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     L'Islam est une religion  d'amour.C'est que l'on  entend à la télé ou de la part de la bouche des hommes politiques.Ceux-ci n'ont jamais lu le Coran,car celui-ci est  l'équivalent du faux antisémite des protocoles des sages de Sion.Il est aussi le prototype du livre d'Hitler "Mein Kampf,comme le disait le maréchal Lyautey.Le Coran développe l'antisémitisme,comparant les juifs à des singes et les accusant de corrompre la terre:c'est le thème des protocoles des sages de Sion.

    C'est le livre de la guerre pour la soumission des peuples.D'ailleurs,Islam veut dire soumission.

     

    Ce despote criminel,qui prêche la guerre et coupe la main des voleurs qu'est Allah dans le Coran ressemble en tous points à l'Antichrist.C'est l'exact contraire du Dieu Père du christianisme qui prend soin de ses enfants et qui prône l'amour de l'humanité,car nous sommes tous issus du même Père

    Voici ci-dessous un article publié par Dreuz info.

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    Peut-on avoir confiance en Allah, le dieu du Coran ?

    PUBLIÉ PAR GAIA - DREUZ LE 27 FÉVRIER 2020

     

     

     

    Source : Iqri

     

    Cette question n’est-elle qu’une simple provocation ou résume-t-elle la perplexité dans laquelle certains textes peuvent plonger le lecteur du Coran ? Rien de tel qu’une lecture attentive de certains passages pour évacuer toute équivoque.

     

    Dans le Coran, Allah affirme qu’il met la ruse à son service et qu’aucun être humain n’est à l’abri de ses complots. Ceux qui ont confiance en Allah, seront les perdants.

     

     

    « Ceux qui se sentent à l’abri du complot d’Allah sont les gens perdants ». (Sourate 7. 99)

     

     

    Allah complote contre les êtres humains

    Comme Allah l’affirme lui-même, il n’y a que les ignorants pour se croire à l’abri de sa ruse et de ses complots. Il est en effet libre de comploter contre ses propres créatures et de leur tendre des pièges.

     

    Sourate 3 : ALI-IMRAN (LA FAMILLE D’IMRAN), verset 54, dit clairement qu’Allah agit sur le même plan que les comploteurs ordinaires mais qu’il les surpasse grandement : « Et les autres se mirent à comploter. Et Allah aussi a comploté. Et c’est Allah qui est le meilleur des comploteurs ! » (Sourate 8.30 confirme ce propos).

     

     

     

    Pourquoi Allah complote-t-il contre ses propres créatures ? Pour que les êtres humains finissent par tomber dans son piège. Il répète cette affirmation dans les passages suivants :

     

    « Et je leur accorderai un délai, car ma ruse est solide ! » (Sourate 7.183)

     

     

     

    « Et je leur accorde un délai, car ma ruse est solide ! » (Sourate 68.45)

     

     

     

     

    Allah égare certains êtres humains pour en remplir l’enfer

    En plusieurs endroits, Allah déclare qu’il égare des êtres humains parce qu’il s’est promis d’en remplir l’enfer :

     

    « SI NOUS (ALLAH) L’AVIONS VOULU, NOUS AURIONS APPORTÉ À CHAQUE ÂME SA BONNE GUIDÉE. MAIS LA PAROLE VENANT DE MOI (ALLAH) DOIT ÊTRE RÉALISÉE : « J’EMPLIRAI L’ENFER DE DÉMONS ET D’HOMMES RÉUNIS TOUS ENSEMBLE ». (Sourate 32.13)

     

     

    C’est pour cela qu’Il les a créés. Et que la parole de ton Seigneur s’accomplisse : « Très certainement, Je remplirai l’Enfer de démons et d’êtres humains, réunis tous ensemble ». (Sourate 11.119)

     

     

    Toute personne qui lit le Coran se pose, à un moment ou à un autre, la question de la cohérence de ses propos. Bien avant leur création, le dieu du Coran rêve de remplir l’enfer d’êtres humains. Il souligne que cela doit se réaliser car il a créé ces personnes pour que sa promesse soit accomplie.

