• .Il faut rappeler que l'Islam a été fondé par un pédophile de plus de 50 ans qui a forniqué avec une fillette de 9 ans (Aicha) et l'a ensuite prise pour épouse.Voici ce que pensent nos écrivains sur l'Islam:

     

     

     

    Le mariage de Mahomet avec Aicha fillette de 9 ans

     

    Bossuet : "Islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers." (Bossuet /1627-1704)

     

    Chateaubriant : "Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet." (Chateaubriand / 1768-1848)

     

    Condorcet : "La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes,(…) semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire." (Condorcet / 1743-1794)

     

    Schopenhauer : "Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. (…) Je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde." (Arthur Schopenhauer / 1788 -1860)

     

    Tocqueville : "L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille." (Alexis de Tocqueville / 1805-1859)

     

    (Rien de plus vrai que l'avis de ces penseurs.Tous les faits objectifs vont dans ce sens aujourd'hui)

     

     

     

     

     

     

     

     

     


  • Après les bombes et les khalanichkov,les attaques au couteau des islamistes se multiplient  dans tous nos pays civilisés.La dernière en date est celle qui a été perpétrée à Londres,juste après le Brexit.Le couteau devient l'arme favorite des islamistes.Ceci fait partie du plan élaboré par le Coran de tuer de soit-disant mécréants,afin que ne subsiste que la seule religion criminogène d'Allah.Et il y a encore des imbéciles qui pactisent avec cette religion sortie tout droit de l'enfer.Voici ci-après un article de Dreuz info sur cette religion barbare et infâme.

     

     

    Le couteau,la nouvelle arme favorite des islamistes.

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     Un article intéressant:

    Dreuz.info

    SAMEDI 1 FÉVRIER 2020

     

    Sabah Aslan : Seuls les demeurés mentaux occultent la vérité de l’islam

    PUBLIÉ PAR MAURICE SALIBA LE 1 FÉVRIER 2020

     

     

     

    Depuis janvier 2019, le site de langue arabe, ssrcaw.org (Secular Studies and Researches Centre in Arab World), nous fait connaître des articles de la plume d’un jeune chercheur, issu de l’islam, qui milite en faveur de la laïcité dans le monde arabo-musulman. C’est l’irakien Sabah Aslan. Il s’efforce dans ses différents articles de lever le voile sur la réalité ironique de l’islam et son impact sociétal cuisant. C’est le cas de son dernier article du 10.12.2019, intitulé Les pays musulmans et le sous-développement civilisationnel, dans lequel il met en lumière la corrélation étroitement sarcastique entre les autorités religieuses chiites et les évènements tragiques en Irak.

    Dans le texte qui suit, paru le 7.6.2019 sur le site déjà cité, Sabah Aslan commente avec une raillerie amère le verset coranique qui dit : « Vous étiez la meilleure nation suscitée pour les hommes » (3.110). Ce verset est repris et complété dans un hadith cité par Bukhari (1839/33) qui dit : « Les meilleurs des hommes sont ceux qui tirent les gens avec des chaînes au cou afin de les faire entrer dans l’islam. » Il se demande :

     

     

     

    « Qui peut imaginer que la meilleure nation traîne des gens enchaînés comme des esclaves, les force à embrasser l’islam et coupe la tête de celui qui le rejette ? Comment une religion se répand-elle normalement ? Est-ce par la prédication, la bonne parole, la persuasion, ou par la contrainte, l’épée, les invasions, la coupe des têtes, le rapt des femmes, la recherche du butin, l’occupation de la terre, l’oppression des peuples, comme c’est le cas de notre islam et de son héritier Daech et consorts qui incarnent à merveille cette croyance et dévoile son vrai visage à tous les êtres humains au XXIe siècle ? »

     

    Sabah Aslan, ce citoyen qui se dit « né par hasard en islam », se révolte contre les enseignements absurdes de cette religion et ses pratiques barbares. Il s’insurge contre cette prétention ubuesque que les musulmans se considèrent comme la meilleure nation suscitée pour l’humanité. Il écrit :

     

    « Nous les musulmans, nous avons théoriquement étudié l’islam dans les livres, mais nous avons vu les pratiques des criminels du califat islamique qui coupaient les têtes, capturaient et violaient les femmes yézidies, pillaient les banques et le trésor de l’État irakien, expulsaient les chrétiens de leurs foyers, brûlaient les vivants, coupaient les mains avec les couperets et les épées, crucifiaient les prisonniers et les innocents, vendaient les antiquités ou les détruisaient s’ils ne pouvaient pas les déplacer. Ils ont tout fait au nom de l’islam et pour défendre la prétendue cause du dieu de l’islam. Ils nous ont montré que leurs actes étaient textuellement conformes au Coran et à sa charia. Donc, ils nous ont montré le véritable visage de l’islam. Aucune autorité religieuse n’a osé les contredire ni dénoncer ces enseignements, révélant ainsi leur complicité la plus sournoise et leur hypocrisie la plus odieuse. »

     

    Cet insurgé constate avec consternation que les musulmans accusent les chrétiens d’avoir falsifié l’Évangile, parce que Jésus y dit : « Plusieurs faux prophètes viendront après moi, et ils séduiront beaucoup de gens (Matt. 24.11) ». Ou : « Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits (Matt. 7.15-16). »

     

    Aslan estime que c’est un prétexte fallacieux et infâme, puisqu’il incite les musulmans à persécuter les chrétiens et les soumettre à la législation tribale des musulmans. Ces derniers s’attribuent le droit de les tuer ou de les forcer à leur payer un pot-de-vin ou une rançon dans l’humiliation pour acheter leur survie. C’est le tribut (jizya) imposé aux Gens du Livre (juifs et chrétiens). Puis ils les traitent de polythéistes et les qualifient « d’immondes » (Coran 9.28). Face à ces risibles aberrations, Sabah Aslan ne voit dans l’islam qu’une religion rigide qui n’accepte ni renouveau, ni urbanisation, ni modernisation, ni recours à la raison.

     

    Il observe : «  que ses adeptes croient à des livres obsolètes de leur patrimoine, y compris ceux des compilateurs ou commentateurs des hadiths, comme Bukhari, Muslim et tant d’autres qui ont inventé et insinué des superstitions et des propos qu’ils n’avaient jamais entendus de leur auteur. Ils les ont intégrés dans des livres, deux cents ans après le décès de Mahomet. Leurs collections de hadiths sont considérés comme sacrées et authentiques. Celui qui les critique ou les conteste, sera condamné et mis en prison. »

     

    Faut-il rappeler que l’université islamique d’al-Azhar au Caire qui se considère comme la gardienne du temple de l’islam sunnite, a déjà fait condamner Islam Behery et cheikh Mohammed Abdallah Nasr, parce qu’ils ont osé dénoncer ces livres et critiquer les superstitions et les affabulations de Bukhari et Muslim, les deux principaux compilateurs des hadiths (dits et actions de Mahomet).

