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     Mahomet Faux prophète de l'islam - Posts | Facebook

     

     

    Sur Mahomet et l’Islam, Saint Thomas d’Aquin nous avait prévenu

    PUBLIÉ PAR ABBÉ ALAIN ARBEZ LE 11 MAI 2020

     

    En 1258, SOS racisme n’a pas réussi à trainer Saint Thomas d’Aquin devant les tribunaux pour incitation à la haine raciale. Les journalistes du Monde ne l’ont pas traité d’islamophobe. La liberté de penser a, depuis, beaucoup régressé.

    Thomas d’Aquin explique par quels moyens Mahomet a obtenu si facilement l’adhésion à sa « religion » : « Mahomet a séduit les peuples par des promesses de voluptés charnelles au désir desquelles pousse la concupiscence de la chair. Lâchant bride à la volupté, il a donné des commandements conformes à ses promesses, auxquels les hommes charnels peuvent obéir facilement. »

     

     

    Il reproche au « prophète » Mahomet de s’adresser essentiellement aux imbéciles : « En fait de vérités, il n’en a avancé que de faciles à saisir par n’importe quel esprit médiocrement ouvert…D’ailleurs, ceux qui dès le début crurent en lui ne furent point des sages instruits des sciences divines et humaines, mais des hommes sauvages, habitants des déserts, complètement ignorants de toute science de Dieu, dont le grand nombre l’aida, par la violence des armes, à imposer sa loi aux autres peuples. »

     

    Puis d’Aquin met les pieds dans le plat et explique pourquoi Mahomet est un mystificateur et un faux prophète :

     

    « Par contre, il [Mahomet] a entremêlé les vérités de son enseignement de beaucoup de fables et de doctrines les plus fausses. Il n’a pas apporté de preuves surnaturelles, les seules à témoigner comme il convient en faveur de l’inspiration divine, à savoir quand une oeuvre visible qui ne peut être que l’oeuvre de Dieu prouve que le docteur de vérité est invisiblement inspiré. Il a prétendu au contraire qu’il était envoyé dans la puissance des armes, preuves qui ne font point défaut aux brigands et aux tyrans.  Aucune prophétie divine ne témoigne en sa faveur : bien au contraire, il déforme les enseignements de l’Ancien et du Nouveau Testament par des récits légendaires, comme c’est évident pour qui étudie sa loi. Aussi bien, par une mesure pleine d’astuces, il interdit à ses disciples de lire les textes de l’Ancien et du Nouveau Testament qui pourraient le convaincre de fausseté. »

     

    Saint Thomas d’Aquin tire de sa somme la seule conclusion logique. Transposée en 2012, elle fera rire les intellectuels et journalistes, lesquels ont oublié depuis longtemps tout repère honorable : « C’est donc chose évidente que ceux qui ajoutent foi à sa parole croient à la légère. »

     

    A Bologne, au 14e siècle, Mahomet était également tenu pour ce qu’il était. Le cardinal archevêque de Bologne subit en ce moment des pressions des musulmans pour qu’il retire de la basilique de St. Petronio la grande fresque représentant le diable tirant le corps nu de Mahomet en enfer en tant qu’hérétique.

     

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain-René Arbez & Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

     

     

    Tiré de Saint Thomas d’Aquin, Somme contre les Gentils (chapitre 6), 1258- 1265

    http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Stthomas/Gentils/gentils.htm

     

    A propos de l’auteur

    Abbé Alain Arbez

    Educateur spécialisé, curé de paroisses à Genève-centre, relations avec le judaïsme Genève depuis 20 ans, membre de la commission judéo-catholique des Evêques suisses (Lucerne).

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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     Le Coran est comme une hyène qui attaque la vie humaine

     

     

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    Diya’ Al-Shakarji : Notre Coran méprise la vie

    PUBLIÉ PAR MAURICE SALIBA LE 21 MARS 2020



     



    Cet écrivain et chercheur irakien, né en 1941, est l’archétype du citoyen musulman ayant fréquenté, épousé et défendu tout au long de sa vie différents courants politiques et religieux avant de se rebeller pour s’en libérer.