     

    La totale souveraineté d’Allah

    « Allah égare qui il veut et guide qui il veut. » (sourate 35.8) 

     

     

     

    Ceux qu’Allah a égarés le sont définitivement, ainsi que le précisent les deux sourates suivantes :

     

    « Celui qu’Allah égare ne trouvera plus personne pour le guider. » (Sourate 13.33)

     

     

     

    « Vous voulez donc remettre dans le droit chemin ceux qu’Allah a égarés ! Mais il n’y a point de rachat pour les personnes qu’Allah a vouées à l’égarement ! » (Sourate 4.88)

     

     

     

    Allah, le dieu du Coran

    En résumé, Allah, créateur de tous les êtres humains ne manifeste ni amour ni compassion à leur égard. Il affirme lui-même qu’avant leur création, il a destiné une grande partie d’entre eux à brûler en enfer, alors même qu’ils n’ont encore fait ni bien ni mal. Quant aux autres, ils n’ont été créés que pour être ses esclaves !

     

    Allah se définit lui-même comme un comploteur dont la ruse est très supérieure à celle du diable. Dès lors, comment comprendre l’affirmation selon laquelle musulmans et chrétiens adorent le même Dieu ? Si la souveraineté d’Allah se résume à l’arbitraire le plus complet, quelle ressemblance existe-t-il entre lui et le Dieu saint, juste et aimant qu’a révélé Jésus le Messie ?

     

    Peut-on avoir confiance en Allah, le dieu du Coran ? Chacun est maintenant en mesure de répondre à cette question.

     

     

     

     ( Source: DREUZ-INFO)

     

    DREUZ.INFO EST LE SITE DE CHRÉTIENS AMÉRICAINS FRANCOPHONES, CONSERVATEURS ET PRO-ISRAÉLIENS, QUI TRAITE DE GÉOPOLITIQUE

     

     

     

     

     


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    Hussein Elgohary : L’islam, un culte catastrophique pour l’humanité

    PUBLIÉ PAR MAURICE SALIBA LE 21 FÉVRIER 2020

     

    Hussein Elgohary, ingénieur électronique égyptien, connait bien l’islam par ses origines familiales et son éducation. Il subit, dès sa naissance l’endoctrinement islamique. Mais ses recherches ultérieures bouleversent totalement la conception initiale qu’il a acquise de l’islam et des valeurs de cette croyance dont il était imprégné. Elles lui prouvent également que cette présumée religion n’est rien d’autre qu’une idéologie néfaste pour l’humanité.

    Cet ingénieur électronique égyptien qui a contribué en 1972 à l’élaboration de la lecture du système des codes-barres, s’est intéressé, depuis 2001, à approfondir l’évolution civilisationnelle de l’homme. Ses investigations l’ont amené à constater que cette évolution suit une règle d’or ayant quatre composantes : les outils, la langue, l’ordre social et la vision cosmique. Toutes se complètent, s’interfèrent et s’impactent mutuellement.

     

     

     

    L’application méthodique de cette règle à l’islam le bouleverse. Il en sort convaincu que cette croyance dans laquelle il est né, n’est rien d’autre « qu’un culte catastrophique pour l’humanité ». Depuis 2016, il publie régulièrement en arabe ses réflexions (plus de 170 articles) sur Facebook comme sur des sites électroniques, notamment sur son compte dans ahewar.org. Les réflexions suivantes sont tirées de ses articles qui l’ont amené à ce constat angoissant et effrayant, mais plein de discernement. Nous les présentons aux lecteurs francophones pour faciliter leur compréhension de la nature de l’islam, la prise de conscience de ses effets pervers, mais aussi pour en tirer les leçons qui s’imposent.

