• L'américain Monsanto,pollueur international,de la dioxine aux o.g.m

    Ces substances sont dangereuses pour l'homme» - PressReader 

    (Effets sur le visage de la dioxine cancérigène)

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    L'Américain Monsanto,pollueur international,de la dioxine aux OGM

     

    Implantée dans 46 pays,le trust  américain Monsanto est devenu le leader mondial des OGM (organismes génétiquement modifiés) mais aussi de poisons,comme le pyralène (PCB) d'herbicides très toxiques pour l'homme, comme le Roundup et de défoliants tel que l'agent orange qui a été utilisé par l'armée américaine au Vietnam.

     

    Cet agent orange a été déversé à doses massives par avions, sur les forêts et les rizières au Vietnam,contre le Viet-Cong pour le débusquer.

     

    C'est un crime contre l'humanité car des régions entières ont été empoisonnées,le riz  est devenu impropre à la consommation et ce produit toxique,agent orange a causé  des milliers de morts et des malformations de bébés chez les femmes enceintes.

     

    Cet agent orange est très rémanent dans le sol et des malformations de bébés ont toujours lieu actuellement dans le Nord du Vietnam où les défoliations de forêts ont été les plus importantes.

     

    Monsanto a aussi produit l'hormone de croissance bovine qui est interdite en Europe mais autorisée aux Etats Unis et dans d'autres pays.D'où la toxicité des produits américains qui induit des troubles endocriniens chez les personnes mangeant de cette viande bovine.

     

    Cette hormone est interdite,depuis peu,en Europe mais il existait des filières illégales d'importation qui passaient notamment par la Belgique.

     

    Et on peut suspecter aussi  des éleveurs Français indélicats.

     

    Monsanto est à l'origine de la création et de la commercialisation des semences transgéniques,dites OGM.

     

    Aucun contrôle sérieux n'a été fait sur les OGM,seulement des essais sur des souris sur 2 mois d'alimentation. Monsanto a fait des rapports mensongers avec la collusion mafieuse de l'administration américaine.

     

    Car il y a vraiment des gros sous à la clé.

     

    Or,sur un laps de temps plus long de 2 ans et même plus, de consommation de maïs transgénique,un scientifique indépendant,le professeur Séralini  de l'université de Caen a démontré les effets cancérigènes du maïs Monsanto sur des souris.Un film même a été consacré à ce sujet. 

     

    Le Russie a dores et déjà suspendu ses importations de maïs Monsanto.

     

    En France,il est interdit de cultiver du maïs transgénique ,sauf dans les parcelles en plein air de L'INRA (institut national de la recherche agronomique). Mais quid des importations de farines de maïs et de soja transgéniques américaines qui vont à l'alimentation animale en France ?

     

    Ce marché de Monsanto est très juteux ce qui explique,ses efforts pour essayer de démolir les études du professeur Séralini.

     

    Voici ci-joint les arguments  et des faits qui rétablissent la probité et le sérieux des travaux professeur Séralini.

     

     

     

     

     

    Qu’en est-il des réponses des organismes gouvernementaux ?

    Certains organismes gouvernementaux n’ont pas perdu de temps pour condamner l’étude de Séralini. Mais ce ne sont pas des parties désintéressées, puisqu’elles ont été responsables des autorisations du maïs génétiquement modifié NK603 et de Roundup. Par exemple, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA), l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (ANSES) et le Haut Conseil des Biotechnologies (HCB), qui ont tous rejeté les découvertes de Séralini, avait précédemment exprimé des avis favorables sur la sécurité du maïs NK603, ce qui a débouché sur des autorisations au niveau de l’UE et à l’échelle nationale en France. 1 

     

    En tant que Membre du Parlement européen, Corinne Lepage a déclaré à propos du rejet de l’étude de Séralini par l’AESA : « Reconnaître la validité de l’étude reviendrait à scier la branche sur laquelle l’organisme est assis depuis des années, puisque tous ses avis sur les OGM ont été positifs ». 1

     

    L’institut fédéral allemand pour l’évaluation des risques, BfR, a également rejeté les découvertes de Séralini. 2 Mais les autorités de réglementation du gouvernement allemand sont responsables de l’autorisation du glyphosate dans l’UE, l’ingrédient chimique principal du Roundup. 3 Ainsi, dans ce cas également, le critique n’est pas une partie désintéressée.

     

    Il existe aussi des questions sur l’aspect véritablement représentatif de certains des rapports officiels ronflants condamnant l’étude de Séralini.

