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    2 décembre 2022 Jacques Guillemain GUERRE OTAN CONTRE RUSSIE 

     

     

     

    Ce général Sourovikine n’a vraiment pas une tête de loser et les Ukrainiens ont du souci à se faire malgré l’odieuse propagande de Zelensky et les délires otaniens, rabâchés nuit et jour chez nos médias.

     

    A  part bouffer du Popov à longueur de temps en occultant les colossales pertes ukrainiennes quotidiennes et en évacuant les préparatifs de la gigantesque offensive russe qui s’annonce, nos soi-disant journalistes ne savent que désinformer les citoyens, totalement abusés par le narratif de Washington et ses valets.

     

    Sur le blog de Boris Karpov, on peut lire :

     

    « Le commandant du bataillon néo-nazi Svoboda, Petro Kuzik, dont l’unité tente de retenir Bakhmut, a déclaré aux médias occidentaux que les champs et les forêts environnants sont jonchés de cadavres de soldats ukrainiens, et qu’ils doivent se défendre en froid extrême et jusqu’aux genoux dans l’eau.

     

    « Ils [les Russes] ont senti une faiblesse dans nos défenses parce qu’il y a des unités moins motivées que les nôtres. Et hier, ils ont légèrement affaibli nos défenses dans la zone immédiatement autour de Bakhmut. Certaines unités n’ont pas pu résister à cet assaut d’artillerie et se sont retirées.”

     

    Interrogé sur la gravité des pertes en vies humaines, il a répondu : « Les chiffres sont colossaux. Nous ne comptons même pas les corps. »

     

    Le chiffre de 100 000 tués chez les soldats ukrainiens est sans doute minoré. On estime leurs pertes 6 à 10 fois supérieures à celles des Russes, qui ont fait le choix de retraits tactiques pour se positionner en défense et limiter les pertes humaines.

     

    https://reseauinternational.net/le-general-serguei-sourovikine-prend-linitiative-en-ukraine/

     

    Les contre-offensives ukrainiennes à Kharkov et Kherson ont fait l’objet d’un triomphalisme bien naïf de la part des Occidentaux. 

     

    Primo, les Ukrainiens n’ont pas réussi à couper l’armée russe en deux parties sur le front nord, en espérant reprendre Severodonesk. Après leur retrait, les Russes ont stabilisé le front et repartent à l’assaut.

     

    Secundo, sur le front sud, ils n’ont pas pu encercler les forces russes à l’ouest du Dniepr malgré leur écrasante supériorité numérique, le général Sourovikine ayant décidé d’évacuer Kherson et de sauver ses hommes et leurs matériels pour les replier à l’est du fleuve.

     

    Le résultat est flagrant : une hécatombe chez les forces ukrainiennes pour un bien maigre gain territorial temporaire. Le choix de protéger ses forces a été payant pour Sergueï Sourovikine.

     

    « Dans le même temps, l’automne avait fait des ravages, les crêtes des forêts avaient perdu leurs feuilles et ne pouvaient plus offrir aux Ukrainiens un couvert et des conditions propices à des approches furtives. La boue a empêché toute forme de manœuvre, car la plupart des moyens de combat ukrainiens sont sur roues (BTR, MLRS, MRAP, camions remorqueurs d’obusiers, obusiers automoteurs Caesar, Humvee, etc.). L’Ukraine a perdu la capacité offensive qu’elle avait démontrée lorsqu’elle avait pris l’initiative. »

     

    Depuis le 10 novembre, le choix du général Sourovikine est de détruire toutes les infrastructures critiques, afin de priver l’armée ukrainienne des moyens de transport et du système électrique indispensables à la manœuvre.

     

    « Privés d’électricité, les convois ferroviaires transportant des armes, des munitions et des troupes envoyées sur la ligne de front sont frappés comme une cible fixe par les missiles russes… Bien que l’OTAN envisage d’augmenter les livraisons d’armes à l’Ukraine, il est prévu que, dans le cadre de l’INTERDICTION AÉRIENNE imposée par l’armée russe à la suite de la destruction de l’infanterie critique, seuls 20 à 25 % de ces armes atteindront la ligne de front dans un état opérationnel. »

     

    « La population ukrainienne souffrira également du manque de produits de première nécessité (eau, lumière, électricité, chauffage, etc.). La baisse de moral aura un impact négatif sur la confiance dans les dirigeants politiques et militaires de Kiev. Par contagion, ces problèmes pressants des familles des soldats au front réduiront au minimum l’envie de se battre des militaires ukrainiens. Et des désertions massives peuvent se produire. »

     

    L’offensive d’hiver approche. Plus de 500 000 soldats russes parfaitement équipés, commandés par des officiers ayant tiré les enseignements de ces neuf mois de guerre, vont affronter les débris de l’armée ukrainienne, de plus en plus épuisée et démotivée.

     

    L’acharnement des Occidentaux est peine perdue et pousser à bout Poutine est un mauvais calcul. Aucune arme conventionnelle réellement dévastatrice n’a encore été utilisée sur le front, dans le but de préserver les vies civiles. Mais il est évident que si le besoin s’en faisait sentir, les bombes thermobariques feraient des ravages dans les rangs ukrainiens.

     

    Les Français, grâce à Macron, vont connaître les coupures d’électricité, avec perte de chauffage, d’eau, d’internet et de portable.

     

    Quant à nos entreprises, ruinées par le quadruplement des prix du kW/h, elles envisagent de délocaliser vers des cieux plus cléments où l’énergie est abordable.