    Diya’ Al-Shakarji commence ses engagements dans des partis islamistes chiites Hizb al-da’wa (le Parti de la Prédication) et Hizb al-tahrîr (le Parti de Libération), puis par son militantisme au sein du Parti Baath Irakien. Sa mutation politique et idéologique récurrentes l’ont enfin conduit au début de notre millénaire à se réveiller, à renoncer à l’islam, à démasquer la duplicité des mouvements islamistes et la corruption des partis politiques qu’il a défendus à un moment donné de sa vie par son action et ses écrits.





    Il a publié en août 2019 une série d’articles sur le site Kitabat.org, intitulée : Notre Coran méprise la vie. Nous en reproduisons ci-après quelques extraits.



    Le Coran, livre attribué à un dieu dit Allah, est censé s’intéresser à la vie d’ici-bas, la définir et décrire ses paramètres. Il est certain qu’il ait traité ce phénomène de façon parcellaire, reflétant l’influence des croyances et des religions précédentes. Il est également indiscutable qu’il ait rectifié, retapé, corrigé, complété ou ajouté des notions supplémentaires en fonction de sa vision ou de son état d’âme.



    Nous trouvons cependant dans ce livre des versets clairs qui évoquent la vie et la décrivent avec des termes précis et exclusifs. Ils sont intégrés dans des phrases comprenant des particules linguistiques de négation, suivies parfois d’une particule propre à l’exception ou à l’exclusion. Le panel suivant de six versets coraniques permet de déduire les descriptifs utilisés à cet effet :



    En vérité, la vie d’ici-bas n’est faite que de plaisirs éphémères (3.185).



    La vie d’ici-bas n’est que jeu et divertissement, tandis que la vie future est bien meilleure pour ceux qui craignent le Seigneur. N’y avez-vous pas réfléchi ? (6.32).



    La vie d’ici-bas n’est que jeu et divertissement, alors que la véritable vie est celle de la vie future. Mais (les hommes) le savent-ils ? (29.64).



    Ô peuple ! La vie d’ici-bas n’est que jouissance éphémère, alors que la vie future constitue une demeure constante(40.39).



    La vie d’ici-bas n’est que jeu et divertissement. Si vous croyez et craignez (Allah), il vous donnera votre rétribution sans vous demander de lui (sacrifier) vos richesses (47.36).



    Sachez que la vie d’ici-bas n’est que jeu, divertissement, ornement, désir de gloriole, et multiplication de richesses et d’enfants. Elle est semblable à une pluie ; la végétation qui en provient émerveille les incrédules. Puis, elle se fane, tu la vois jaunir et elle devient débris desséchés (57.20).



    En effet, ces six versets décrivent notre vie ici-bas en tant que :



    « Jouissance éphémère », une fois ;



    « Divertissement et jeu » ou « jeu et divertissement », cinq fois, dont quatre sans la conjonction et ;



    « Jeu et divertissement », une seule fois mais avec les ajouts suivants : « ornement, désir de gloriole, et multiplication de richesses et d’enfants. »



    On n’évoque jamais dans ces versets la vie comme adoration d’Allah, piété, solidarité, charité, bienfaisance, justice, etc. La vie y est totalement réduite à la jouissance éphémère, au divertissement, aux jeux, à l’ornement, au désir de gloriole, à la multiplication de richesses et d’enfants [la filiation masculine en particulier].



    La jouissance signifie qu’elle est éphémère, puisque c’est un plaisir qui ne dure pas, bien que l’homme en soit fier. Celui-ci s’adonne au jeu, à l’amusement. Il manifeste sa puissance d’avoir amassé une fortune et sa gloire d’avoir donné naissance à un grand nombre de garçons.



    Si la vie n’est rien d’autre que ce qui est décrit dans ces versets coraniques, elle sera abjecte, triste, humiliante, insignifiante. Ce qui est encore absurde, c’est que ces versets sont, selon la doctrine musulmane, la parole directe d’un dieu dit Allah, qualifié de créateur de l’Univers. Ce dieu savait bien qu’il y aura une planète avec une vie et des humains qui y vivront, évolueront et réaliseront ce qui est possible.



