défendre, la fatwa est inutile. Lorsque nous sommes attaqués, nous devons nous défendre par tous les moyens mis à votre disposition. Le djihad offensif consiste à  attaquer les infidèles afin de conquérir leurs terres, et de les contraindre à accepter l’islam. S’ils refusent de se convertir, ils sont tenus de payer la jizya, et s’ils refusent de la payer, ils doivent être exécutés. Tel est le « djihad offensif ».

     

    […]

     

    En effet, le but ultime du djihad pour Allah consiste à instaurer le monothéisme ‘jusqu’à ce que la religion soit à Allah seul‘ , ou ‘jusqu’à ce que la religion soit à Allah’, selon un autre verset. ‘Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de fitna’, terme qui signifie polythéisme, ‘jusqu’à ce que la religion soit à Allah seul’, ou en d’autres termes, jusqu’à ce que tous adhèrent au monothéisme et croient en Allah seul. C’est un verset clair et sans ambiguïté dans le Coran. Selon la Sunna, comme il apparaît dans les deux compilations Sahih [NDT : Ref aux recueils de Sahih al-Bukhari], le Prophète Mahomet a dit: ‘J’ai reçu l’ordre de combattre le peuple.’. Pour quelle raison : ‘jusqu’à ce qu’ils attestent qu’il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah et que Mahomet est Son prophète, et ils qu’ils fassent la prière et payent la zakkat.’.

     

    […]

     

    Nous luttons pour l’expansion de l’islam. Supposons qu’une personne nous barre la route alors que nous voulons convertir tous les mécréants, tous les peuples de la Terre, lesquels ont été créés par Allah afin qu’ils puissent L’adorer. Nous voulons convertir et les djinns et les infidèles à notre religion. Si quelqu’un s’oppose à notre projet, nous sommes autorisés à le combattre, afin que l’islam se répande sur toute la Terre.

     

    […]

     

    Notre but n’est pas de rançonner les (infidèles), d’étendre notre territoire, ou de les dominer … Non, nous les combattons pour qu’ils deviennent musulmans [NDT : en d’autres termes une fois les territoires conquis, les habitants sont soumis au bon vouloir de leurs maîtres musulmans !].

     

    […]

     

    L’islam a le mérite de ne pas mettre à mort les femmes et les enfants (de l’ennemi). Ils deviennent des esclaves, et ils sont bien traités. On leur demande de se convertir à l’islam. Combien d’oulémas blancs ont été des esclaves, qui par la grâce d’Allah sont devenus des savants musulmans. S’ils étaient morts infidèles, ils auraient été condamnés à l’enfer éternel. Au lieu de cela, ils sont devenus esclaves. Le prophète Mahomet s’est emparé d’une juive et l’a épousée, et elle est devenue la mère des croyants. Imaginez ça ! Elle était juive auparavant. Si elle était morte en tant que croyante en un judaïsme falsifié, elle serait allée en enfer. Au lieu de cela, elle a été réduite à l’esclavage, et elle s’est révélée être la meilleure épouse pour le prophète Mahomet.

     

    [..]

     

    L’asservissement des (incroyants) est l’un des bienfaits de l’islam, mais certains ne veulent pas le reconnaître et déclare: ‘L’esclavage n’existe pas dans l’islam.’. Comment peuvent-ils dire cela ? [L’esclavage] est dans le Coran. ».

     

    Traduit de l’anglais par Lavéritétrionphera.

     

    Source : https://www.jihadwatch.org/2017/12/muslim-cleric-offensive-jihad-means-attacking-infidels-to-conquer-their-countries-and-bring-them-into-fold-

     


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    Gil Kessary

    Journaliste israélien et ancien diplomate

     

     

     

     

     

     

     

    Grands penseurs et l'Islam

    RELIGION - Face à la montée de la menace Islamiste l'opinion publique européenne, voire mondiale, est perplexe: cette cruauté et cette barbarie font elle partie intégrale de du Coran et de l'Islam, ou plutôt l'initiative de minorités?

     

    28/12/2014 09:34

    Face à la montée de la menace Islamiste l'opinion publique européenne, voire mondiale, est perplexe: cette cruauté et cette barbarie font elle partie intégrale de du Coran et de l'Islam, ou plutôt l'initiative de minorités? Les réponses sont partagées selon les convictions des uns et des autres.Laissons donc parler certains grands penseurs à travers l'Histoire, non taxés d'islamophobie. Sans commentaires ni opinion personnelle.

     

    ANDRÉ MALRAUX (Paru dans le "Time" le 3 juin 1956): " C'est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée Islamique. Sous estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'Islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles(...) Le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'Islam(...). Actuellement, il est trop tard".

     

     

    WINSTON CHURCHILL ( 1874-1965): "L'influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles (...)Il n'existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde (...) La civilisation de l'Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique".

     

    BOSSUET (1627-1704): ''L' Islam, cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance , pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l'empire de Satan dans tout l'univers."

     

    CHATEAUBRIAND (1768-1848): "Tous les germes de la destruction sociale  sont dans la religion de Mahomet."