     

    Le pitre de Bercy croyait détruire l’économie russe. Celle-ci ne s’est jamais aussi bien portée alors que la nôtre est en train de s’effondrer, avec un chômage démentiel à la clé.

     

    Dans cet océan de stupidité et de décisions suicidaires, seul Viktor Orban a sauvé son pays du naufrage énergétique. 

     

    Les armes livrées se retrouvent dans les réseaux mafieux, les milliards envoyés à Kiev s’évaporent dans les paradis fiscaux. Des fortunes colossales se créent depuis 9 mois avec l’argent des Occidentaux.

     

    C’est beau, le soutien à l’Ukraine, pays mafieux qui nous est totalement étranger, ni dans l’Otan, ni dans l’UE.

     

    Macron va nous détruire. Et il est parti chercher ses ordres auprès de son suzerain Biden. Il a une âme de bourgeois de Calais.

     

    Jacques Guillemain

    (Source :Riposte laïque)


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    Michelduchaine

    Défenseur de la Terre/Defender of the Earth

     

     

    Tyran sioniste sans foi ni loi, Zelensky publie une LISTE NOIRE des législateurs et journalistes américains tout en volant des MILLIARDS aux contribuables américains ,canadiens et européens

     

    31 JUILLET 2022 ~ MICHEL DUCHAINE

    Tout en volant des milliards de dollars sur les contribuables américains, le « président » fantoche ukrainien Zelensky a publié une liste noire menaçante qui désigne spécifiquement les législateurs et les journalistes américains comme étant des « propagandistes russes » qui devraient être rejetés par les médias et la société.

     

    Zelensky et Trudeau ont discuté du dossier des turbines expédiées en Allemagne | Guerre en Ukraine | Radio-Canada.ca

    Ce sont des politiciens néolibéraux corrompus ,mondialistes et pro -sionistes qui osent appuyer le dictateur Zelinsky,comme Justin Trudeau le petit mondialiste pourri et hypocrite!

     

     

    Au grand étonnement de beaucoup, parmi ces noms figurent le sénateur américain Rand Paul, la députée Tulsi Gabbard et le journaliste primé Glenn Greenwald.

     

    Quiconque n’est pas d’accord avec Zelensky va maintenant apparemment être qualifié de « marionnette de Poutine », comme si le dirigeant en place d’un pays européen était désormais autorisé à dicter une sorte de score de réputation aux législateurs et aux journalistes américains.

     

    C’est le genre de tactique utilisée dans les États racistes et autoritaires, rappelant l’Allemagne hitlérienne et l’Union soviétique sous Staline. À cela s’ajoutent les tactiques suivantes de Zelensky, toutes méprisables, enracinées dans l’autoritarisme et la tyrannie :

     

    interdire tous les partis politiques d’opposition en Ukraine

    interdire tous les médias à l’exception des médias contrôlés par son régime

    interdire les livres, les films, la musique, les œuvres d’art et les productions théâtrales qui font référence à l’histoire ethnique russe de l’Ukraine (interdisant essentiellement l’histoire vraie)

     

    Zelinsky est un franc maçon sioniste juif et un sataniste.

    Comme Glenn Greenwald l’a détaillé dans son fil Twitter :

     

    Avant l’invasion de la Russie et depuis cette invasion, Zelensky a aboli les libertés fondamentales : médias d’opposition fermés, partis interdits, dissidents emprisonnés.

     

    Alors que l’Ukraine demande de l’argent et des armes à l’Occident, elle veut désormais exporter cette répression dans nos pays avec ses listes noires du maccarthysme:

     

    Vous pouvez voir la liste noire ukrainienne complète, obtenue par @unherd. Au-delà des personnes énumérées ci-dessus, les personnes officiellement calomniées sont @JeffDSachs, @RandPaul, l’ancien président du Brésil @LulaOficial, le colonel Douglas MacGregor, Caleb Maupin, Marine LePen et bien d’autres :

     

     Il faut une extrême audace à Zelensky et à ses hommes de main pour faire le tour du monde en exigeant que d’autres nations lui envoient des quantités massives d’armes et d’argent, puis essayer de réprimer la dissidence dans nos pays en diffamant les journalistes et les citoyens qui se posent des questions à son sujet.

     

     

     

    Zelensky est un tyran fou furieux, ivre de pouvoir et un danger pour le monde entier

     

    En effet, Zelensky est devenu un tyran fou furieux qui exige des dizaines de milliards de dollars des États-Unis (et de l’UE) sous le faux prétexte de « défendre la démocratie » alors qu’il marche en fait dans les mêmes pas que les tyrans de l’histoire comme  Staline,Pol Pot et Kim Jung Il.

     

    La place légitime de Zelensky dans la hiérarchie de l’histoire autoritaire pourrait être aux côtés de Kim Jong-Un, ou Pol Pot. Pourtant, d’une manière ou d’une autre, il est célébré par les médias occidentaux tordus et trompeurs comme un héros divin chargé de sauver l’Europe occidentale des ravages de la Russie.Cela ressemble un peu au rôle que les USA avaient demandé de jouer à Saddam Hussein face à l’Iran des Ayatollas…avant  de le poignarder dans le dos!

     

    Justin Trudeau appuie Emmanuel Macron aux présidentielles françaises | JDM

    Les deux chefs d’états mondialistes et franc maçons les plus amis avec l’Ukraine:Justin Trudeau et Emmanuel Macron.