    Alors pourquoi cet Allah nous a-t-il donc créés pour une vie méprisable à ses yeux, une vie réservée au plaisir, au jeu, à l’absurdité, à la nullité ? Il voudrait, en l’occurrence, nous demander des comptes et nous punir pour les actes personnels les plus triviaux qui ne blessent ou ne dérangent personne. Si on mange, si on boit, si on pratique le commerce charnel, pourquoi devra-t-il nous culpabiliser ? Est-ce une raison de culpabilité, si notre esprit que lui-même – ce dieu Allah – a créé malgré nous et voulu qu’il soit incapable de comprendre la vérité absolue qui pourrait signifier la vraie religion à laquelle il veut que nous croyions.



    Toutefois, notre esprit et notre intuition y trouvent beaucoup de préceptes irraisonnables, inacceptables ou invraisemblables. Comment peut-il alors demander des comptes à des gens qui ne croient pas à son existence ou qui n’ont jamais entendu parler de « sa véritable religion » ?



    La même contradiction dans les versets et la même technique linguistique sont à observer dans d’autres domaines, notamment dans les versets prohibant certains aliments. Si un verset les désigne, il signifie clairement qu’il ne devrait pas y avoir d’autres que ce qui est mentionné et précisé avec l’usage « d’une particule grammaticale d’exception ». Puis vient un autre verset et évoque le même sujet – et toujours avec la claire particule d’exception – mais il ajoute d’autres éléments non signalés dans la première définition. Ainsi confirme-t-il dans un verset la non-interdiction de ce qui n’est pas cité, et il ajoute d’autres interdictions dans un autre verset.



    Tout ce bazar abracadabrantesque montre que le dieu coranique était amnésique. Souvent il oublie. Puis lorsqu’il se rappelle, il se dépêche pour se rectifier. Dans ce cas, ne faudrait-il pas aussi déduire que son porte-parole sur terre était de la même trame.



    Si la vie d’ici-bas n’est que « divertissement et jeu » ou « jeu et divertissement », pourquoi l’auteur de ce coran – supposé être un dieu omniscient – apporte-t-il un autre verset pour attribuer à la vie d’autres qualificatifs exclusifs ?



    Face à ce dilemme, il devient évident que la vie pour lui est autre chose que divertissement et jeu, puisqu’il confirme ces deux descriptifs et les complète par les trois autres : « l’ornement, le désir de gloriole, et la multiplication de richesses et d’enfants ».



    Un dieu peut-il être tout puissant et omniscient s’il oublie ces qualités complémentaires quand il mentionne les deux précédentes de façon exclusive ? Pourquoi se rappelle-t-il plus tard des autres qualités ? A-t-il, pour une raison ou une autre, considéré qu’il lui faut révéler un autre verset, pour ajouter ce dont il s’est rappelé ?



    N’y voit-on pas ici une insulte grave à l’encontre d’Allah de la part de l’auteur du Coran qui prêchait son unicité et exhortait à l’adorer ? L’adoration d’Allah n’est-elle pour lui qu’une obéissance à ce qu’il plagie, rectifie et établit comme lois pour en faire une charia ? Donc, soit elle est respectée, et l’accès au paradis sera facilité, soit elle ne l’est pas. Dans ce cas, elle deviendra un visa d’entrée obligatoire au feu de l’enfer et pour un triste séjour éternel.



    Est-il raisonnable que la religion du dieu Allah et son livre soient ainsi malmenés ?



    Ces versets qui définissent de façon exclusive la vie d’ici-bas invalident d’autres versets du Coran. Ils nient qu’Allah nous a créés en vain ou confirment qu’il ne nous a pas créés, comme les cieux et la terre, en toute vérité.



    Alors, la définition de la vie dans le Coran avec les descriptifs déjà signalés montrent qu’Allah nous a créés de façon absurde, que notre création est insignifiante et n’a jamais été un véritable acte délibéré. La preuve est dans son coran qui se moque de nous, et méprise notre vie.



    [Que les non-musulmans, notamment les Occidentaux, tiennent sérieusement compte de ce que des musulmans réfléchis et éclairés disent publiquement et avec amertume de leur islam !]



    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Maurice Saliba pour Dreuz.info.

     

     

    Maurice Saliba, auteur de L’islam mis à nu par les siens. Anthologie d’auteurs arabophones post 2001. Éditions Riposte Laïque, 2019 (Préface d’Henri BOULAD).