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    Ce moment de l'histoire, peu connu, où les Américains ont failli gouverner... la France

    Par Nathan Weber · Publié mercredi 19 octobre 2016 à 15h

    C’est un point méconnu de l’histoire. Un détail que l’on ne vous a probablement jamais enseigné en cours d’histoire… et pourtant, cela peut changer de manière radicale la perception que vous pouvez avoir des événements de la Seconde Guerre Mondiale — plus particulièrement, de son héritage et de son impact sur le monde après sa résolution, le fameux « Nouvel Ordre Mondial » souhaité par les alliés vainqueurs.

     

    On nous dépeint souvent cela de manière un petit peu idéalisée (en tout cas simplifiée) : Churchill, Roosevelt et de Gaulle, triomphants, main dans la main, rétablissent la paix et préparent un avenir de paix et de prospérité pour l’Europe et, a fortiori, pour le Monde.

     

    La France, accueillant à bras ouverts les Américains salvateurs qui viennent lui rendre sa vieille liberté en clamant « La Fayette, nous voilà ! »

     

     

     

    Et pourtant, ce beau récit de fraternité et d’entraide entre les nations est à tempérer fortement.

     

    Car la vérité est là : Charles de Gaulle a toujours refusé catégoriquement de participer aux commémorations du 6 juin 1944, date du débarquement allié en Normandie

     

     

     

    Mais pourquoi ? Est-ce donc cela, la fameuse ingratitude Française, cette arrogance bien de chez nous qui nous est si souvent reprochée par nos « sauveurs » d’outre-Atlantique ?

     

    En fait, si l’auteur de l’appel du 18 Juin a gardé une certaine rancœur face à tout cela, c’est parce que les événements qui ont permis la fin du nazisme en France ne se sont pas déroulés d’une manière aussi idyllique que ce qui nous est présenté. Car après leur arrivée sur les côtes françaises, les Américains se sont plutôt conduits en colonisateurs… qu’en libérateurs !

     

     

     

     

    Libérer… ou annexer ?

     

    Oui, si les Américains se sont engagés sur le sol Français, c’est parce qu’ils voulaient… gouverner la France. Dès 1941, deux ans après le début de la Seconde Guerre Mondiale, Washington avait déjà prévu d’imposer à la France un statut similaire à celui des futurs vaincus, l’Italie, l’Allemagne et le Japon.

     

     

    Il s’agit d’un statut de protectorat, un AMGOT (Allied Military Government of Occupied Territories). En clair, un gouvernement militaire américain destiné à contrôler les territoires occupés…

     

    Ce gouvernement aurait aboli toute souveraineté de la France — y compris le droit de frapper sa propre monnaie !

     

     

     

    Voici ce qu’aurait déclaré de Gaulle à Alain Peyrefitte, des propos qu'il rapportera plus tard :

     

     

    « Le débarquement du 6 juin, ça a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s’apprêtaient à le faire en Allemagne !

     

    Ils avaient préparé leur AMGOT qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l’avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis ! »

     

     

     

    Dès les premiers jours suivant leur débarquement en Normandie, les soldats Américains commencèrent à distribuer ces billets à la population. Vous ne remarquez rien ?

     

     

     

     

    Oui, niveau coloris et graphisme du billet, cela ressemble à s'y méprendre à des dollars américains…

     

    En fait, c’est peu ou prou la même chose, à ceci près que cette monnaie est libellée en francs, sans doute pour faire plus « couleur locale ». Et pour cause : ces « dollars français » ont été imprimés par le Bureau of Engraving and Printing, le même organe qui se charge de la création des documents officiels du gouvernement fédéral américain !

     

    La circulation de ces billets est d’ailleurs très mal accueillie par la population dans son ensemble, notamment par les commerçants. Lorsque François Coulet, le Commissaire de la République, apprend que les armées américaines distribuent leur propre monnaie sur le sol français, il recommande aux banques de simplement les encaisser comme argent comptant SANS les remettre en circulation, afin d’endiguer leur diffusion.

     

    Ce n’est qu’avec l’arrivée de Charles de Gaulle sur le sol Français, le 27 juin, que le projet d’AMGOT que les Américains voulaient imposer s’effondra pour de bon. Le général, bouillant de colère, dénonça l’utilisation par les troupes américaines de cette « fausse monnaie », et en fit interdire la circulation et l’encaissement par les commerçants.

     

     

     

    Mais pourquoi, au juste, Washington voulait-il retirer ainsi sa souveraineté au pays nouvellement libéré ?

     

    Pour certains historiens américains, c’est parce que Roosevelt ne pouvait pas supporter l’idée que de Gaulle, « apprenti dictateur » selon lui, accède au pouvoir. L’idée d’un président Américain qui voudrait épargner à la France d’être gouvernée par un militaire qui conserverait le pouvoir est plutôt plaisante… Mais lorsqu’on se penche sur certains faits, la réalité semble être malheureusement toute autre.

     

    Ainsi , De Gaulle parle volontiers du comportement méprisant de Churchill et de Roosevelt à son égard, de l’exclusion totale des armées françaises lors du débarquement, et d’une volonté d’imposer à la France une « seconde occupation » afin de faire main basse sur les richesses de son empire colonial.