     

    Hussein Elgohary définit la règle d’or, la projette sur l’islam et explore ses conséquences

    Ma règle d’or est un principe facile et simple qui me guide dans mon comportement avec mes semblables. Chaque fois que je me rapproche de l’Autre, j’agis envers lui comme j’aimerais qu’il agisse envers moi, même si nos positions et nos convictions se révèlent différentes ou diamétralement opposées…

     

    Cette règle d’or qui émane de l’amour et du respect d’autrui, est le pilier de la foi chrétienne et de nombreuses autres croyances et conceptions philosophiques… Elle s’impose comme principe directeur devant régir les relations entre les humains et permettre de répondre à leurs besoins croissants…

     

    La pierre angulaire du succès de cette règle d’or réside dans la conviction des individus que leurs décisions et leurs actions sont les seuls qui déterminent leur destin dans la vie.

     

    Notre croyance islamique est aux antipodes de cette règle d’or, puisqu’elle est totalement dépourvue de tout ce qui favorise de près ou de loin ce principe directeur déterminant. La preuve de cette défaillance se manifeste dans les relations de nos peuples les uns avec les autres. Elle est destructrice à tous les niveaux. Les adeptes de cette croyance ont toujours été et le sont encore divisés, perturbés et désemparés à cause de l’orientation verticale de leur allégeance vers une « symbolique de leur foi » au détriment de leur loyauté horizontale les uns envers les autres…

     

    Par conséquent, ils ne peuvent trouver aucun lien susceptible de les réunir ni de leur assurer une coexistence harmonieuse et paisible. Cette désintégration est calamiteuse en soi, d’autant plus que les musulmans eux-mêmes avouent leur fatalité et leur incapacité d’acquérir la maîtrise de leur destin. Celui-ci est préétabli en raison de leur conviction religieuse qui révèle que le destin de tout être humain se trouve à l’avance gravé sur une tablette conservée au septième ciel depuis la nuit des temps…

     

    Quant aux conséquences désastreuses de cette stupide fatalité mentale, elles sont multiples. L’absence totale du concept de cette règle d’or dans l’esprit de l’homo islamicus conduit impérativement à favoriser toutes les relations dévastatrices dans nos sociétés. Ce qui signifie clairement que l’islam constitue en soi la cause directe de la détérioration de nos relations morales et sociales, de notre corruption, de nos incapacités collectives pour répondre aux besoins de nos peuples, de notre paralysie quasi totale dans l’achèvement de toute action collective à long ou à court terme, de notre travail hasardeux, de l’absence de propreté dans nos villes et cités, du vacarme permanent dans notre environnement, etc. Ces carences ne peuvent cesser de s’empirer et de s’aggraver… En bref, nos communautés musulmanes ne sont pas en mesure d’éviter le précipice vers lequel elles s’acheminent. Sans vouloir faire la promotion de la règle d’or que je préconise, j’estime que l’absence de cette règle dans les enseignements de l’islam est destructive pour notre avenir (ahewar.org, 19.12.2016).

     

     

     

     

     

    La nature psychique de l’homo islamicus et les causes de son drame existentiel

    Le musulman ressemble à une brique creuse, sèche, privée d’autocollant ou de tout produit nécessaire à sa cohésion avec les autres briques. Cette sécheresse dans l’ADN du musulman n’est que le produit naturel des cinq piliers de l’islam et leur négligence désastreuse de toute relation de l’être humain avec ses semblables. À cela s’ajoute l’incitation incessante dans les parties complémentaires de ce culte [Hadith, Sira, Sunna, Sharia] au rejet comme à la haine des autres pour différents prétextes. In fine, le musulman se révèle comme une personne inapte à toute réalisation fructueuse. Il n’excelle que dans sa frénésie collective barbare pour s’adonner seul ou en groupe au vol, au pillage, à la délinquance, au viol des femmes et à la destruction des biens publics et privés (ahewar.org, 1.05.2019).