     

    Le fascisme et le nazisme ont été combattus à cause de leurs idées nuisibles pour l’humanité, et leur idéologie imbibée d’erreurs et de racisme. Mais l’islam politique demeure et rampe comme un serpent parmi les ignorants illettrés ou mi-instruits qu’on parvient facilement à séduire et à induire en erreur au nom d’une religion belliqueuse et d’un dieu guerrier nommé Allah.

     

    Sabah Aslan évoque également le sort de l’apostat et le hadith qui le condamne à mort en islam. « Celui qui quitte sa religion, tuez-le » (Bukhari, n° 3017). La Charte des Droits de l’Homme qui garantit à tout individu la liberté dans le choix de sa religion, de ses convictions et de sa doctrine, est bafouée en islam et totalement ignorée. Même le sort de ceux qui critiquent l’islam n’est rien d’autre que la mort ou la prison. C’est le cas de nombreux intellectuels égyptiens et soudanais comme Faraj Fouda, Mahmoud Mohamed Taha, Neguib Mahfouz et tant d’autres [Leur dernière cible est maintenant le médecin et écrivain égyptien, Khaled Montasser].

     

    Notre auteur dénonce les musulmans qui oublient que leur Coran qualifie la Bible de « direction et lumière » (5.46). Or, ils préfèrent toujours prétendre qu’elle est falsifiée, puisqu’elle ne mentionne pas ce qu’avait prétendu le prophète de l’islam, que Jésus y a annoncé sa venue après lui.

     

    Ce qui frappe de stupeur notre auteur c’est de voir le dieu de l’islam, dit omniscient, clément et miséricordieux, garder auprès de lui un coran plein de contradictions, d’erreurs diverses ainsi que d’incitations au meurtre, au viol, à la captivité des femmes et à la réduction des humains en esclaves. « Comment ce drôle de dieu, dit tout puissant, a-t-il permis qu’on falsifie la Bible et demeure, en même temps, incapable de le sauver, d’autant plus que le Coran qu’on lui attribue, reconnaisse son inspiration divine ? », se demande-t-il encore.

     

    Par ailleurs, les musulmans confirment que la foi d’un croyant reste imparfaite s’il ne reconnaît pas les prophètes, les apôtres et leurs livres. En même temps, on observe que l’islam abroge les religions célestes précédentes et prétend qu’il est désormais la seule religion valable devant Allah. Par conséquent, quiconque cherche une autre religion que l’islam, sera l’un des perdants et que l’enfer sa demeure éternelle.

     

    Le Coran abroge tous les livres révélés, alors que Mahomet y plagie 80 % de leur contenu. En revanche, il oublie qu’il se contredit en disant : « Si ton seigneur l’avait voulu, il aurait fait des hommes une seule communauté. Or, ils ne cessent de manifester leur différence (Coran 11.118) ». Que devons-nous dire de cette cacophonie et de ces propos invraisemblables ?

     

    Sabah Aslan se moque aussi du hadith attribué au prophète de l’islam, qu’au jour du grand jugement, Allah absoudra tous les musulmans de leurs péchés et les fera entrer au paradis – même s’ils avaient volé et commis un adultère – afin qu’ils puissent baiser les houris et les jeunes éphèbes. Ce jour-là, il attribuera leurs délits aux juifs et aux chrétiens, uniquement parce que les musulmans ont cru en Mahomet comme le parfait associé de cet Allah en tout, y compris au cinquième du butin, du pillage, de l’appropriation des femmes, etc.

     

    Enfin, il s’interroge : « Qui peut encore croire à un tel islam qu’on veut nous imposer comme une religion révélée par un dieu statique, statufié, installé en toute quiétude sur un trône au septième ciel ? Seuls les demeurés mentaux tentent encore et cherchent à occulter la vérité de l’islam. »

     

    Bref, nous trouvons toujours des musulmans à la recherche d’informations qui confirment leurs convictions. Mais ils évitent les renseignements et les faits évidents qui les contredisent. Ils ferment les yeux sur les données objectives. Hélas, c’est une des infirmités morbides chez les musulmans. Abdelwahab Meddeb (1946-2014) en parle assez dans son livre La maladie de l’islam (Seuil 2013).

     

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Maurice Saliba pour Dreuz.info.

     

     

     

    Maurice SALIBA, auteur de L’islam mis à nu par les siens. Anthologie d’auteurs arabophones post 2001. Éditions Riposte Laïque, 2019 (Préface d’Henri BOULAD).

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Les Frères musulmans en Europe: la minorité islamique la plus dangereuse

    Des mosquées, des écoles...

    parSaïda Keller Messahli - 29 janvier 2020

     

     

     

    La Confrérie fondée en 1928, interdite dans plusieurs pays, présente une nouvelle génération et développe sa stratégie prosélyte et anti-laïcité dans toute l’Europe.

     

     

    Déjà en 2002, se tenait à Bonn une conférence des Frères musulmans autour du sujet « l’éducation musulmane en Europe ». Organisée par le Centre culturel islamique d’Irlande et les « Associations of Muslim Social Scientists » du Royaume-Uni et d’Allemagne, la conférence accueillait des personnalités européennes proches des Frères musulmans comme Tariq Ramadan, Mohamed Karmous, Ahmed Jaballah ou encore Ibrahim Al-Zayat. Le but était d’indiquer aux jeunes générations la manœuvre à suivre pour articuler le message et l’esprit de l’islam dans le monde occidental actuel, et de relever le défi que représentent les programmes scolaires laïques incompatibles avec la religion de Mahomet.

     

     

    Youssef Al-Qaradawi, éminence grise

    Le message et l’esprit de l’islam prosélyte, rigoriste et politique des Frères musulmans comme le dit si bien récemment Bernard Rougier « c’est d’en finir avec la diversité des musulmans, de les cataloguer, de les mettre sous la rubrique “musulman” en leur donnant la définition de leur appartenance pour prendre le pouvoir sur eux et parler en leur nom » (Les territoires conquis de l’islamisme, PUF).