    Pourtant, la Russie offre le seul véritable espoir au peuple ukrainien d’échapper à son esclavage sous Zelensky, un tyran qui a passé près de 8 ans à autoriser des frappes militaires contre les innocents de la région du Donbass, faisant la guerre contre des civils tout en menant des opérations de police secrète à travers le pays , avec des assassinats d’opposants politiques et des disparitions secrètes de détracteurs du gouvernement.

     

    Tout cela a été fait sous la pleine direction de la CIA, bien sûr, comme cela a maintenant été facilement admis par le Washington Post et d’autres médias. Zelensky a toujours été une marionnette, ce qui n’est pas surprenant, étant donné son expérience de comédien et d’acteur de télévision gay qui a été facilement soumis à un chantage compte tenu de la saleté de son passé méprisable. Lorsque maintenant  la Russie explique qu’elle travaille à « dénazifier » l’Ukraine, cela a du sens. Zelensky a également travaillé pour soutenir le bataillon nazi Azov qui a terrorisé les civils ukrainiens pendant des années et qui n’a été repoussé que lorsque la Russie a lancé son opération militaire spéciale pour démilitariser le régime ukrainien qui assassinait des civils innocents (y compris des enfants).

     

    Pour le bien du peuple ukrainien, nous ne pouvons qu’espérer que quelqu’un chassera bientôt Zelensky du pouvoir, que ce soient les États-Unis, la Russie ou un coup d’État militaire ukrainien. Plus tôt Zelensky sera destitué, plus tôt les négociations pourront commencer avec la Russie pour une résolution pacifique. Et cela signifie que les morts inutiles d’hommes ukrainiens peuvent enfin s’arrêter, bien trop tard et longtemps après que Zelensky ait sacrifié la vie de dizaines de milliers d’Ukrainiens innocents afin d’essayer de protéger son propre régime anarchique protégé par l’ouest.

     

    DIEU MERCI : la Russie annonce son intention d’aider le peuple ukrainien à éliminer le tyran enragé Zelensky

     

    Heureusement pour le peuple ukrainien, la Russie élargit maintenant la portée de son opération militaire et envisage apparemment de retirer Zelensky du pouvoir. Comme détaillé par Zero Hedge :

     

    La Russie a pour la première fois déclaré que, parmi ses objectifs de guerre ultimes, elle vise le changement de régime en Ukraine. Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré dimanche dans des propos rendus publics lundi que Moscou aiderait le peuple ukrainien à « se débarrasser du régime » en Kiev.

     

    Au début de l’été, l’armée russe avait concentré ses objectifs sur le champ de bataille sur la «libération» du Donbass, mais ce dernier commentaire de Lavrov sur la destitution du président ukrainien Volodymyr Zelensky représente l’objectif de guerre le plus vaste à ce jour.

     

    « Nous sommes déterminés à aider le peuple de l’est de l’Ukraine à se libérer du fardeau de ce régime absolument inacceptable », a déclaré Lavrov lors d’une rencontre avec des responsables de la Ligue arabe en Égypte.

     

    De la même manière, le dirigeant de Donetsk, Denis Pushilin, a déclaré que la Russie devait maintenant poursuivre son opération militaire vers l’ouest, en éliminant les sionistes  fascistes d’Odessa, de Kiev et de toutes les villes ukrainiennes fondées à l’origine sous l’Union soviétique.

     

    De NewsRND.com:

     

     

    Denis Pushilin

    Le président de la République populaire de Donetsk, Denis Pushilin, a déclaré qu’il était temps de libérer des villes russes telles que Kyev et d’autres grandes villes.

     

    Le site Internet Russia Today a cité Pouchiline disant : Il est temps de libérer à nouveau les villes russes fondées par le peuple russe, telles que Kyev, Tchernigov, Poltava, Odessa, Dnepropetrovsk, Kharkov, Zaporozhye et Loutsk.

     

    Depuis que la République populaire de Donetsk a déclaré son indépendance de Kyev en 2014, cette région a été régulièrement bombardée par les forces ukrainiennes.

     

    Comme Zelensky, l’OTAN et les États-Unis l’ont clairement indiqué, le seul moyen pour la Russie d’être à l’abri de l’agression occidentale est d’éliminer le régime totalitaire  ukrainien et de permettre au peuple ukrainien d’élire ses propres dirigeants (plutôt que de laisser la CIA installer des marionnettes obéissantes) .

     

    Nous estimons que les jours de Zelensky sont comptés, d’une manière ou d’une autre.

     

    Mettre fin au régime sioniste fasciste de Zelensky est le seul moyen d’arrêter le génocide contre les Russes de souche en Ukraine

     

    Il devient de plus en plus évident pour la Russie et les habitants de Donetsk que le seul moyen d’arrêter le terrorisme de Zelensky et les massacres anti-humains de civils russo-ethniques est de chasser Zelensky et de mettre fin à son régime fasciste une fois pour toutes. Comme pour le dictateur Hitler, les puissances honorables du monde doivent payer le prix de l’élimination du mal de ce monde, même si cela signifie mener une guerre pour atteindre ce résultat.

     

    La Russie a payé un lourd tribut en participant à ce chapitre de l’histoire, perdant plus de 20 millions d’hommes combattant la dictature du Troisième Reich. Maintenant, il semble que la Russie soit appelée à répéter ce sacrifice au profit de l’avenir de l’humanité. Un monde dirigé par des marionnettes de la CIA comme Zelensky est un monde tyrannique et despotique qui ne peut pas être autorisé à rester. Zelensky et ses contrôleurs doivent être empêchés d’asservir toute l’humanité.