     

    L’islam est un culte et pas une religion

    Mes recherches, mes observations et mon vécu me permettent de déduire que l’islam est un culte à caractère sectaire et pas une religion. Il existe uniquement pour servir les intérêts d’un groupe mafieux qui s’approprie ou confisque les structures de sa gestion. Ce groupe est composé de dirigeants politiques liés étroitement par une alliance indéfectible à des juristes [fuqaha’] et des commissaires gardiens de la croyance [imams, oulémas, prédicateurs]…. Ce culte asphyxie l’esprit des gens, égare leur conception de la vie et détruit les relations entre eux. Il faut criminaliser l’islam et l’éradiquer du cerveau des gens… C’est la seule solution pour nos peuples affligés (ahewar.org, 15.09.2019).

     

    Détails de la règle d’or d’Elgohary

    En tant que croyance, l’islam est situé aux antipodes de la capacité de développer des outils et de les produire. Toutes les données et les preuves confirment que les sociétés musulmanes, comparées à d’autres sociétés qui produisent des ordinateurs, des téléphones portables, des avions, des missiles, etc., ne semblent pas faire partie de la race humaine mais de celle des singes. En effet, le développement et la production d’outils nécessitent des efforts communs et une accumulation collective de connaissances. Ce phénomène fait défaut en islam, parce que cette idéologie sectaire incarne une croyance destructrice des relations entre les humains. Il lui manque l’esprit de coopération, d’engagement, de créativité, d’exactitude et du sérieux. Cette défaillance mortifère entraîne l’absence de toute accumulation et fructification de connaissances entre ses adeptes de quelque manière que ce soit.

     

    Sur le plan sociétal, l’islam se trouve également aux antipodes du concept de l’égalité entre les êtres humains. Ceci explique pourquoi tous les systèmes de domination politique en islam sont oppressifs, tyranniques et injustes envers les droits naturels de leurs citoyens. La raison se trouve dans les enseignements et les pratiques de l’islam. L’individu musulman ne croit pas qu’il est responsable de lui-même, puisqu’il est certain que c’est la volonté de son dieu Allah qui détient le pouvoir d’ordonner et d’interdire dans tous les domaines de sa vie et que l’islam n’est rien d’autre que la soumission absolue à cette volonté.

     

    En même temps, le musulman n’est en aucune manière autorisé à s’opposer à cette volonté quoi qu’il arrive… Un groupe mixte politico-clérical détient tous les systèmes de domination islamique. Des dirigeants politiques et religieux s’attribuent des pouvoirs absolus qu’ils considèrent comme révélés d’une manière opaque mais réelle et tangible … Donc, ce groupe en profite pour consolider sa position privilégiée et confirmer son pouvoir en manipulant sournoisement la stratégie de « diviser pour bien régner ». Telle pratique impacte l’esprit de l’individu musulman et lui fait croire que « l’autre » [le non-musulman] est méchant ou envieux. Ainsi le musulman lambda se trouve généralement obsédé par la peur de cet « autre » et par la méfiance permanente à son égard.

     

    Quant aux sociétés musulmanes spécifiquement arabophones, leur drame dépasse tout entendement en raison de leur langue qu’est l’arabe. Cette langue, utilisée pour développer et promouvoir la littérature islamique, a déjà acquis un halo de sacralité qui se reflète dans son usage quotidien de façon calamiteuse dans plusieurs domaines. Le recours à cette langue affecte très gravement l’être humain, comme dans les trois cas suivants :

     

    (a) La forme prime sur le fond. En effet, se tromper ou non n’a aucune importance. L’essentiel c’est de faire ce qu’on veut sans que personne ne le sache.