     

    Les Frères musulmans représentent le groupe sunnite et islamique le plus influent au monde. Dans de nombreux pays, leur organisation est interdite, principalement dans le monde arabe, car classée « organisation terroriste ». Des mesures allant dans ce sens sont régulièrement envisagées en Europe ou aux États-Unis. Récemment, le site Interception a parlé d’une réunion secrète des frères dans laquelle le groupe fait référence aux infrastructures de 79 pays. Cette présence dans tant de pays est remarquable pour une organisation considérée comme secrète.

     

    S’il était Français, il aurait pu prendre sa retraite il y a environ 3 ou 4 décennies. Mais Youssef Al-Qaradawi, le « Cheikh », l’éminence grise des Frères musulmans, est resté une institution jusqu’à l’âge de 92 ans. Autrefois omniprésent en Europe, il est maintenant exilé au Qatar. Il a été le chef spirituel des Frères musulmans au cours des dernières décennies et a construit et développé depuis l’Irlande toutes les structures essentielles des Frères Musulmans dont ils disposent aujourd’hui.

     

     

    Al-Qaradawi a été co-fondateur du Conseil Européen pour les fatwas et la recherche (ECFR)– une institution qui émet des avis juridiques islamiques simplifiés, pour les musulmans d’Europe, répondant à à peu près tous types de situations. Il a dirigé également l’Union internationale des savants musulmans (UISM) pendant une dizaine d’années. Et ce n’est pas tout ! Les structures associatives des Frères musulmans, que ce soit au niveau européen la Fédération des organisations islamiques en Europe (FIOE) ou des associations nationales comme l’UOIF de l’époque – aujourd’hui MDF, Musulmans de France – ont été inspirées par lui.

     

    Une nouvelle génération arrive

    Al-Qaradawi, qui a non seulement exigé l’anéantissement d’Israël et qui, au cours de sa vie, a défendu ou justifié à plusieurs reprises des attentats suicides et la violence envers les femmes, s’est entre-temps retiré des bureaux susmentionnés. Le flambeau est maintenant passé à un groupe de chercheurs, la direction des deux grandes organisations européennes des Frères Musulmans l’ECFR et de l’UISM devenant plus jeunes et plus tournées à l’international. La nouvelle direction sert les « marchés de base » les plus importants, le tout en un réseau européen extrêmement bien organisé.

     

    Les premiers effets de cette nouvelle direction se manifestent rapidement. En novembre 2019, une semaine seulement après la manifestation contre « l’islamophobie » organisée par le CCIF (Collectif Contre l’Islamophobie en France) proche des Frères Musulmans et qui nourrit un discours victimaire – jusqu’à suggérer sans complexe que les musulmans de France sont les nouveaux juifs des années 30 – un nouveau « Conseil des imams européens » voit le jour. Il devrait servir de plate-forme supplémentaire aux imams impliqués. L’offre numérique a été considérablement rafraîchie. Les « Conseils de fatwas » ont maintenant des versions allemandes et françaises, de sorte que l’offre est disponible en plusieurs langues. En outre, une application « Euro Fatwa » a été lancée, régulièrement citée dans la presse internationale tant les recommandations sont parfois saugrenues pour la communauté musulmane.

     

    L’éducation: le leitmotiv des Frères musulmans

    Une des recettes du succès des Frères musulmans est son intérêt pour l’éducation.

     

    Déjà dans les années 1990, est fondé l’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH) à Château-Chinon sur une propriété appartenant à l’UOIF, avec l’aide de Al-Qaradawi. C’est une forge de cadres pour les futurs imams, érudits islamiques et autres enseignants vivant selon l’islam politique des Frères musulmans. Le fait que l’IESH ne coopère avec aucun établissement d’enseignement occidental ne dérange pas les responsables. L’institut est en contact avec les universités islamistes de Malaisie et du monde arabe, les diplômés deviennent imams puis sont assignés à une communauté musulmane en développement voulant faire partie de la confrérie. La recette fonctionne. En France, il y a maintenant un campus de l’IESH à Saint-Denis, quelques ramifications en Alsace et à Orléans, et des écoles privées comme le Lycée Averroès à Lille.

     

     

    L’EIHW, largement inspiré de l’IESH et dirigé par l’égyptien Khaled Hanafi, nouveau secrétaire général adjoint du ECFR et également membre de l’IUMS, a vu le jour il y a quelques années à Francfort. Son nouveau président, successeur de Al-Qardawi à la tête du ECFR depuis un an, Abdullah al-Judai est lui Irakien et Anglais, également membre de l’IUMS, tout en faisant partie du conseil administratif et du conseil scientifique de l’IESH à Château-Chinon. Son adjoint Ahmed Jaballah ayant dirigé lui-même pendant longtemps ce même IESH qui se déclare comme organisation européenne.

     

    Des alliés puissants pour une organisation de mieux en mieux implantée

    Diverses tentatives ont été lancées afin de remettre les frères musulmans d’Europe à leur place.

     

    Malheureusement, leurs financements s’avèrent puissants ; des fondations du Qatar et du Koweït contribuent à accroître leurs possibilités d’entrisme. Leur coopération de plus en plus étroite avec la Turquie est également préoccupante. S’ajoute à cela une prolifération des mosquées de mouvance islamiste turque « Milli Görüs » (perspective nationale) un peu partout en Europe mais surtout en Allemagne ; cette version turque des frères musulmans organise en ce moment la construction d’une grande mosquée à Strasbourg, sur une superficie de près de 7000 m2.

     

    Est-ce une pure coïncidence que la nouvelle filiale de l’IESH, IESH-Alsace, fondée en automne 2018 par une association membre de l’UOIF (A.I.E.F = Association Islamique de l’Est de la France) se trouve également à Strasbourg, pour le moment installée dans une mosquée des frères musulmans à la rue Thiergarten? Bien qu’encore récente, cette filiale participe déjà aux concours de débat en arabe financés par le Qatar (« QatarDebate ») et elle a déjà invité un des chefs très controversés de la LIM (Ligue Islamique Mondiale), le théologien saoudien Abdullah Al Moslih. La LIM étant depuis toujours une organisation saoudienne intimement liée à la Confrérie des frères musulmans, Al-Moslih ne voit aucun problème à légitimer les attentats-suicides contre les « ennemis de l’islam ». À peine fondée l’IESH d’Alsace a envoyé début Janvier 2019 sept étudiants et professeurs à Vienne pour participer à ce concours financé par la fondation pour l’éducation du Qatar, présidée par la mère de l’Émir du Qatar

    Saïda Keller-Messahli, née le 25 juillet 1957

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Par Lanz-blum dans Accueil le 19 Janvier 2020 à 19:40

     

     

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     La guerre une entreprise rentable.La réserve fédérale contrôle tout ce qui touche l’argent. L’argent est présent partout, et tout le monde en veut. quand vous donnez à une institution le monopole d’émission de la monnaie, vous donnez un contrôle total à cette institution.si vous avez de l’argent, vous pouvez faire passer toute les lois que vous voulez.