     

    Il a été révélé qu’un rapport prétendument mené par six académies scientifiques françaises était partial et non représentatif par l’expert en statistiques des académies Paul Deheuvels. Selon Deheuvels, les adhérents aux académies dans leur ensemble n’avaient pas été consultés concernant le rapport, qui a été rédigé par un groupe anonyme d’experts « réunis en urgence, nous ne savons pas par qui, personne ne sait comment, avec un manque total de transparence dans la sélection de ses membres et sur la base de deux représentants de chaque académie ». 4

     

    Comme le rapport des académies se concentrait largement sur les aspects statistiques de l’étude de Séralini, il aurait été normal que Deheuvels soit consulté – mais cela n’a pas été le cas. 4

     

    Le verdict de Deheuvels sur le rapport a été soutenu par 140 scientifiques français dans une lettre ouverte au journal Le Monde. Les scientifiques ont écrit :

     

    « Le fait qu’un groupe d’une douzaine de personnes déclarant représenter six académies [scientifiques] ait accepté une déclaration conjointe [condamnant Séralini] sans débat est contraire au fonctionnement normal de ces institutions et compromet l’image de la science et de la technologie ». 5

     

    Quant à la réponse de l’AESA à l’étude de Séralini, elle a été coordonnée lors d’une téléconférence de dernière minute avec la participation de seulement quatre États membres (Allemagne, Belgique, Pays-Bas et France) sur un total de 27 pays – un échantillon vaguement représentatif. Un objectif défini de la conférence, selon le représentant de l’AESA, consistait à « éviter une divergence » d’avis sur l’étude. Le représentant belge a même offert de pousser l’éditeur de la revue Food and Chemical Toxicology qui a publié l’étude de Séralini, à la retirer. 6

     

    De façon intéressante, deux mois après la publication de l’étude de Séralini, le magazine en ligne EU Food Policy a indiqué que l’AESA était en discussion avec la Commission de l’UE concernant l’organisation potentielle d’études pour tester les méthodologies à long terme des essais sur les aliments génétiquement modifiés. Il s’agit là d’une information capitale, car c’est la première fois que l’AESA a admis que des études à long terme seraient souhaitables. Mais aucun plan pour tester le maïs NK603 remis en cause par l’étude de Séralini n’a été proposé. Au contraire, un autre maïs de Monsanto, MON810, a été soumis. Il a été signalé que l’AESA a offert d’aider la Commission à concevoir de telles études, bien que tant que l’organisme refuse de concéder toute validité dans l’étude de Séralini, son rôle potentiel dans ce projet demeure profondément suspicieux. 7

     

     

     

    Références :

     

    1. Lepage C. OGM: l’EFSA a manqué à une déontologie élémentaire . Le Nouvel Observateur. 7 octobre 2012. http://bit.ly/QWjizy

     

    2. Bundesinstitut für Risikobewertung (BfR). A study of the University of Caen neither constitutes a reason for a re-evaluation of genetically modified NK603 maize nor does it affect the renewal of the glyphosate approval (une étude de l’Université de Caen ne constitue pas une raison pour réévaluer la maïs génétiquement modifié NK603 et n’affecte pas non plus le renouvellement de l’approbation du glyphosate). 1er octobre 2012. http://bit.ly/Sz6lRI

     

    3. Antoniou M, Habib MEM, Howard CV, et al. Teratogenic effects of glyphosate-based herbicides: Divergence of regulatory decisions from scientific evidence (effets tératogènes des herbicides à base de glyphosate : divergence des décisions des autorités de réglementation par rapport à la preuve scientifique). J Environ Anal Toxicol. 2012.

     

    4. Deheuvels P. L’étude de Séralini sur les OGM, pomme de discorde à l’Académie des sciences. Le Nouvel Observateur. 19 octobre 2012. http://leplus.nouvelobs.com/contribution/661194-l-etude-de-seralini-sur-les-ogm-pomme-de-discorde-a-l-academie-des-sciences.html

     

    5. Andalo C, Chercheuse AHS, Atlan A, Auclair D, Austerlitz F, Barot S. Science et conscience. Le Monde. 14 novembre 2012. http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/11/14/science-et-conscience_1790174_3232.html

     

    6. Unité des risques émergents de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA). Téléconference avec les États membres sur l’étude de Séralini et al du 28 septembre 2012, 10.30-12.30, 1er rapport de réunion. 28 septembre 2012. https://zoek.officielebekendmakingen.nl/blg-187499.html

     

    7. Trollope, K. Commission and EFSA agree need for two-year GMO feeding studies (Trollope, K. Commission et l’AESA tombent d’accord sur la nécessité d’études sur deux ans concernant les fourrages aux OGM). Politique alimentaire de l’UE. 17 décembre 2012.

     

     

     

    En complément ,pour approfondit la réflexion,voici 2 livres importants:

    "Le monde selon Monsanto"

     

    De la dioxine aux ogm,une multinationale qui vous veut du bien-Préface de Nicolas Hulot.

     

    de Marie -Monique ROBIN

     

    Editions "La découverte"

     

     

     

    "La vérité sur les OGM,c'est notre affaire"

     

    Corinne Lepage -Editions Charles Léopold de Mayer