     

    (b) Les textes et même les dits des uns et des autres sont sanctifiés. On se fie à ce que « untel a dit, untel a rapporté ou a raconté ». Cette conception idolâtre produit une aberration absurde dans le comportement individuel et collectif. Ainsi untel dit qu’il fera ceci ou cela, son énoncé lui permet d’apaiser son esprit et de dormir sans souci, comme s’il avait effectivement fait ce qu’il a dit ou promis de faire.

     

    (c) Dès que quelqu’un parvient à parler un arabe littéraire de façon un peu éloquente avec un ton oratoire et à utiliser des expressions ou des versets coraniques bien articulés, il s’octroie aussitôt le droit de s’autoproclamer ‘âlim [savant en sciences islamiques]. Ainsi réussit-il souvent à réunir autour de lui des gens pour l’écouter avec ou sans conviction, abstraction faite du contenu de son discours, fût-il juste ou faux, rationnel ou illogique [C’est le cas de nombreux imams, dont beaucoup autoproclamés, prédicateurs et recteurs de mosquées en France et ailleurs].

     

    Elgohary en tire un constat pathétique et troublant

    De ces faits avérés, nous tirons des leçons éminemment incontestables :

     

    1. Il est impératif de mettre un terme à la stupidité et à l’aliénation mentale lorsqu’on compare la situation de l’Europe au Moyen Âge avec nos conditions actuelles dans le monde arabo-musulman, pour justifier notre sous-développement.

     

    2. Les sociétés musulmanes, notamment arabophones, ne connaîtront ni réforme, ni succès, ni prospérité, sans que l’islam, la pensée islamique et ses pratiques soient éradiqués du cerveau de nos parents et de nos peuples… La seule solution de s’en sortir consiste à remplacer la croyance islamique par un ensemble de concepts basés sur la « règle d’or » déjà énoncée (ahewar.org, 03.01.2020).

     

     

    Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de

    Maurice Saliba pour Dreuz.info.

     

    Maurice Saliba est l’auteur de L’islam mis à nu par les siens. Anthologie d’auteurs arabophones post 2001. Éditions Riposte Laïque, 2019 (Préface d’Henri BOULAD)

     

     

    A propos de l’auteur

    Maurice Saliba est sociologue, ancien consultant auprès des agences onusiennes en Afrique et dans les pays arabes.

     

    Depuis 2001, il observe le phénomène de contestation au sein de l'islam et en publie des articles et des témoignages.

     

    Traducteur, entre autres, de Le Prêtre et le Prophète. Aux origines du Coran de Joseph Azzi (2001), de Allah cet Inconnu de Mohamed (Paul) Rahouma (2012), de L'islam fabrique de déséquilibrés de Wafa Sultan (2016) et de Daech et l'islam. L’analyse d’un ex-musulman de Frère Rachid (2017). Auteur de L'islam mis à nu par les siens. Anthologie d'auteurs arabophones post 2001 (2019).

     

     

     (Source: DREUZ-INFO)

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Les hommes ont autorité sur les femmes,

    en  vertu de la préférence

    que Dieu a accordé sur elles,

    et à cause des dépenses qu'ils font pour assurer leur entretien.

    Les femmes vertueuses sont pieuses:

    elles préservent dans le secret ce que Dieu préserve.

     

    Admonestez celles dont vous craignez l'infidélité;reléguez-les  dans les chambres à part ET FRAPPEZ LES.

    Mais ne leur cherchez plus querelle,

    si elles vous obéissent.

    Dieu est élevé et grand"

     

    (Le Coran Sourate IV -verset 34 - Editions Folio Traduction D.Masson)

     

    C'est la brutalité et l'inhumanité du satané Coran.

    On n'a jamais vu ça  même dans l'antiquité.En Egypte antique par exemple,il y avait égalité entre l'homme et la femme.De nombreuses femmes sont devenues reines d'Egypte.En Inde,de nombreuses Déesses sont adorées et il subsiste même le culte de la yoni.

    Il semble bien que c'est le monothéïsme,inventé au moyen Orient,le roi absolu,sans parèdre féminine qui ait amené cette vision abjecte de la société.