     

    Peut importe si c’est Bill Clinton qui est président ou si untel est sénateur du New Jersey car vous faites un chèque et vous pouvez changer de sénateur.Une des question les plus délicates est de déterminer à qui appartient la réserve fédérale.

     

    LA BANQUE DE LA RESERVE FEDERALE DE NEW YORK

    APPARTIENT EN MAJORITE A 5 BANQUES D'AFFAIRES DE

    LONDRES CREES PAR LA BANQUE D'ANGLETERRE.

     

    L’Angleterre qu’on considère comme un satellite politique des Etats-Unis depuis quelques années serait-elle la puissance qui tire les ficelles de la politique internationale ?

     

    Peut importe qui possède la réserve fédérale, ce qui compte c’est ceux qui la contrôlent.

    Le gouvernement a donné un monopole et maintenant le département de la justice ne fait rien pour empêcher les effusions bancaires. Le monopole ne peut exister qu’avec l’aide du gouvernement et celui-ci a beaucoup aidé le monopole des banques.

     

     

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    Les accusations les plus graves portées aux dirigeants de la réserve fédérale, sont qu’ils seraient responsables de trois des plus grandes tragédies du 20ème siècle.

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    La première guerre mondiale, la deuxième guerre mondiale et la grande dépression.La guerre est probablement l’activité qui génère le plus de profits pour un banquier international.

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    Par conséquent l’histoire de l’Europe et de l’Amérique du Nord depuis 300 ans, on voit des banquiers internationaux qui aident les nations belligérantes des deux côtés de la ligne de front

     

    Ils essayaient de provoquer une guerre en Europe depuis 1885 mais les banques centrales d’Europe avaient déjà ruiné toutes les banques centrales européennes. Le seul argent qui restait était aux Etats-Unis.

     

    Pour y avoir accès, ils devaient imposer une banque centrale au peuple américain.On l’a présenté comme le moyen d’assurer la stabilité économie d’Amérique. A peine une décennie après la fondation de la réserve fédérale qu’est ce qui arrive ?

     

    Tout simplement la plus grande dépression de ce siècle. Pendant les 16 mois qui ont précédé le crack de 1929, la réserve fédérale a augmenté la masse monétaire de 62%.

     

    Ce qui est arrivé ressemble beaucoup à ce qu’il se passe aujourd’hui. Les gens achetaient, vendaient, garantissaient, empruntaient en pensant que cette abondance n’aurait pas de fin.

     

    Puis au moment du crack, ils ont cessé d’augmenter la masse monétaire, et ceux qui avaient mis en garantie leurs actions, leurs obligations, leurs maisons, leurs autos et leurs comptes d’épargne, ont tout perdu

     

    Au cours des guerres, ces hommes vendent des armes à l’un des adversaires et prêtent de l’argent à l’autre pour faire des profits.

    Lorsque les profits commencent à baisser, les financiers comme financier jackfish, machover et jenny morgan , savent très bien comment les faire remonter

    Vous serez peut-être surpris d’apprendre, et c’est un fait confirmé, que ces gens ont financé Trotsky et Lénine avec des milliards de dollars en or et en prêts pour qu’ils déclenchent la révolution en Russie

     

    .Avec l’entrée des Etats-Unis dans la guerre et le départ de la Russie, le conflit a duré deux ans de plus. Deux ans de ventes d’armes et de prêts sur lesquels faire des profits pendant de nombreuses années.La guerre est une entreprise extrêmement rentable.

     

    Après la première guerre mondiale, le sénateur Jawor m. a organisé une commission devant laquelle il a trainé les plus gros financiers industriels pour examiner les profits qu’ils avaient réalisés au cours de la guerre. La guerre est très profitable

     

    Ils ont réussi à nous faire entrer dans la première guerre mondiale. En fait, grâce à eux, la guerre a continué pendant deux années supplémentaires. Ils ont fait cela en toute connaissance de causes et avec préméditation pour augmenter leur profiter et renforcer leurs institutions bancaires.

     

    Ils y a plusieurs personnes qui pensent que toutes les guerres de ce siècle ont eu lieu pour qu’un petit groupe de financiers puisse faire des profits.Prenons la guerre des Balkans... qui a fournit des armes à Milosevitch ? Ce sont les soviétiques.

     

    Qui finance l’industrie militaire de l’union soviétique ? Les Etats-unis et les banquiers européens. Les banquiers ont toujours financé les deux camps lors de conflits majeurs.

     

    Les conflits entraînent le progrès, les conflits contrôlés entraînent les progrès contrôlés. Chaque guerre importante amène son lot de vente d’armement et de prêts gouvernementaux.

     

    Les gens doivent payer des intérêts à la banque. Voilà de l’argent créé à partir de rien.L’économiste et prix Nobel Milton Friedman prétend que la réserve fédérale a provoqué la grande dépression en réduisant volontairement la masse monétaire en circulation.

     

    Les déposants de tout le pays ont eu peur de perdre leur épargne. Ils se sont dépêchés de les encaisser. Cela a été la course, et les banques sont tombées comme des mouches.

     

    Le système de réserve fédérale n’a pas réagi alors qu’il avait le pouvoir, le devoir et la responsabilité de fournir l’argent qui aurait permis aux banques de remplir leurs obligations face aux déposants sans avoir à fermer leurs portes.

     

    Louis Mcfadden, membre du congrès et président d’une commission sur les banques au moment du crack, déclare "la grande dépression est un événement intentionnellement causé par des banquiers internationaux qui ont créé une situation désespérée qui leur a permis de sortir de cette crise avec les pleins pouvoirs sur nos vies.

     

    Un mémo a circulé avant la chute du marché boursier. Tous les gros joueurs, les initiés si on veut, se sont retirés du marché à temps. Pendant quatre ans ils ont tout liquidé, ils avaient donc de grandes quantités d’argent liquide au moment du crack, ce qui leur a permis d’acheter des compagnies importantes pour quelques dollars.

     

    Le gendre de Franklin Roosevelt décrit ainsi la grande dépression : "c’est le pouvoir financier mondial qui a dépouillé délibérément le public en provoquant un manque soudain d’argent à court terme sur les marchés de New York."