     

    En résumé, Zelensky est l’interprétation du mal pur.

    Il est à 100% en accord avec la propagande démoniaque « woke » de l’Occident, le manipulation politique  du changement climatique qui écrase la civilisation humaine, l’agenda de la mort/dépopulation vaccinale, la censure extrême et de tous les autres horribles piliers du mal qui caractérisent maintenant les nations occidentales comme l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, les États-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

    Ces nations occidentales sont imprégnées de satanisme, de meurtres d’enfants (infanticides), de pédophilie, de fabrication d’armes biologiques pour le compte de la CIA, d’élections truquées, de censure extrême, de persécutions illégales d’ennemis politiques et de crimes contre l’humanité.

     

    À vrai dire, la suppression de Zelensky n’est que la première étape du plan d’action nécessaire pour sauver l’humanité du satanisme et de l’effondrement. La force d’occupation ennemie illégitime qui dirige actuellement le régime illégitime en Amérique doit également être démocratiquement chassée du pouvoir, poursuivie pour ses crimes et punie pour ses crimes contre notre monde.

     

    Ce n’est qu’alors que nous pourrons tous revenir à la coexistence pacifique, au libre-échange, à la disponibilité pour tous de nourriture, d’engrais, de l’énergie, à l’agriculture saine et à l’abondance à des prix abordables.

     

    Source : Natural News

     

     

     

     


  •  Résultat d’images pour Image de Tchernobyl 

    Les restes de la centrale de Tchernobyl

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    GUERRE OTAN CONTRE RUSSIE .Totalement hors de contrôle, Zelensky veut un nouveau Tchernobyl

     

    22 novembre 2022 Jacques Guillemain GUERRE OTAN CONTRE RUSSIE 29

     

    Totalement hors de contrôle, Zelensky veut un nouveau Tchernobyl à Zaporijjia

     

    Il n’a pas renoncé à son rêve machiavélique d’impliquer l’Otan dans une troisième guerre mondiale contre la Russie.

     

    Mais le vent tourne, Zelensky sait très bien qu’il va perdre cette guerre et que les Américains vont lui imposer de négocier. Les pourparlers se font entre Moscou et Washington, mais sans lui et sans les Européens.

     

    Il a compris qu’après lui avoir promis la victoire pendant des mois, les Occidentaux ne veulent plus de cette guerre qui affaiblit leurs économies et risque d’engendrer des révoltes populaires.

     

    Peu à peu, Zelensky se retrouve seul, grand perdant devant son peuple saigné à blanc, auquel il a menti en promettant la reconquête du Donbass et de la Crimée. Mais chacun sait aujourd’hui que c’est impossible car Poutine ne reculera jamais.

     

    Le pantin hystérique de Kiev a compris qu’il devra rendre des comptes après la défaite, poussé à la guerre par les têtes brûlées de son entourage néo-nazi, alors que son armée et son peuple sont à bouts de forces.

     

    Tant de morts pour rien. Tant de souffrances pour aboutir au dépeçage définitif de l’Ukraine. Beau bilan !

     

    Le résultat est que Zelensky étant aux abois, il se lance dans une fuite en avant suicidaire, en accusant Moscou des pires crimes, dans l’espoir d’obtenir toujours plus de soutien de l’Otan. Un chapelet de provocations sans fin.

     

    Scènes de crimes de guerre montées de toutes pièces

    destruction des gazoducs Nord Stream avec ses amis anglais, en accusant les Russes d’avoir saboté leur propre mine d’or

    utilisation des civils comme boucliers humains

    tirs de missiles sur la Pologne en faisant porter le chapeau à Poutine

    tirs sur la centrale nucléaire de Zaporijjia, en accusant les Russes de tirer sur leurs propres soldats

    Mais toutes ces provocations ne trompent plus personne. Le Churchill ukrainien, le grand résistant à l’envahisseur, a fini par être démasqué et il finira sous les tomates, chassé par son propre peuple pour lui avoir menti en lui demandant de se sacrifier pour une victoire illusoire.

     

    A Zaporijjia, ce que veut Zelensky, c’est un nouveau Tchernobyl, un désastre radioactif qui touchera l’Europe.

     

    Zelensky bombarde délibérément la centrale nucléaire de Zaporijia, le général Bruno Clermont accuse…

     

    C’est la plus grande centrale du continent, avec 6 réacteurs qui sont soit à l’arrêt, soit en cours de refroidissement. Elle est sous contrôle russe depuis huit mois.

     

    Même en présence d’experts de l’AIEA venus sur place, Kiev continue ses tirs sur la centrale, tout en accusant les Russes de s’autobombarder. Zelensky ne recule devant rien.

     

    Voici ce que disait l’ancien directeur adjoint de Paris Match sur CNews :

     

    « Je suis arrivé à Zaporijia le 11 septembre, la ville où se trouve la centrale nucléaire, avec en majorité des familles des personnels et ingénieurs travaillant dans la centrale. Dire que la centrale n’a pas été touchée par des obus ukrainiens, c’est faux ! »

     

    Ce WE, une douzaine de tirs a encore endommagé les installations, au risque de provoquer une catastrophe.