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    Macron, le mensonge et les Frères Musulmans 

    parYves Mamou - 24 février 2020 (Dans "le Causeur")

     

     

     

    Constatant que l’islam « consulaire » est gravement défaillant, Macron charge les Frères de clientéliser les Français musulmans. Une inquiétante manœuvre politique, selon Yves Mamou.

    Feu le célèbre islamologue Bernard Lewis racontait dans un de ses livres que le Président Nasser avait demandé à des militaires pakistanais d’auditer ses forces armées. Nasser voulait connaître les forces et faiblesses du dispositif militaire égyptien. Quelques semaines plus tard, la commission pakistanaise pliait bagages en laissant le message suivant : « monsieur le président, une armée ou le soldat ment au sergent, ou le sergent ment au lieutenant, ou le lieutenant ment au capitaine, ou le capitaine ment au colonel qui ment à son tour au général qui ment à l’état-major lequel délivre de fausses informations au pouvoir politique pose un problème qu’il n’est pas dans notre compétence d’analyser et de résoudre ».

     

    Ne surtout pas stigmatiser les musulmans, attention!

    Quiconque auditerait les relations de la France face à l’islam et l’islamisme, quitterait le territoire au bout de quelques semaines en laissant un message similaire à celui des militaires pakistanais. Sauf qu’en France, le mensonge ne part pas du bas de la société ; il est secrété par le bloc élitaire (classe politique-multinationales-médias) pour intoxiquer l’ensemble de la société.

     

     

    Ainsi, pour la justice et la police, les djihadistes ne sont pas les guerriers de l’islam mais des « déséquilibrés » et dans le meilleur des cas des « loups solitaires ». Pour la classe médiatique, les fanatiques musulmans qui ont chassé la jeune Mila de son école et l’ont menacée de mort sont des « victimes » offensées par le vocabulaire violent de la jeune fille, et les « hidjabistes » (pour reprendre le terme de Zineb el Razhoui) qui hantent nos rues sont pour les Dominique Sopo et autres Yassine Belattar, des militantes des droits de l’homme.  Il n’est donc pas étonnant qu’à Mulhouse, le 18 février, Emmanuel Macron ait jugé « stigmatisant » de reconnaître que la France avait un problème avec l’islam.

     

    Trois influences extérieures malignes identifiées

    Pour ne pas avouer à l’opinion publique que l’immigration musulmane de masse génère d’insolubles problèmes de sécurité, d’inégalités, d’incivilités, le président s’est livré à un subterfuge. Emmanuel Macron a développé l’idée que les Français musulmans sont bons par nature, mais qu’une influence étrangère travaillait à les pervertir. Trois mesures phares du programme de Mulhouse sont donc destinées à restaurer en France, un islam à l’état de nature, c’est-à-dire un islam bon, débarrassé d’influences extérieures malignes :

     

    La première concerne le financement des mosquées par des puissances étrangères. « Des mesures fortes seront prises pour mieux contrôler les financements étrangers des lieux de culte, pour garantir leur pleine transparence. Nous avons besoin de transparence sur les origines et les finalités ». Pas question de tout interdire, mais une loi prochainement votée ouvrira les portes à plus transparence.

     

    La seconde, concerne les Elco, (enseignements en langues et cultures d’origine étrangère). Ces enseignants venus de l’étranger, qui ne parlent pas le français et qui, dans le cadre de l’éducation nationale – mais sans que l’éducation nationale ait un droit de regard sur leur activité – ont la main sur 80 000 élèves français d’origine algérienne, tunisienne ou turque. Dire qu’une menace « séparatiste » voire djihadiste s’exerce depuis 1977, date de création des Elco est un euphémisme.