     

     

    Un des initiés, Joseph Kennedy, a vu sa fortune passer de quatre millions en 1929 à plus de 100 millions quatre ans plus tard.Tout comme aujourd’hui, la presse américaine cache certains faits.

     

    Des scènes d’émeutes n’ont jamais été montrées auparavant, mais les caméramans ont fait leur travail, et ces images n’ont jamais été diffusées aux actualités. On contrôle l’information depuis longtemps en Amérique.

     

    Heureusement des personnalités populistes comme le président Andrew Jackson ont assez de courage pour dénoncer les faits.Discours de l’époque :"je veux rappeler au président, avec tout mon respect, qu’aucun de ces soldats n’a voté, ce vendredi saint fatidique du printemps 1917, pour forcer une nation de paix comme la nôtre à prendre les armes au profit des exploiteurs du peuple."

     

    "Nous avons essayé le parti républicain, puis le parti démocratique. Ensuite nous sommes retournés au parti républicain. Finalement, nous sommes de retour avec les démocrates. Malheureusement, peu importe quel parti est au pouvoir, le besoin le plus essentiel de notre peuple, la redistribution de la richesse pour une égalité économique, n’est jamais une priorité du parti élu.

     

     

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    "Cependant, l’assassinat est un outil politique que ces fameux initiés connaissent bien. Prenons l’exemple du président Jackson, qui était le principal opposant à une banque centrale privée à cette époque.

    Un assassin s’est présenté devant lui et lui a mis deux pistolets sur le ventre. Il a tiré, mais les deux pistolets se sont enrayés, ce qui qui a sauvé Jackson.

     

    On a appris par la suite que l’assassin avait des liens avec les banquiers internationaux.

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    C’est intéressant de noter que si les livres d’histoire ne s’attardent pas beaucoup à ce problème des banques, Jackson lui considérait que c’était l’une de ses réalisations les plus importantes. Il a même fait écrire sur sa pierre tombale "j’ai tué la banque"

     

    Après la guerre civile américaine, le chancelier allemand Otto Von Bismarck , fait la déclaration suivante : "la division des Etats-Unis a été orchestrée par les pouvoirs financiers d’Europe.

     

    Ils avaient peur que les Etats-Unis anéantissent leur domination financière sur le monde. Ils voyaient un grand avantage à faire affaire avec deux démocraties affaiblies par leurs dettes, plutôt qu’à une république forte et indépendante."Abraham Lincoln est conscient de cela et fait tout en son pouvoir pour préserver l’union.

     

    Mais pour y arriver il a besoin d’argent, de beaucoup d’argent. Il fait appel aux banquiers de Wall Street, qui lui demandent 36% d’intérêts par année. Lincoln choisit une alternative moins couteuse et demande au congrès d’émettre l’argent.

     

    Les billets sont appelés greenbacks et ne sont pas garantis par de l’or, mais par le crédit du gouvernement des Etats-Unis.Avec cette solution, le gouvernement ne paie pas un sou d’intérêts aux banquiers privés.

     

    ASSASSINATS DE LINCOLN  ET DE JF KENNEDY

     

    L’assassinat de Lincoln est relié aux banquiers qui voulaient avoir le contrôle de la monnaie.

     

    C’est la même chose avec J.F. Kennedy car il voulait réintroduire des obligations du gouvernement plutôt que des obligations de la réserve fédérale.

     

    La constitution des Etats-Unis mentionne que le congrès doit émettre la monnaie et en réguler la valeur.Si vous demandez aux gens dans la rue : qui émet la monnaie ? ils vont vous répondre que c’est le gouvernement.

     

    C’est la raison pour laquelle tout ce mensonge fonctionne. Les gens savent intuitivement que c’est le gouvernement qui devrait émettre la monnaie. La réserve fédérale n’est pas fédérale et n’a pas vraiment de réserve.

     

     

    LA GUERRE EST UNE ENTREPRISE EXTREMEMENT RENTABLE 

     

     

    La réserve fédérale contrôle tout ce qui touche l'argent. L'argent est présent partout, et tout le monde en veut. quand vous donnez à une institution le monopole d'émission de la monnaie, vous donnez un contrôle total à cette institution.



    ( Source: finance-banque.com)

     


  •  Voile intégral : état des lieux en Europe - L'Express Styles

     

    Le Niqab sert-il aux musulmans pour se réserver le droit de forniquer ?

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    En Algérie,un non musulman ne peut épouser une femme musulmane,sous peine de sanctions très sévères.

    En Afghanistan,c'est la peine de mort pour une musulmane qui renie l'islam et se marie avec un non musulman.

    Idem pour d'autres pays islamiques.

    C'est pourquoi,les musulmans ,jaloux de leurs mousmées,mettent un sac sur leur tête,  les voilent et en font des zombies ambulantes pour se les réserver pour eux seuls et éviter les convoitises des non musulmans.

    Par contre un musulman mâle peut épouser une non musulmane,la convertir  et lui faire une progéniture la plus abondante possible,musulmane, bien sûr.C'est là le plan secret et l'autre forme de djihad islamique à la conquête du monde.

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    Momo et Juliette : des liaisons dangereuses… Une analyse sociétale

    PUBLIÉ PAR DREUZ INFO LE 9 JANVIER 2020

     

     

    Momo et Juliette. Par Matthieu

    Il est une autre déferlante plus insidieuse et moins visible qui gonfle profitablement la marée noire de migration clandestine islamique : le tsunami des unions mixtes avec les musulmans qui ne cesse de vomir les cadavres de ses victimes…

    S’il y a un fait politique qui occupe le devant de la scène depuis un certain temps, c’est celui de la migration clandestine. Il n’est pas étonnant de voir un tel phénomène alimenter les débats et faire les gros titres. Certes, ce sont des vagues ininterrompues de réfugiés majoritairement musulmans, plus économiques que politiques, qui déferlent et s’échouent sur les rivages de l’Europe et qui focalisent l’attention.