     

    Rafael Grossi, le chef de l’AIEA dénonce cette folie meurtrière intentionnelle mais sans cibler les coupables : 

     

    « Les gens qui font ça savent où ils frappent. C’est absolument délibéré, ciblé.

     

    Pourtant le coupable est bien connu :

     

     

    « Le général Bruno Clermont, interrogé sur CNEWS , rappelle que la centrale de Zaporojie est aussi une base militaire russe et que l’AIEA , dont deux agents y sont en permanence avec les soldats russes, sait très bien qui tire les missiles. « L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) sait qui a tiré. Le risque majeur, c’est la fusion de six réacteurs. C’est un risque extrêmement important. » Le général sous-entend que la Russie ne va pas se tirer dessus et que Zelensky est le commanditaire de cette folie. »

     

    Rappelons que le cynisme de Zelensky est sans limite. Ses déclarations font froid dans le dos.

     

    C’est ce fou qui déclarait qu’il fallait un tir nucléaire sur la Russie, à titre préventif.

     

    “Que doit faire l’Otan ? Éliminer la possibilité que la Russie utilise des armes nucléaires. Mais surtout, je lance à nouveau un appel à la communauté internationale, comme avant le 24 février : des frappes préventives, pour qu’ils sachent ce qui leur arrivera s’ils les utilisent”. “Et non l’inverse, attendre des frappes nucléaires de la Russie pour pouvoir dire : « Oh, eh bien, tu fais ça, alors maintenant prends ça de notre part! », a-t-il ajouté. “Revoir sa façon de faire pression, voilà, c’est ce que doit faire l’Otan, revoir sa façon de l’utiliser”

     

    Mais c’est pourtant Poutine qui est traité de fou par l’Occident !

     

    C’est encore lui qui appelait au génocide de la population russe : « Vous serez tués un par un en tant que boucs émissaires.. »

     

    https://juste-milieu.fr/zelensky-a-t-il-appele-au-genocide-de-la-population-russe/

     

    Zelensky perd pied. Il est aux abois et l’Occident doit admettre qu’il est capable du pire pour entraîner le monde dans l’abîme.

     

    Mais quels que soient les délires du pantin de Kiev, l’issue de cette guerre est gravée dans le marbre depuis le 24 février 2022. L’Ukraine sera dépecée, Zelensky et sa clique seront chassés du pouvoir, soit par les Russes, soit par le peuple ukrainien lui-même, qui s’est retrouvé entraîné dans la tourmente malgré lui, trompé à la fois par son président et par les Occidentaux.

     

    Cette guerre doit cesser et s’achèvera aux conditions de Moscou. 

     

    C’est le prix à payer par les Occidentaux et l’Ukraine pour deux raisons essentielles :

     

    Avoir refusé de faire la paix avec les Russes lors de la chute de l’URSS

    Avoir refusé d’appliquer les accords de Minsk à partir de 2015

    Cette guerre en Europe est avant tout la faute criminelle des Occidentaux.

     

    Tout le monde va en payer le prix fort.

     

    Jacques Guillemain

    ( Source: Riposte Laïque)


  • Résultat d’images pour image satirique d'un écologiste 

    Les écolos terroristes et le petit livre rouge de Mao

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    Dreuz.info

    LUNDI 14 NOVEMBRE 2022

     

     

    Ils avouent enfin : l’écologie de combat vise la réduction active de l’Humanité

    PUBLIÉ PAR H16 LE 14 NOVEMBRE 2022

    Ils avouent enfin : l’écologie de combat vise la réduction active de l’Humanité

    Il faut que les choses soient claires : l’empreinte carbone qu’il s’agit de réduire, c’est vous ! Et c’est tellement vrai, tellement évident qu’une récente tribune du Monde revient sur ce qui est maintenant un but affiché de l’écologie de combat, à savoir la réduction active de l’Humanité.

     

     

     

    Peu importe que les dernières projections raisonnables montrent une réduction naturelle drastique (plus de 50%) de la population d’ici 2100 ; pour les activistes malthusiens du climat, pas de doute : éliminer rapidement une partie de la population constituerait une vraie solution pour lutter contre un réchauffement climatique qu’ils continuent de voir dans des phénomènes disparates et à l’aune de prophéties plus ou moins catastrophistes pourtant régulièrement repoussées (nous devions tous mourir brûlés ou noyés en 2000, puis 2010, puis 2020 puis … bientôt, promis juré craché).

     

    Et il est indubitablement exact que si on élimine les humains, il n’y aura plus de dioxyde de carbone anthropique, par définition. Vu ainsi, on comprend que les doses d’humanisme des écologistes sont rapidement passées dans le domaine homéopathique : en quelques décennies, l’écologie s’est transformée d’une collection de principes – dont certains de bon sens comme une lutte contre les attentes dangereuses pour l’Homme à son environnement – en une idéologie de plus en plus invasive puis une véritable religion avec sa doctrine (dont la hausse du niveau des océans ou le réchauffement climatique en sont des piliers), ses prêtres (politiciens et figures médiatiques d’ONG officiellement syntonisées avec Gaïa) et ses rites depuis le tri des déchets jusqu’à la lutte contre le nucléaire ou la pédalomanie cyclopathe fièrement affichée par certains. 