     

    La troisième pernicieuse influence étrangère concerne « le système des imams détachés » et autres « psalmodieurs » qui sont accueillis spécifiquement chaque année lors du ramadan. Trois cent imams étrangers ne parlant pas le français cesseront de venir prêcher un islam étranger et peut être dangereux en France.

     

    Et si on demandait leur avis aux peuples européens?

    Ces trois mesures marquent la sortie de ce mensonge que notre président appelle l’ « islam consulaire » mais qui est en réalité la conséquence de quatre décennies de Dialogue Euro-Arabe (DEA). L’historienne britannique Bat Ye’or a parfaitement analysé dans Eurabia (Ed Jean-Cyrille Godefroy) la succession d’alliances et d’allégeances qui a amené l’Union européenne a discrètement s’inféoder aux pays arabes : en échange d’hydrocarbures et de marchés, l’Europe a accepté de s’ouvrir à toujours plus d’immigration, à toujours plus de concessions sur la langue arabe, à toujours plus de mosquées et à toujours moins d’intégration des travailleurs immigrés musulmans.

     

     

    Le séparatisme islamique auquel Emmanuel Macron a annoncé vouloir s’attaquer est la conséquence de quatre décennies de cette discrète politique d’accueil et d’autonomisation de migrants musulmans en France et en Europe. Discrète, car bien sûr les peuples européens n’ont jamais été consultés ni sur l’immigration musulmane de masse, ni sur cette calamiteuse « alliance » euro-arabe qui a eu pour effet de chasser les classes populaires françaises des banlieues des grandes villes, de chasser les élèves juifs des écoles de la République dans les quartiers sensibles et de réprimer la liberté d’expression chaque fois que quelqu’un a tenté de poser le débat de la place de l’islam et de la place des musulmans dans la République.

     

    Le mensonge n’est pas (seulement) qu’à Mulhouse Emmanuel Macron ait masqué tout cet arrière-plan historico-diplomatique entre l’Europe et le monde arabe, le mensonge est dans la solution qu’Emmanuel Macron a mis en place pour remplacer l’islam consulaire défaillant.

     

    La menace CFCM

    Les sociétés arabes étant elles-mêmes travaillées et disloquées par les courants islamistes, les pays d’Europe pourraient reprendre leur indépendance et commencer à intégrer leurs populations musulmanes avec un savant mélange de carotte et de bâton. Mais ce n’est pas la voie choisie par Emmanuel Macron. Le tuteur consulaire faisant aujourd’hui défaut – ou se révélant dans le cas de la Turquie plutôt menaçant – , le président de la République a choisi de confier les Français musulmans à un autre tuteur mensongèrement présenté comme authentiquement national.

     

    Le Conseil français du culte musulman (CFCM), cette créature hybride inventée par Nicolas Sarkozy en 2003, est présenté comme LA solution franco-française pour incarner un islam de France débarrassé des influences étrangères.OR,LE CFCM,DEPUIS LES ORIGINES,EST UNE STRUCTURE SOUS CONTROLE DES FRERES MUSULMANS.ET LES FRERES MUSULMANS SONT UNE CONFRERIE ISLAMISTE INTERNATIONALE,QUI N'A AUCUNE TRADITION SUR LE SOL FRANCAIS ,QUI VOILE LES FEMMES MUSULMANES PARTOUT OU ELLE S'IMPLANTE,PRATIQUE LE TERRORISME QUAND CELA FAIT AVANCER SES PLANS ET QUI EST INTERDITE PARTOUT AU MOYEN ORIENT,SAUF AU QATAR ET A GAZA.