     

     

     

    Voici le souvenir d’un entretien avec le Général de Gaulle, tel que rapporté par Alain Peyrefitte dans son ouvrage « C’était de Gaulle », Éditions de Fallois/Fayard (1997).

     

    Le sujet de la conversation traite du refus catégorique du Général de se rendre à la cérémonie commémorant les vingt ans du débarquement, en 1964.

     

     

    « Alain Peyrefitte (l’air candide) : ”Croyez-vous, mon général, que les Français comprendront que vous ne soyez pas présent aux cérémonies de Normandie ?

     

    Charles de Gaulle (sévèrement) : – C’est Pompidou qui vous a demandé de revenir à la charge ? (Je ne cille pas). Eh bien, non ! Ma décision est prise ! La France a été traitée comme un paillasson ! Churchill m’a convoqué d’Alger à Londres, le 4 juin. Il m’a fait venir dans un train où il avait établi son quartier général, comme un châtelain sonne son maître d’hôtel. Et il m’a annoncé le débarquement, sans qu’aucune unité française ait été prévue pour y participer. Nous nous sommes affrontés rudement. Je lui ai reproché de se mettre aux ordres de Roosevelt, au lieu de lui imposer une volonté européenne (il appuie). Il m’a crié de toute la force de ses poumons : ”De Gaulle, dites-vous bien que quand j’aurai à choisir entre vous et Roosevelt, je préférerai toujours Roosevelt ! Quand nous aurons à choisir entre les Français et les Américains, nous préférerons toujours les Américains ! Quand nous aurons à choisir entre le continent et le grand large, nous choisirons toujours le grand large ! ” (Il me l’a déjà dit. Ce souvenir est indélébile.)

     

    ”Le débarquement du 6 juin, ç’a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi ! Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s’apprêtaient à le faire en Allemagne ! Ils avaient préparé leur AMGOT, qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l’avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis.

     

    ” C’est exactement ce qui se serait passé si je n’avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous-préfets, mes comités de libération ! Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n’est pas là ! »

     

     

     

    Selon l’analyse qu’en livre Annie Lacroix-Riz, Professeur d’histoire contemporaine à l’Université Paris-VII dans les pages du Monde Diplomatique, les Américains se sont conduits en France exactement de la même manière qu’avec d’autres pays d’Amérique Latine (ou du Moyen-Orient ?) En témoigne la répugnance de Washington à traiter avec Charles de Gaulle, dont le nom commençait à unifier la Résistance et les Français, et « l’affection » des Américains pour certaines des figures de la collaboration et d’anciens du régime de Vichy tel que François Darlan…

     

    « Les États-Unis pratiquèrent à la fois le veto contre de Gaulle, surtout lorsque son nom contribua à unifier la Résistance, et une certaine complaisance mêlée de rigueur envers Vichy. À l’instar des régimes latino-américains chers à Washington, ce régime honni aurait, à ses yeux, l’échine plus souple qu’un gouvernement à forte assise populaire », explique-t-elle.

     

    Le Président Roosevelt refusa toujours de reconnaître la légitimité de la France Libre, préférant maintenir une ambassade auprès de Pétain et du régime de Vichy jusqu’en novembre 1942, puis usant des manœuvres les plus tortueuses pour tenter d’écarter Charles de Gaulle du pouvoir et installer, à sa place, des dirigeants plus malléables.

     

     

     

     

     

    Pour de Gaulle, « Les Américains ne se souciaient pas plus de libérer la France que les Russes de libérer la Pologne. »

     

    De Gaulle livre un portrait assez sombre de la politique et des ambitions américaines de l’époque :

     

    « Vous croyez que les Américains et les Anglais ont débarqué en Normandie pour nous faire plaisir ? Ce qu’ils voulaient, c’était glisser vers le nord le long de la mer, pour détruire les bases des V1 et des V2, prendre Anvers et, de là, donner l’assaut à l’Allemagne. Paris et la France ne les intéressaient pas. Leur stratégie, c’était d’atteindre la Ruhr, qui était l’arsenal, et de ne pas perdre un jour en chemin.

     

    Churchill avait demandé à Eisenhower d’essayer de libérer Paris pour Noël. Il lui avait dit : « Personne ne pourra vous en demander davantage.

    Eh bien si, nous étions décidés à demander davantage ! Le peuple de Paris s’est soulevé spontanément et il aurait été probablement écrasé sous les décombres, comme le peuple de Varsovie, s’il n’avait pas été soutenu. Mais il y avait des hommes qui, trois ans plus tôt, à Koufra, s’étaient juré de libérer Paris, puis Strasbourg. Ce sont eux qui ont libéré Paris avec son peuple. […] Les Américains ne se souciaient pas plus de libérer la France que les Russes de libérer la Pologne. Ce qu’ils voulaient, c’était en finir avec Hitler, en essuyant le moins de pertes possibles. Ce qu’ils voulaient épargner, c’était le sang des boys, ce n’était pas le sang, les souffrances et l’honneur des Français. »






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