     

     

     

     (Publié par Dreuz-Info)

     

     

    DREUZ.INFO EST LE SITE DE CHRÉTIENS AMÉRICAINS FRANCOPHONES, CONSERVATEURS ET PRO-ISRAÉLIENS, QUI TRAITE DE GÉOPOLITIQUE

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     





     

     

     

     

     



     



     

     

     

     

     


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    Dans son livre "le village de l'allemand",paru en 2008,Boualem Sansal fait le parallèle entre  Islamisme et Nazisme.

    Dans son autre ouvrage,"le train d'Erligen",il met en garde contre la montée de l'islamisme en Europe.


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     Ceci n'est pas un être humain, petite fille. Ça ressemble à un ...

     Le monstre du Coran

     

     

    Tu sais pas quoi ?! on Twitter: "Au Moyen Âge, les alchimistes ...

     

     Un cynoque à l'origine du Coran

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     Les génocides de l'Islam:Arméniens etc..

     

     

     

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     Voici le messager de l'Islam:les attaques à l'aveugle au couteau dans les rues

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    Amjad Barghouti, déserteur de l’islam : « Mon humanité a tué mon islam »

    PUBLIÉ PAR MAURICE SALIBA LE 14 MARS 2020

     

     

     

    Écrivain jordano-palestinien, Amjad Barghouti est un déserteur de l’islam. Sa lecture bien réfléchie du Coran et des autres livres du patrimoine islamique le plongent dans l’exaspération et l’indignation.

     

     

    Ne pouvant plus imaginer ni admettre que le Coran soit réellement la parole d’un dieu Allah qui se qualifie d’orgueilleux, de hautain, d’humiliateur, de contraignant, de vengeur, il se révolte et dénonce le racisme de cette divinité qui, en plus, manigance et égare qui il veut et guide qui il veut.

     

    À force de découvrir dans le Coran des versets des plus absurdes et des préceptes aberrants, insensés et, d’autant plus, incompatibles avec les lois démocratiques et les droits de l’homme, Barghouti s’aperçoit que l’islam n’est rien d’autre qu’une idéologie qui détruit la faculté mentale de ses adeptes. Alors, il décide d’agir en homme libre, honnête et courageux. Il ne renonce pas seulement à l’islam, mais il partage son constat, son expérience, ses réflexions et ses convictions avec ses ex-coreligionnaires dans un manifeste de 73 pages en arabe, format PDF, sur internet, intitulé : « Mon humanisme a tué mon islam », un document accessible sur le lien suivant : 08082917kutubpdfbook.com.pdf.

     

    Dans ce recueil, il compare d’abord son parcours au sein de l’islam à quelqu’un qui emprunte un chemin pour aller de l’avant, mais il trébuche à cause des obstacles qui se dressent devant lui. Puis il reprend son chemin avec patience mais sans parvenir non plus à surmonter les obstructions. Sa prospection des différents sentiers alentours lui fait comprendre que le chemin emprunté est partout jonché d’entraves. Alors, à force de chercher, il découvre une voie facile. Avant de l’emprunter, il rebrousse chemin et va à la rencontre des autres pour les mettre en garde et les guider à emprunter avec lui une voie nouvelle, simple, libératrice et salutaire. Il leur montre les raisons qui l’ont stimulé à dénoncer les traditions, les préceptes et les enseignements qui les aveuglent, les fanatisent et les déshumanisent.

     

    À travers cette initiative il espère faire bouger les sentiments figés, inciter les esprits endormis ou empoisonnés et les aider à acquérir plus de lucidité et de sérénité. Il plaide pour que la vie soit respectée car elle est le trésor que seuls les humains sont les plus chanceux de pouvoir apprécier et en profiter.

     

    Son manifeste est un recueil d’analyses et de descriptions diverses. Nous évoquons ici quelques une de ces réflexions à l’intention des lecteurs francophones qui ont urgemment besoin d’apprendre et de connaître la vérité de l’islam de la bouche même de ses apostats et non de celle des imposteurs et vendeurs de mensonges qui enfument leurs interlocuteurs, les trompent et diffusent leur venin à tout vent.