     

     

     Cependant ce n’est que la face visible de l’iceberg, il est en effet, une autre déferlante plus insidieuse et moins visible qui gonfle profitablement cette marée noire islamique : c’est le tsunami des unions mixtes avec les musulmans qui, sans cesse, vomit les cadavres de ses victimes. De fait, la progression de l’islam en Europe, le laxisme et l’ignorance ou/et la naïveté (voire la complicité) des autorités favorisent des mariages dits mixtes, de plus en plus nombreux entre musulmans et françaises de tout origine confessionnelle ou laïque. L’Église, hostile autrefois à ces unions, l’a un moment tout bonnement encouragé comme un témoignage du « vivre ensemble »

     

     

     

    L’examen du droit islamique, le récit de témoins, la lecture de l’histoire du Proche-Orient conduirait plutôt à la réserve et la prudence. En effet, la charia en matière matrimoniale et familiale est conçue de façon à consolider essentiellement l’islam et elle constitue avant tout un outil efficace au service de son expansion patente. Il s’ensuit que ces mariages, véritables jihad de remplacement socioreligieux en faveur de l’umma islamique, sont une réelle problématique, ‒ une menace dont la réalité est indubitable. Car, mis à part le danger de la modification du tissu social, ils détruisent les conjoints occidentaux et, au pire, les tuent. Les enfants sont quant à eux dûment, islamisés et hallalisés, sinon rapatriés de force au bled.

     

    Les leçons de l’histoire et le virus de l’utopie et ses transmetteurs

    L’histoire montre l’effet pervers et efficace de ce phénomène. Au Xème siècle, le califat de Cordoue couvre les trois-quarts de l’Espagne, 5 millions d’habitants en majorité musulmans. Pourtant vers 900, l’Espagne est au trois-quarts chrétienne, vers l’an 1000, elle est au trois-quarts musulmane. Cette inversion chiffrée s’explique par la persécution des Almoravides et des Almohades entraînant des déportations en Afrique du Nord des chrétiens et des juifs (voir l’exil de Maïmonide) mais surtout se comprend, d’une part par les conversions forcées et, d’autre part, par ces lois sur les mariages obligeant les conjoints et les enfants mâles à embrasser l’islam.

     

    Ces unions sont vivement encouragées par la société civile, obnubilée par son utopie du « vivre ensemble » d’Al Andalus. Le venin est injecté très tôt par l’éducation nationale qui distille un enseignement idyllique, romantique et biaisé de la prétendue « la religion d’amour, de tolérance et de paix ». Très tôt, dès la cinquième (de l’enseignement en France), les têtes blondes sont gavées de mythes faussés sur le prophétisme de Mahomet qui reçoit sur son cheval ailé la Révélation de l’ange Gabriel. Cependant, dans les manuels d’histoire, l’Église est accusée de tous les maux et les révélations de Jésus et Moïse sont, elles, toujours traitées délibérément au conditionnel et a minima.

     

    Au lieu d’apprendre l’histoire vraie de France et d’insuffler la fierté nationale, les bancs de l’école sont le creuset où se préparent mentalement ces unions morbides. Cette fascination pour l’Orient n’est pas neuve, elle remonte à la Renaissance et à François 1er. Initié en France par l’évocation du monde ottoman dans Le Bourgeois gentilhomme de Molière au XVIIe siècle, l’orientalisme se manifeste par la traduction des Contes des Mille et Une Nuits et dans Les lettres persanes de Montesquieu.

     

     

     

    Il n’y a qu’à se référer à la période de la domination musulmane en Andalousie qui témoigne de ce statut de dhimmi auquel étaient soumis les juifs et les chrétiens, pour comprendre l’humiliation des Mozarabes qui avaient le statut inférieur de protégé. Pourtant, le mythe d’Al Andalus et sa fausse « tolérance » est remarquablement démonté par le professeur Serafín Fanjul, arabiste, membre de l’Académie royale ibérique d’histoire, auteur d’Al-Andalus contra España (2000) et de La quimera de al-Andalus (2004). Les Almoravides et les Almohades ont, sans vergogne, soit converti de force les minorités soit les ont tout simplement expulsées. Un certain nombre de Juifs ont trouvé refuge au Maroc, mais la plupart d’entre eux ont migré vers les royaumes chrétiens – Portugal, Castille, Navarre, Aragon – où les souverains leur ont fait, de façon heureuse, bon accueil.

     

    C’est la même chose pour les mozarabes. « À partir du XIIème siècle, la bienveillance d’Al-Andalus à l’égard des religions du Livre – à supposer qu’elle ait jamais existé – fait place très tôt à la persécution. Rares sont les juifs qui vivent encore en terre d’Islam. Quant aux chrétiens, dans la Grenade des Nasrides qu’admiraient tant les Romantiques, les seuls qui s’y trouvaient encore dans les années 1480-1492 étaient des prisonniers, enfermés dans des geôles ».

     

    Des égarements de Marianne au baiser de Judas

    Dans les méandres de cette confusion mentale, on trouve la complaisance à l’islam de l’administration française qui met des Français dans une situation ubuesque : pour l’homme, le devoir obligatoire de se convertir à l’islam pour épouser un conjointe maghrébine. En effet, afin que le mariage soit conclu en France comme dans l’autre pays arabe, la conjointe maghrébine doit fournir à l’administration un certificat de coutumes (déclination la situation civile de la personne connue de ses autorités). Or ces certificats ne peuvent être obtenus dans les pays du Maghreb qu’à la condition que le conjoint français se convertisse à l’islam. Dans les écoles françaises du Maroc ‒ dépendant du rectorat ‒, les professeurs d’arabe islamisent en douce les jeunes cerveaux avec le label de laïcité.

     

    Le paroxysme de la trahison est atteint lorsque ces unions, loin d’être découragées, sont bénies par le goupillon d’une tranche de responsables islamo-béats de l’Église. Ces derniers, véritables idiots utiles, avec le pape François en tête, et ses coups médiatiques savamment orchestrés et largement diffusés, à force d’embrasser les joues des imams et les pieds des dictateurs somaliens, confondent le voile de la Sainte Vierge avec le drapeau de Daech.

     

    Certains catholiques candides ou induits en erreur, y compris parmi le clergé, considèrent béatement que les mariages entre chrétiens et musulmans sont le lieu idéal pour une connaissance mutuelle et respectueuse des deux religions et donc pour un dialogue fécond ainsi que pour l’expérimentation d’une authentique convivialité islamo-chrétienne. En théorie le mariage est possible entre catholique et musulman avec une dispense de « disparité de culte » dont l’octroi est lié à la préservation de la Foi du catholique et le baptême des enfants mais en pratique cette dispense est escamotée et donnée sans aucun examen ni critique ni canonique.

     

    Outre le drame que la loi de la charia est de facto maintenant au-dessus des lois de la République et du droit canon, les implications juridiques et humaines de ces mariages sont souvent méconnues, ce qui peut entraîner des malentendus et des drames. De nombreux cas montrent que de telles unions sont souvent de véritables chemins de croix, voire meurtriers, du fait de différences irrémédiables.