     

     

     

     

    Comme il s’agit maintenant de religion, comme cette dernière n’est pas ouverte à débat et comme manifestement la majorité du peuple ne suit pas (en témoignent les scores systématiquement faibles des écolos pur sucre aux élections), l’usage de la force devient de plus en plus nécessaire. C’est donc sans surprise que ces mêmes écolos, se cachant derrière un paravent de non-violence, multiplient les actes délictueux dont la violence n’est justement plus exclue : blocages d’autoroutes et vandalismes plus ou moins démonstratifs se multiplient pendant qu’en parallèle se propage le parasitage systématique des activités humaines par des actions destructrices. 

     

    On répétera que c’est non-violent (même lorsqu’on observe le contraire) et le journal de 20 h est garanti. 

     

    Dans ce contexte, les politiciens auraient tort de ne pas pousser leur Agenda 2030 qui offre un boulevard à la mise en coupe réglée de toute l’économie et au contrôle total (et totalitaire) de chaque individu par une petite caste de décideurs, ce qui leur permet d’aller pavaner en toute hypocrisie à Charm El Cheikh sous les bravos serviles des médias subjugués.

     

    Pourtant, le suicide collectif auquel ces mesures débiles aboutissent inévitablement commence à en inquiéter plus d’un, à mesure que les effets palpables commencent à se faire sentir : c’est bien joli de multiplier les règles environnementales toutes plus handicapantes les unes que les autres, c’est très mignon de réclamer la sauvegarde de la galinette cendrée à tout prix, c’est fort écolo de se ferrer aux pieds tous les nouveaux boulets à la mode avant de tenter de courir, mais ces signalements virtuels gluants se traduisent maintenant par une baisse de compétitivité, puis des pertes d’emploi, puis des fermetures d’usines, puis de la misère pour tous. 

     

    La ZAD, son cortège de cahutes minables et son côté bidonville boueux, était jusqu’à présent l’horizon indépassable des seuls hypocondriaques de l’environnement. Au vu du déluge incessant de législations mortifères, elle va devenir la norme pour les citoyens français, forcés de retourner bien vite dans un moyen-âge éco-conscient, c’est-à-dire sans énergie et avec le ventre vide. 

     

    Ce n’est pas une exagération : le suicide de la société occidentale, et notamment française, est en cours, résolument choisi par une part maintenant croissante d’hurluberlus incapables de planifier au-delà de quelques jours mais persuadés d’avoir tout compris du climat sur 100 ans.

     

    Ainsi, le cas de Bridor est symptomatique : harcelée par les bobos écolos du cru, l’entreprise se voit contrainte d’abandonner complètement un projet d’usine de viennoiseries en Ille-Et-Vilaine. Les 500 emplois et la richesse créés le seront donc ailleurs, hors de France.

     

    Ceci n’est pas un exemple isolé, loin s’en faut : comment croire que la guerre ouverte menée actuellement contre les voitures thermiques, dont la disparition a été arbitrairement décidée pour 2035, va se passer comme sur des roulettes électriques ? 

     

    Les coquefredouilles gouvernementaux découvrent seulement maintenant que cette législation est en train de condamner directement à la ruine tout un pan de l’économie européenne, entraînant dans sa disparition celle de millions d’emplois et la délocalisation (en Asie essentiellement) de douzaines d’entreprises et de savoir-faire pourtant uniques. On s’amusera (modérément) de voir ces imbéciles diplômés aux maroquins trop importants tenter à présent de rétropédaler devant l’énorme bourde qu’ils ont commise en essayant d’introduire des clauses de revoyure d’ici quelques années. 

     

    Comme le disait Philip K. Dick, La réalité, c’est ce qui persiste à exister même lorsqu’on cesse d’y croire, et le crépi rugueux de cette dernière commence tout juste à râper les fesses tendres et trop dodues de certains politiciens qui comprennent – malheureusement trop tard et encore trop confusément – que les prochaines semaines, les prochains mois tout au plus, verront l’aboutissement catastrophique d’années de décisions imbéciles. 

     

    Devant ces perspectives, il n’est dès lors pas du tout étonnant que tout soit fait en coulisse pour mater le peuple lorsqu’il aura assez de ces vexations idiotes. Les prochains mois seront musclés. 

     

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © H16. Publié avec l’aimable autorisation de l’auteur (son site)

     

     

     

    Source : Blog de H16

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    Pour approfondir la question:

     


  • Résultat d’images pour images du président zelinsky 

    (Zelinsky,le nouveau président juif d'Ukraine)

     

     

    GUERRE OTAN CONTRE RUSSIE.Les trahisons de Zelensky et des médias : l’abandon de l’ukrainisation

    Les trahisons de Zelensky et des médias : l’abandon de l’ukrainisation

    3 novembre 2022 P.-A. Pontoizeau GUERRE OTAN CONTRE RUSSIE, RIPOSTE LAIQUE 3

     

    Que disait la presse mainstream lors de l’élection de Zelensky en avril 2019 ? Reprenons trois sources du moment : l’article du Monde du 21 avril de Benoît Vitkine, celui de La Croix du 28 mars d’Olivier Tallès après le premier tour et la synthèse de France Info du 22 avril 2019 actant son élection. Alors que ces rédactions nient maintenant 1. la corruption, 2. l’ukrainisation, 3. la promesse de la paix et 4. L’emprise des oligarques, ces trois articles jetaient en avril 2019 un regard cru sur l’élection présidentielle. Continuons aujourd’hui par l’ukrainisation.