     

    Révolte contre un culte païen

    Barghouti se révolte d’abord contre le « culte païen » que les musulmans pratiquent à la Mecque où ils sacralisent une construction cubique et y tournent en circumambulation pour vénérer une pierre noire [une météorite]. « Ils agissent, écrit-il, sans aucune raison autre que pour l’amour d’un paganisme lugubre. C’est pourquoi leurs cœurs restent durs comme les pierres, mais aussi cruels et colériques à l’encontre de ceux qui ne professent pas leur foi et n’adhèrent pas à leur culte. »

     

    Sa révolte s’envenime davantage face à l’absurdité de ces scènes, ce qui le conduit à franchir toutes les lignes rouges imposées par les traditions sociales insensées et les rites religieux insignifiants.

     

    « Si les règles dites religieuses, observe-t-il, avaient été appliquées aux sciences physiques et biologiques à la lumière du halal, du haram, de l’abominable, du convenable ou de l’incrédule, la science n’aurait jamais réussi à nous révéler une seule vérité ou découverte utile pour le bien de l’humanité. Les grands savants de la nature consacrent leurs recherches à comprendre les secrets de ce monde pour améliorer les connaissances et favoriser le bien-être de tout individu sur terre, tandis que les soi-disant « doctes des sciences islamiques » n’ont qu’un seul souci, c’est de gâcher les efforts judicieux que déploient les véritables savants et de s’en moquer. »

     

    Absence de rationalité

    Écœuré par l’irrationalité des musulmans, Barghouti s’exaspère chaque fois qu’il débat avec eux et observe leur réaction incohérente voire démentielle. Il nous cite quelques exemples.

     

    « Vous faites le djihad pour délivrer les gens du feu et les aider à entrer au paradis. Et ceux que vous venez de tuer, quel est leur destin ? Le feu, me répondent-ils. »

     

    « Que dites-vous donc du rapt des femmes, du viol des captives de guerre ? Votre Coran vous dit que c’est halal. Et vous, qu’en pensez-vous ? Pas de réponse. »

     

    « Vous nous rabâchez en permanence que votre Coran est clair, sans contorsions ni tortuosités. Mais pourquoi donc tous ces livres d’explication, d’interprétation et d’exégèse qui remplissent la terre ? Pas de réponse. »

     

    « Vous nous dites que les Compagnons de Mahomet étaient les meilleures créatures d’Allah. Mais pourquoi se sont-ils alors battus entre eux et se sont décapités les uns les autres comme des barbares ? Pas de réponse. »

     

    « Vous nous dites que le prophète Mahomet, votre beau modèle, avait le droit d’épouser les femmes qu’il convoitait, celles dont il payait la dot, celles qu’il capturait à la guerre et les rezzous, les filles de ses oncles et tantes et toute femme croyante qui lui faisait don de sa personne, ainsi que les femmes des croyants après le décès de leurs maris. Pourquoi avait-il tous ces privilèges, alors que ses adeptes en sont privés et ne peuvent pas jouir des mêmes droits que lui, leur beau et parfait modèle ? Vous nous radotez que c’est à cause d’une sagesse divine. Quelle conscience humaine, morale et normale accepterait-elle cette prétendue logique ?  Aucune réaction. »

     

    « Vous nous dites que votre Coran est inimitable et qu’il est plein de miracles scientifiques. Y avez-vous découvert une seule vérité scientifique ? ». Là, Barghouti se moque de la réponse de certains d’entre eux : « Bon sang ! Nous n’en avons pas besoin. Les mécréants nous ont précédés dans leurs découvertes. »

     

    Lorsqu’il évoque le mariage de Mahomet à 52 ans avec Aïcha, une gamine de six ans, les musulmans lui rétorquent toujours : « C’est un phénomène tout à fait normal, puisque les filles de ces temps-là mûrissaient physiologiquement très vite… Nous ne pouvons pas changer cette loi qu’Allah et son prophète ont autorisée… Pas d’ijtihad [effort de réflexion] avec le texte. » Un dialogue de sourds.