     

    La différence de nature

    Certes, il n’est pas difficile de comprendre qu’en islam le mariage n’a rien d’un sacrement ni d’un idéal, il est uniquement un acte juridique. Le droit musulman déjà redoutable pour la femme, l’est encore plus pour le conjoint non musulman. Il comporte de multiples normes discriminatoires à l’égard des femmes en matière successorale. Cette discrimination tire son fondement du Coran qui octroie aux fils, le double en héritage de la part des filles et au mari, le double de ce que sa femme hérite de son mari prédécédé. On attribue cette discrimination au fait que les hommes ont plus de charges que les femmes.

     

    Le droit musulman comporte aussi des normes discriminatoires pour cause d’appartenance religieuse. Le Coran interdit formellement le mariage entre un non-musulman (juif, chrétien, bouddhiste, hindouiste, animiste, sans religion ou athée déclaré) et une musulmane. « Ne mariez pas vos filles à des polythéistes-associateurs avant qu’ils croient » (Q2, 221). Cette prescription est justifiée par la nécessité de garantir la transmission de l’islam aux futurs enfants, prérogative exclusive du père. Ainsi, un musulman qui apostasie ne peut hériter de personne, et sa succession est ouverte de son vivant, notamment s’il abandonne son pays pour échapper à la justice. Seuls ses héritiers musulmans peuvent hériter de lui. « Un non musulman n’a pas de droit d’héritage d’un musulman », le contraire n’est pas vrai car « l’islam enrichit ».

     

     

    Pour l’islam, le mariage est juste un cadre juridique destiné à rendre la femme sexuellement licite (halal) à l’homme, selon la définition. Toute relation sexuelle en dehors du mariage, illicite, est punie pénalement. « Frappez la débauchée et le débauché de cent coups de fouet chacun » (Q24, 2).

     

    Quant aux finalités du mariage, le droit islamique le plus répandu les définit ainsi :

     

    1) l’exercice de la sexualité est une simple autorisation d’exercice, ce qui est appelé communément, ouvertement et sans gêne d’aucune sorte le nikah hallal (la copulation licite), permet l’union d’une personne avec une autre. D’autant que, le plus souvent, la femme est donnée (très jeune, quand ce n’est pas une petite fille) par sa propre famille à son futur époux. Un mariage qui se conçoit comme une prostitution légalement établie, est un contrat de nature très différente de ce qu’on entend par union matrimoniale dans la société occidentale.

     

    2) la croissance de l’Umma (la communauté des croyants musulmans) : « Mariez-vous et procréez-vous car je compte dominer la compétition avec les autres nations, le Jour de la Résurrection, par votre nombre » est un adage communément attribué posthume au Prophète de l’islam. Ce qui en dit long sur la façon dont la société islamique est organisée socialement et maritalement, plus particulièrement la famille où le mari domine la femme et où les relations sont de nature purement sexuelles.

     

    De la sorte, ces unions en Occident sont souvent vouées à l’échec pour de multiples raisons. Ce qui est en cause sont les disparités de conceptions de l’amour et de la vie conjugale, de la responsabilité et de nature psychologique. Conceptions ou valeurs inexistantes dans le monde arabo-musulman sociologiquement encore de structure tribale et clanique, basée sur un système patriarcal, misogyne très singulier où la femme est définitivement sous l’emprise totale de la tutelle masculine.

     

    Dans une telle société effroyablement inégalitaire, le système affecte injustement les femmes : leur liberté de déplacement, leur accès au marché du travail, leur santé et leur sécurité et surtout le manque de possibilités de décider en l’absence du mâle qui a le pouvoir de prendre une série de décisions cruciales en leur nom…

     

    La différence des conceptions de l’amour

    Un Européen, même non croyant ou non pratiquant, garde envers la femme souvent un code de conduite ancré en lui. Il garde des vestiges de respect, d’égalité et une certaine courtoisie. Et pour cause ! Dans les romans d’amour courtois du Moyen-Âge, la femme est l’éducatrice du chevalier. La femme apprend à l’homme à se dompter et à atteindre un idéal. Elle a pour rôle l’éducation de la brutalité de l’homme ; celui-ci met sa force au service de la Dame. Il en découle qu’une civilisation qui bannit la femme est une société malade. La littérature courtoise va donner un rituel de conduite à la chevalerie. Un chevalier doit se montrer courageux, faire face aux obstacles, avoir une conduite mesurée, canaliser sa violence ; le moteur de son idéal est la Dame.

     

    A cette même époque, l’Église s’est opposée aux mariages forcés en tentant d’imposer le consentement mutuel. Pour l’Église, l’union devant Dieu doit avoir lieu à un âge décent où les deux conjoints sont capables de consentir. La fondation d’une nouvelle famille ne peut survenir que dans le respect de la liberté des contractants. Ainsi loin de ces conceptions, des obstacles insurmontables vont se dresser devant Roméo et Juliette

     

    Les différences psychologiques

    Dans la culture musulmane la colère est vue de manière très différente que dans le monde occidental. Les comportements agressifs, les menaces sont admis et attendus pour gérer les conflits. Aux yeux des occidentaux, les comportements menaçants sont jugés comme immatures et puérils. L’approche pacifique est perçue par l’islam comme l’expression d’une faiblesse, c’est l’invitation à l’exploitation.

     

    Les musulmans ont des règles strictes, des traditions, des lois qui gèrent tout comportement humain. Ils ont un Dieu, Allah qui décide à leur place et qui est indifférent à sa Création. Ainsi, le sentiment de culpabilité est quasi absent. Les musulmans vivent leur action comme une réaction sans pouvoir se contrôler : « c’est sa faute si je l’ai frappé ». Ils se placent toujours en victime et exigent que le monde s’adapte à leurs désirs.

     

    Dans les sociétés occidentales, les gens ont la notion de maîtriser leur vie, leur destin. La responsabilité personnelle fondement judéo-chrétien n’a aucune importance chez les musulmans. Déjà saint Thomas d’Aquin avait récusé la vue d’Averroès où le vouloir possède une dimension purement transcendante complètement détaché de l’individu, l’auto-critique de la philosophie est méconnue. Averroès postule une volonté unique pour tous les hommes.

     

    Comment l’homme pourrait-il être le maître de ses actes s’il n’y a qu’une seule volonté résidant dans une substance séparée ? Comment peut-il être tenu responsable de ses actes s’il n’en est pas vraiment le principe ? Admettre l’unicité de la volonté humaine pour tous les hommes c’est ruiner la morale et les lois de la société humaine, toute vie en société deviendrait impossible si on ne peut plus punir ni récompenser.