     

    Les trois références :

     

    Ukraine : Volodymyr Zelensky remporte la présidentielle, le pays fait un saut dans l’inconnu (lemonde.fr)

     

    En Ukraine, le show Zelensky a rythmé la campagne (la-croix.com)

     

    Ukraine : ce que l’on sait du programme du nouveau président Volodymyr Zelensky (francetvinfo.fr)

     

    Et quelques autres sur l’ukrainisation :

     

    Histoire de l’Ukraine : l’ukrainisation en marche forcée, ou l’empire de la discrimination positive (lemonde.fr)

     

    L’ukrainisation de force renforce le séparatisme et pourrait provoquer l’éclatement de l’Ukraine – Le conseil du PECO (ecopeco.org)

     

    Ukrainisation à marche forcée, par Nikita Taranko Acosta (Le Monde diplomatique, mai 2019) (monde-diplomatique.fr)

     

    Une réalité décrite par les médias lors de l’élection de Zelensky

     

    Alors que les médias nient maintenant le nationalisme ukrainien et ses provocations à l’encontre des populations de culture et de langue russes, Benoit Vitkine affirmait bien dans Le Monde :

     

    « C’est d’ailleurs dans ce domaine que Volodymyr Zelensky s’est montré le plus précis, en disant sa volonté de cesser l’« ukrainisation » linguistique et culturelle menée par M. Porochenko et à laquelle n’adhère pas une partie de la population, de « réintégrer » les populations du Donbass, par exemple en versant leurs pensions aux retraités des territoires de l’Est sous le contrôle des séparatistes prorusses. » (Le Monde)

     

    La promesse sur laquelle il fut élu : cesser ce nationalisme linguistique qui existait bel et bien. Le lecteur notera qu’on punissait bien les russophones en les privant de leurs droits dont celui à leur pension de retraite. Pour un Etat de droit, la mesure est étonnante !

     

    Sa campagne relatée par O. Tallès de La Croix dans son article d’entre deux tours montre bien que les décisions prises en 2014 ont brisé l’unité de l’Ukraine en exacerbant des tensions ethniques et linguistiques. Même La Croix parle bien à cette époque de tension ethnique (CQFD). Et Zelensky apparaît comme le pacificateur :

     

    « Dans les villes de l’Est et du Sud, Vladimir Zelensky est en passe de détrôner les candidats traditionnellement pro-russes, issus du parti des régions de l’ancien président en fuite Viktor Yanoukovitch. L’humoriste rassemble aussi à l’ouest et au centre, gommant les clivages linguistiques et ethniques habituels du pays. » (La Croix)

     

    France Info constate aussi la réalité nationaliste depuis 2014, et la radio souligne la position du nouveau président désireux de réunir les Ukrainiens par-delà ces rivalités artificielles et dangereuses :

     

    « Le président sortant avait imposé un agenda nationaliste. A l’inverse, Volodymyr Zelensky veut « cesser l’’ukrainisation’ linguistique et culturelle menée par Petro Porochenko et à laquelle n’adhère pas une partie de la population » et « ‘réintégrer’ les populations du Donbass » majoritairement russophones, rapporte Le Monde. » (France Info), la radio faisant référence à l’article du Monde que nous utilisons aujourd’hui.

     

    Un projet nationaliste et une unité linguistique explosive

     

    La loi du 16 janvier 2021, Zelensky étant président depuis avril 2019, confirme bien que ce dernier contredit totalement ses promesses électorales. Arrêter l’ukrainisation a marche forcée est déjà un vieux souvenir et une promesse électorale trahie. Cette loi oblige les sociétés de service à parler à leurs clients exclusivement dans la langue ukrainienne sans oublier les fonctionnaires. Elle exacerbe les tensions et donne raison aux « autonomistes » du Donbass en faveur d’un séparatisme. L’éclatement de l’Ukraine est en ligne de mire dès lors qu’une loi vient violer la totalité des traités internationaux en matière de respect des minorités linguistiques et de leur droit.

     

    La dérussification a commencé avant même la révolution orange en 2014. La plupart des 5 500 statues de Lénine ont été déboulonnées, surtout à l’Ouest. Des avenues ont été débaptisées. Les nationalistes ont imposé que l’avenue de Moscou de Kiev devienne l’avenue Stepan Bandera, du nom de ce dirigeant de l’armée insurrectionnelle, elle qui collabora avec le Reich et qui extermina de nombreux juifs d’Ukraine.

     

    La dérussification et la décommunisation

     

    Une loi de mai 2015 porte atteinte à la liberté de pensée et de s’exprimer. Personne n’y prête attention. Sans aucune sympathie particulière pour le communisme de ma part, cette loi revêt bien un caractère liberticide très troublant. Elle juge la présentation et la promotion des symboles communistes illégale. Les monuments sont à détruire ou remiser, les statues et les insignes des partis politiques doivent renoncer à cette symbolique. Les statues de Lénine sont aussi des œuvres d’art, mais le politique prime et donne droit à leur destruction.  

     

    La dérussification rime donc avec la décommunisation, d’où la suppression des emblèmes soviétiques. La pression s’exerce aussi de façon croissante sur la langue russe, par la loi de mai 2017 qui oblige les chaînes de télévision à diffuser 75 % de leur programme en ukrainien. Certains médias maintiennent le bilinguisme par respect des téléspectateurs. La deuxième loi de septembre 2017 prévoit d’imposer l’ukrainien dans les établissements scolaires, ce que même Lénine n’a pas fait, respectant les langues locales. C’est la fin des minorités linguistiques. Très étonnamment, pour ne pas froisser l’Union européenne, quelques exceptions sont admises pour le hongrois, le polonais et le roumain, archi-minoritaires, voire sur le papier pour les peuples autochtones dont les tatars de Crimée sous la pression du Conseil de l’Europe. Le Russe doit disparaître. Pire, le russe n’est pas une langue autochtone, même pas une langue envisageable en langue vivante étrangère. L’ukrainisation fait violence à la tradition russophone de millions d’habitants de l’Ukraine.       