     

    Barghouti considère que la logique et la foi sont clairement régies par des visions paradoxales et des interprétations absurdes en islam. Lorsqu’on parle de la conversion de chrétiens à l’islam, les musulmans jubilent et disent : « L’entrée de certains chrétiens dans l’islam prouve que c’est la vraie religion. » Mais lorsqu’on leur demande : « Que pensez-vous alors des musulmans algériens, marocains et autres qui se convertissent individuellement ou en masse au christianisme ? Est-ce la preuve que le christianisme a raison ou non ? » Leur réponse ne tarde pas : « Bien sûr que non, mais Satan a égaré l’esprit de ces gens. »

     

     

    Les contradictions abominables observées dans les préceptes de l’islam l’exaspèrent et l’incitent à les condamner.

     

    « Comment l’islam honore-t-il la femme, alors que le Coran nous ordonne de la battre ? »

     

    « Comment recommande-t-il la charité, l’amour des parents, le respect des liens familiaux et la bienfaisance, et en même temps il nous ordonne de faire le jihad, il impose la jizya (la capitation), il autorise l’esclavagisme, la vente des enfants des infidèles vaincus et le viol de leurs femmes ? Est-ce une religion de miséricorde ? Ils me répondent avec plus d’aplomb : Mais c’est la volonté de notre Allah. Nous sommes obligés de la respecter. »

     

    Absurdité des enseignements

    Plus il passe en revue d’autres enseignements de l’islam, plus sa colère se déchaîne. Il se demande comment un esprit libre et serein peut-il accepter le credo et les préceptes suivants :

     

    Aller combattre les mécréants est un jihad dans la voie d’Allah. Le pillage est un butin licite. Le viol des femmes captives de guerre et celles des mécréants est un droit légal. Le meurtre d’un apostat fait partie d’une stratégie politique défensive. La décapitation au sein de la communauté musulmane s’impose comme inévitable pour empêcher les émeutes et les conflits internes. L’occupation des terres ou des pays non-musulmans est une conquête légale pour la cause d’Allah.

     

    Face aux prédicateurs qui répètent sans cesse dans les mosquées et les médias que le prophète Mahomet est envoyé comme miséricorde pour le monde, il s’interroge :

     

    Comment pouvons-nous croire à une telle imposture alors que les biographies de cet individu foisonnent de récits relatifs aux viols, aux meurtres, aux massacres de masses, aux invasions, aux rezzous qu’il avait commis lui-même ou ordonnés au nom d’Allah ?

     

    Son observation de concepts bizarres en islam lui révèle le déséquilibre mental qu’engendre cette religion chez ses adeptes. « En Occident on appelle un savant celui qui est spécialiste dans un domaine purement scientifique. Par contre, en islam on appelle un savant celui qui est spécialisé dans les menstrues, les modalités du pet, le traitement à l’urine de chameau, l’art de l’allaitement des adultes, la torture dans le tombeau, etc. »

     

    Les us et les coutumes dans la société musulmane se manifestent souvent dans des proverbes populaires insensés et transmis de génération à génération. Barghouti rappelle à ce propos : « Le proverbe populaire qui dit ‟Ne mange pas avec un chrétien et ne dors pas chez un juif” est une aberration [Ndt : Dans d’autres pays, on dit ironiquement : Mange chez le juif et dors chez le chrétien]. Mais moi je dis : Ne mange pas avec un musulman et ne dors pas chez lui, de peur qu’il se rappelle à tout moment d’un verset coranique qui te qualifie de mécréant et l’ordonne de te tuer. »

     

    Cruauté et cynisme d’un dieu dit Allah

    Bargouti cite des versets coraniques abominables et indignes d’un dieu à qui on attribue des expressions grossières, telles que :

     

    « Ils [les Juifs] sont pareils à un âne pliant sous le poids des livres » (62.5).

     

    « Il [le mécréant] est comme le chien qui ne cesse de haleter, qu’on le traque ou qu’on le laisse en paix » (7.176).

     

    « Ils [les négateurs des signaux d’Allah] sont comme les bestiaux ou plutôt ils sont plus égarés encore » (25.44).

     

    « Ton ennemi est stérile (ou : privé de postérité) » (108.3).

     

    « Que les mains d’Abu Lahab[1] périssent et lui aussi » (111.1).

     

    « Il [le jureur méprisable ou le médisant] est perfide et bâtard de surcroît » (68.13).