     

    Destruction de la personnalité et du couple

    En théorie, la femme chrétienne qui épouse un musulman n’est pas obligée de se convertir à l’islam et ce, même dans les pays islamiques. Pour se défendre, elle pourra avantageusement rappeler les épousailles de Mahomet avec une juive et une copte Maria, dont il eut un fils, tué par les autres femmes. Pourtant, pour conserver la paix des ménages ou obtenir un statut, la femme est contrainte de se convertir administrativement ou en façade car en cas de divorce ou de décès du conjoint, elle perd tout. Le mari musulman exige systématiquement que ses enfants soient éduqués dans la religion musulmane, exigence devant laquelle la conjointe non-musulmane s’incline souvent facilement.

     

    Cependant, ces femmes qui se convertissent par faiblesse, tôt ou tard souffrent de névroses et du syndrome de Stockholm. En effet, le déni perpétuel de la réalité, le reniement de ses propres référents culturels et structures de pensées conduisent irrémédiablement à la schizophrénie. Or l’islam se caractérise par une profonde arriération intellectuelle, un immobilisme de pensée, la liberté est taboue, la possibilité de critiquer niée, tout cela conduit à la folie ou au déséquilibre psychologique.

     

    En outre, l’islam oblige à renverser toutes les barrières légales et morales. Il s’immisce même dans les relations individuelles et familiales. Seuls comptent la soumission au système et à la communauté. C’est ainsi que l’islam en tant qu’idéologie et système de croyance se retrouve à la fois en dehors et au-dessus des lois qui régissent la société. Il commande des attitudes, des comportements et des actions qui entravent son fonctionnement harmonieux. C’est la destruction de la personne et du couple si la partie non-musulmane ne se soumet pas à l’idéologie ou n’adopte pas une stratégie.

     

    L’islam est le plus puissant système d’asservissement de la pensée et de la logique jamais conçu. D’ailleurs les mots sont piégés, « la liberté de culte », proclamée par certaines constitutions de pays musulmans (comme le Maroc) n’implique pas la liberté de changer de religion. La liberté de culte est ni plus, ni moins la liberté de pratiquer l’islam en toute liberté puisque dans ces pays, il y a une confusion entre l’État et la religion. Une des fonctions de l’État est d’assurer la propagation de la religion musulmane.

     

    Cheval de Troie

    Ainsi à la vue de cette armada décrite précédemment, le mariage mixte est indiscutablement le cheval de Troie de l’islam comme l’avait annoncé Houari Boumédiène[. Il va être le lieu et le prétexte pour assouvir la demande des musulmans natifs d’Europe de bénéficier d’un système juridique parallèle pour ce qui touche au droit de la famille.

     

    Ainsi déjà, des accords entre la Suisse et l’Iran existent : les conflits concernant le droit des personnes, de famille et de succession sont à régler sur la base de la législation iranienne. Cette situation explique que le droit familial islamique se retrouve dans des arrêts prononcés par des tribunaux européens, le maintien de l’ordre public étant toujours la limite à cette application du droit étranger. L’interdiction de la polygamie ou le mariage d’enfants sont eux-mêmes torpillés par le regroupement familial si les mariages ont été contractés à l’étranger ‒ des cas de mariage de mineures existent telle Samira une suisse, née sur le sol helvétique mariée par téléphone à 15 ans, avec un homme en Syrie. En atteignant l’âge de la majorité, son mariage a été légalement reconnu en Suisse[.

     

    Le CEFR, Conseil européen de la fatwa et de la recherche (et même le cheikh d’al-Azhar), recommande ainsi aux musulmans d’Europe

     

    « d’œuvrer inlassablement en vue d’obtenir des pays dans lesquels ils résident la reconnaissance de l’islam en tant que religion, ainsi que l’exercice – pour les musulmans en tant que minorité religieuse à l’instar des autres minorités religieuses – de tous leurs droits relatifs à l’organisation de leur statut personnel en matière de mariage, de divorce et d’héritage. »

     

    Il justifie ainsi la condamnation à mort pour celui qui « affiche son apostasie ». Ce conseil et d’autres instances font pression sur les magistratures européennes dans de nombreuses décisions de garde des enfants, de divorce ou de sévices sur mineures.

     

    Pour Souad Sbai, présidente de l’Association des femmes marocaines en Italie, des décisions prises en Italie sont dignes du pire pays arabe où serait en vigueur la charia. Au nom du multiculturalisme et du respect des traditions, les juges appliqueraient, selon cette association, deux types de règles, l’une pour les Italiens, l’autre pour les immigrés. Un père catholique, qui se serait comporté comme un musulman envers sa fille subirait des condamnations différenciées.

     

    L’islamic Sharia Council (ISC), basée à Londres, représente cette culture juridique parallèle et en partie indépendante est le modèle, selon la charia, qui menace de se répandre partout en Europe. Cette pratique, globalement décriée, est ainsi une réalité en Angleterre. En tant que tribunal d’arbitrage, cette entité ne possède aucune compétence judiciaire. Le Sharia Council peut toutefois prononcer des divorces.

     

    Toutes les victimes de ces unions ont été intensément lobotomisées depuis leur enfance par l’idéologie gauchiste du multiculturalisme. Toutes ces proies de la mixité ont été savamment conditionnées à l’utopie du « vivre ensemble ». A l’école, elles ont été gavées à la bouillie de l’antiracisme-antifascisme et leurs esprits formatés aux chimères d’une nouvelle utopie à la fois sociale et quasi-religieuse : le messianisme du pauvre migrant. La sphère médiatique n’a cessé de leur seriner les prêches frelatés vantant un altruisme focalisé sur les pauvres étrangers opprimés par les méchants blancs colonialistes et destructeurs de la planète.

     

    Enfin, déjà engluées dans les mirages et les nasses de ces visions romantiques délirantes, elles ont dû subir les fantasmes des dialoguistes de France du « Service pour les Relations avec les musulmans » (l’ex SRI ; Conférence des évêques de France) qui font du migrant musulman un nouveau Christ.Les innocentes victimes du mariage avec un conjoint musulman se retrouvent seules ‒ si elles s’en sortent vivantes ‒ à payer la note de cet odieux conditionnement organisé par une société détraquée, avec la complicité active de l’État et même de sa justice et de l’Église. Personne n’assure ni la prévention ni ne paie les dégâts.

     

    Un abîme sépare l’Occident de l’islam, une antinomie d’univers conceptuel oppose irrémédiablement Momo et Juliette, tous ceux qui prétendent bâtir des ponts entre ces deux mondes sont criminels et fous.

     

     

    Leila Qadr et Abel Zaoui