     

    Un projet discriminatoire et anti-russe porté par Zelensky

     

    En contradiction totale avec ses promesses électorales sur la fin de l’ukrainisation forcée, les dispositions de 2021 viennent renforcer les lois de 2017. Pourtant, la Commission de Venise, organe consultatif du conseil de l’Europe, aussi dénommée commission européenne pour la démocratie par le droit, émet des réserves sur ce texte discriminatoire envers les russophones. Elle suggère moins de restrictions liberticides pour favoriser l’intégration des minorités linguistiques dans le respect de leur identité culturelle. Comme l’indique Nikita Taranko Acosta dans Le Monde Diplomatique de mai 2019, les textes « prévoit également un nouveau délit d’« humiliation de la langue ukrainienne». Une patrouille de vingt-sept inspecteurs, chargée de sa bonne application, pourrait infliger des amendes aux fonctionnaires s’exprimant dans une autre langue dans le cadre de leur travail. » (page 9).

     

    Or la situation objective est la suivante, selon les données de l’Etat ukrainien lui-même. (Source, Comité national des statistiques d’Ukraine – La situation de la langue ukrainienne en 2018, cf. article du Monde Diplomatique). On notera une superposition partielle de la déclaration d’être ethniquement ukrainien et la pratique des langues ukrainienne, russe ou les deux. Plusieurs régions, dont Kiev, sont bilingues et à majorité russophone. La seule pratique de l’ukrainien concerne ¼ de la population dans la capitale !

     

     

     

    Avec une telle carte, comment nier que l’ukrainisation est un projet ethnocidaire pour la grande majorité de la population, russophone ou bilingue. Deux régions seulement à l’Ouest, Lviv et Ivano-Frankivsk sont majoritairement ukrainophones. Le lecteur notera que l’Ukraine acte une déclaration d’appartenance à l’ethnie ukrainienne, pour ceux qui douterait du caractère ethnique du nationalisme ukrainien à l’œuvre dans les travaux de ses administrations. On imagine bien la déclaration d’ethnicité française, n’est-ce pas ? Elle ne susciterait aucune réaction ! CQFD…

     

    Zelensky, traître a ses promesses électorales

     

    Or, Zelensky, russophone d’origine, se trouve à défendre l’indéfendable, au détriment de l’histoire culturelle de son pays. Le russe y est pratiqué depuis plusieurs siècles et les Soviets ont même favorisé la langue ukrainienne tout en actant le russe comme langue commune des Républiques Soviétiques. Zelensky a cédé à l’aile la plus nationaliste et revancharde, brisant les compromis de l’époque Ianoukovitch. Or, le russe reste la langue pratiquée par un grand nombre dont des jeunes. La presse reste majoritairement russophone, les séries télévisées populaires sont en russe, les livres en russe se vendent trois fois plus, malgré les interdictions d’importations d’ouvrages en russe, jugés antiukrainiens. Zelensky se contredit, entre les lois de 2021 et ses déclarations dont Nikita Taranko Acosta se fait l’écho dans Le Monde Diplomatique de mai 2019 : «« L’ukrainien est la langue d’État, mais il ne faut mettre sous pression ni le russe ni les autres langues d’Ukraine », a déclaré M. Zelensky en mars dernier lors d’un entretien accordé à plusieurs grands journaux occidentaux. »

     

    Et les minorités se sont exprimées, en dehors des russophones, montrant bien que la pression de l’ukrainisation est très mal vécue. Dans la foulée des lois de 2017, des députés européens hongrois, polonais, slovaques et bulgares ont contesté la loi sur l’enseignement qui allait brimer les minorités linguistiques. Porochenko a repoussé l’application de la loi à 2023, mais Zelensky n’a rien renié de l’ukrainisation de son prédécesseur. Dans son entretien de mai 2019, Zelensky précise : « Aujourd’hui, notre système éducatif fonctionne de telle manière que les prochaines générations s’exprimeront en ukrainien ».

     

    Pour conclure, l’ukrainisation n’est donc pas un fantasme de serviteur de la cause russe. C’est une réalité vécue par les populations, avec son cortège d’humiliations, d’agressions et de combats menés à l’intérieure des frontières, entre Ukrainiens. La trahison est là encore immense. Le peuple a été trompé par le comédien.

     

    Dans un tel contexte, comment l’Occident compte-t-il sortir de la guerre, même dans l’hypothèse d’une victoire ukrainienne ? Comment seront traitées les populations russophones ? Nous disposons déjà de témoignages d’exactions, de meurtres, de tortures. La reprise de ces territoires ne s’accompagnera-t-elle pas d’une chasse ethnique ? L’Occident aveuglé par son projet de déstabilisation de la Russie semble prêt à sacrifier des populations.  Il semble prêt à justifier un ethnocide par l’interdiction de la pratique de sa langue maternelle. Nous sommes en 2022 !

     

    Pierre-Antoine Pontoizeau

     

    (Source  :Riposte Laïque)





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