     

    Ce cynisme se dégage dans les perversions exécrables, attribuées encore à cette divinité. Elles conviennent plutôt à décrire les dictateurs sanglants, féroces et abrutis, ainsi que les chefs de mafias. Il en cite quelques exemples :

     

    « Allah est le meilleur des comploteurs ! » (8.30).

     

    « C’est Allah qui les tourne en dérision et les laisse divaguer dans leur égarement » (2.15).

     

    « C’est Allah qui a scellé leurs cœurs et leur entendement » (2.7).

     

    « Et si nous (Allah) voulons anéantir une cité, nous ordonnons à ses habitants les plus opulents de s’y comporter en scélérats » (17.16).

     

    « Allah guide qui il veut et égare qui il veut » (35.8).

     

    La frustration de Barghouti atteint son paroxysme lorsqu’il lit dans le Coran que cet Allah prie avec ses anges sur Mahomet et invite ses adeptes à faire de même (33.56). Puis sa colère s’exacerbe lorsqu’il découvre dans les biographies de Mahomet la description des actes les plus atroces qu’il avait perpétrés ou approuvés.

     

    Lorsque ses partisans assassinent en 623 Amr bin Al-Hadhrami, un chef de caravane, Mahomet justifie et bénit leur acte. « Ce sont des infidèles, déclare-t-il, envers lesquels il n’y a pas lieu d’observer une interdiction sacrée. »

     

    Mahomet a procédé au premier nettoyage ethnique et religieux en Arabie, lorsqu’il chasse la tribu juive de Banu Qaynuqa de leurs fortins (624 AD) et prend tous leurs biens comme butin de guerre. Puis, il fait la même chose avec une autre tribu juive, Banu Nadir (625 AD). Il les chasse de leurs demeures, ordonne qu’on abatte leurs palmiers et de les mettre en feu avant de s’approprier de leurs biens et de s’enrichir.

     

    En 627, Mahomet mène une expédition contre la troisième grande tribu juive de Médine, Banu Qurayza. Il décrète la mort pour les hommes et les adolescents qui avaient atteint l’âge de la puberté (600 à 900), l’esclavage ou la vente pour les femmes et les enfants, ainsi que le partage de leurs biens comme butin de guerre.

     

    Mahomet s’est également distingué comme coupeur de têtes et assassin. C’est lui qui a ordonné la décapitation du poète juif Kaa’b ibn al-Ashraf (l’un des chefs de la tribu juive de Médine Banu Nadir), de Khaled bin Sufyan Al-Hathali (en 625), d’Umm Qirfa, une cheffe arabe très honoré et ancienne d’une tribu païenne (une corde à chaque jambe, écartelée par deux chameaux), de la poétesse Asma bint Marwan et du poète Abu Afak (parce qu’il s’inquiétait de leur influence). C’est lui qui fut responsable de tant d’autres assassinats politiques, de chefs de tribus, d’intellectuels et de notables de ses opposants.

     

    Barghouti n’oublie pas toutes les expéditions militaires dévastatrices menées par Mahomet de son vivant. Ses successeurs lancent après lui des armées islamiques à la conquête du monde. Face à toute l’histoire sanglante de l’islam, Barghouti ne supporte plus que les musulmans continuent d’occulter l’infâme vérité de leur croyance et de persécuter quiconque ose la mettre à nu.

     

    Conclusion

    Le manifeste de Barghouti foisonne de tant d’autres réflexions sur la barbarie des enseignements coraniques, comme sur un dieu tyrannique, sanguinaire et tortionnaire. Il constate que la liberté de l’individu y est spoliée et soumise à une idéologie totalitaire. Les versets qui incitent à la guerre contre les infidèles sont pires que la doctrine du nazisme à l’encontre des juifs, des chrétiens et de tous les non musulmans. La condition dégradante et esclavagiste de la femme en islam ne peut qu’engendrer une société primitive, archaïque et pathologique.

     

    Ce sont ces enseignements barbares, ainsi que l’application de préceptes incompatibles avec les droits de l’homme, mais aussi les comportements effroyables de Mahomet, de ses compagnons, de ses califes et de ses adeptes qui ont poussé Amjad Barghouti à répudier l’islam ad vitam æternam. Par conséquent, il a favorisé son humanisme et accordé la priorité à sa faculté de raisonnement rationnel.

     

    À travers ce manifeste, Barghouti rejoint de nombreux autres apostats qui se battent sans relâche pour briser la haine, l’obscurantisme et la barbarie de l’islam. Ils veulent montrer à leurs ex-coreligionnaires comment leur humanisme doit tuer l’islam et faire éclater sa vérité au grand jour.

     

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Maurice Saliba pour Dreuz.info.

     

    [2] Maurice Saliba, auteur de L’Islam mis à nu par les siens – Anthologie d’auteurs arabophones post 2001*. Éditions Riposte Laïque, 2019 (Préface d’Henri BOULAD).

     

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     L'Islam  ou la faux de la mort

     

     

     

     

     

     

     

     La France devient musulmane.

    Ci-dessus,la mosquée Al-Nour de Mulhouse.C'est le plus  important lieu de culte musulman d'Europe

     

     


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     L'invasion de l'Islam

     

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     Soros le milliardaire américain qui complote contre la France

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    Georges Soros,de son vrai nom Georges Shwartz.Sa famille a soutenu le régime fasciste en Hongrie

     

     

    Parmi les nombreuses œuvres créées et soutenues par le milliardaire juif américain George Soros il y en a une qui lutte contre ceux qui dénoncent l’Islam radical. Grâce à la divulgation sur un site russe de deux-mille cinq cent fichiers extraits de l’Open Society Foundations (OSF) appartenent au banquier et mis en ligne samedi, on apprend que George Soros finance une campagne d’études et de recherches qui vise à contrer les auteurs actuels de la lutte contre l’expansion de l’Islam.

    L’un des fichiers intitulé « Extreme Polarization and Breakdown in Civil Discourse » explique comment Soros veut barrer la route à des critiques actuels de l’Islam que sont par exemple Pamela Geller, Frank Gaffney, Robert Spencer, Daniel Pipes, David Horowitz ou Liz Cheney, la fille de l’ancien vice-président Dick Cheney, qui sont devenus les cibles privilégiées des chercheurs travaillant pour le Center for American Progress (CAP), sorte de ‘think tank’ de gauche financé par Soros à hauteur de millions de dollars.



    Le but avoué du CAP est d’engager des journalistes, chercheurs, universitaires et leaders associatifs qui présenteront un front uni contre l’islamophobie et feront la promotion de « la tolérance et de la compréhension mutuelle »…



    Cette organisation accuse les milieux de droite de diffuser des mensonges sur l’Islam et d’instiller des informations fausses dans la population par le biais des médias afin de manipuler l’opinion et d’empêcher la mise en place de…politiques progressistes contre le terrorisme

     



    Non moins grave, les fichiers divulgués par le site russe montrent que George Soros, par le biais de ce même Center for American Progress a aussi pour objectif de dénoncer la « politique raciste et anti-démocratique de l’Etat d’Israël » dans les forums internationaux et mettre Israël au ban des nations. L’Open Society Foundations a également versé plus de dix millions de dollars depuis 2001 à des organisations arabes israéliennes qui combattent l’Etat d’Israël de l’intérieur et luttent aux côté de l’Autorité Palestinienne contre la définition de l’Etat d’Israël comme patrie du peuple juif.



    Sans oublier que George Soros est l’un des principaux sponsors du lobby de gauche J-Street et qu’il aide généreusement le New Israel Fund, Cheval de Troie de la campagne de délégitimation d’Israël.





     

    ©Par Shraga Blum pour Europe-Israel.org







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    Georges Soros a donné 80.000 Euros à l'association "Activité Citoyenne" qui soutient un groupe de femmes musulmanes en burkini et qui manifestent dans une piscine.

     

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    Le burkini islamique

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    Les oeuvres diaboliques de Soros:l'invasion de l'Islam et la pornographie.

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    Les Femen diaboliques soutenues et financées par SOROS

    Soros finance aussi le mouvement LGBT et la pornographie.


    Voir l'image sur Twitter

    Une des  Femen , les créatures de Soros.Le féminisme ravalé au rang de la pornographie pour des luttes plus que douteuses.