     

    Le CFCM, dont le bilan politique depuis 2003 est proche de zéro, est donc sommé par le Président « de prendre ses responsabilités et de formuler des propositions rapides et claires pour assurer l’exercice en France d’un islam dont toutes les pratiques doivent se conformer aux lois de la République ». Par quel miracle le CFCM pourrait-il répondre aux attentes présidentielles ? Par le miracle des dons dont la fée République l’a doté ! L’Association pour l’islam de France (AMIF) que dirige Hakim el Karoui mettra à la disposition du CFCM des centaines de millions d’euros collectés dans la poche des Français musulmans (taxe halal, pélerinages…). A ces centaines de millions s’en ajouteront des centaines d’autres piochés dans la poche des non-musulmans : subventions aux associations des quartiers sensibles, crédits à l’emploi, crédits de la politique de la ville (« le réinvestissement de l’Agence nationale de rénovation urbaine avec là aussi un réinvestissement inédit depuis la première génération »)…

     

    Où qu’ils se tournent (pèlerinage, travail, logement…), les Français musulmans auront les Frères pour interlocuteurs. Cette organisation que Donald Trump envisage de placer sur la liste des organisations terroristes, cette confrérie qui prône la charia, qui pratique en France le djihad judiciaire (procès contre Houellebecq, Zemmour, Charlie Hebdo, Bensoussan…), qui a soutenu les jeunes fanatiques qui ont chassé Mila de son école, a pour mission de « clientéliser » tous les Musulmans de France !

     

    Il est hors de question de penser qu’Emmanuel Macron « ignore », « ne sait pas », « évalue mal » … toutes expressions que les lanceurs d’alerte utilisent depuis deux décennies pour masquer leur perplexité face aux errements du pouvoir. Emmanuel Macron sait ce qu’il fait et agit en conscience, bien que le mot (« conscience ») ne soit pas adéquat. Faut-il voir dans cette étrange et calamiteuse politique la volonté d’un « deal » entre les Frères et Emmanuel Macron qui sécuriserait son deuxième mandat à la présidence de la République ? Comme l’écrit Céline Pina à propos des maires de Roubaix et Maubeuge, « on aimerait savoir si c’est le clientélisme qui les empêche de voir ou si le pouvoir les aveugle au point que seul leur intérêt particulier les guide ».

     

     

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    L'auteur,Yves Mamou

    Ancien journaliste du Monde, il est l'auteur de Le grand abandon: Les élites françaises et l'islamisme (L'Artilleur)

     

     

     

     

     


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    La lubricité d'un âne.

     

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    Le Coran,un livre de guerre d'un fanatique à l'usage des ennemis de l'humanité.

     

    "LA PERIODE D'ATTENTE SERA DE 3 MOIS,MEME POUR VOS FEMMES QUI N'ESPERENT PLUS DE MENSTRUATION,ET POUR CELLES QUI SONT IMPUBERES

     

     

    La période d'attente des femmes enceintes se terminera avec leur accouchement.

    Dieu facilite les choses pour celui qui le craint."

    (Coran: Sourate 25 verset 4 -Editions Folio- traduction  de D.Masson)

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    LE CORAN AUTORISE LE MARIAGE ET LA DÉFLORATION DE GAMINES IMPUBÈRES (CORAN 65.4)…

    10 août 2016 | 

     

    (Source:Islam et Vérité)

    "Le Coran autorise le mariage et la défloration de gamines impubères (Coran 65.4).

    Cette affirmation peut choquer de nombreux musulmans, elle fait pourtant l’objet d’un consensus parmi tous les savants du Coran.

    C’est si beau la loi d’Allah, qu’en décembre 2016, la justice tunisienne a autorisé le mariage d’une adolescente de 13 ans avec un membre de sa famille qui l’a mise enceinte…

    Le concept de prostituées halal se trouve dans le Nikah al-Mut’ah, le « mariage de plaisir ».

    Le client signe un contrat de mariage temporaire avec la prostituée, lequel peut durer de quelques heures à quelques jours. A l’expiration du contrat, le couple n’est plus marié, et le « mari » doit payer une « dot » à sa « femme ».

    A El-Hawamdia, un village d’Égypte situé à 20 km au sud du Caire.

    Chaque été, selon l’agence de presse IPS, de riches touristes des Etats du Golfe envahissent l’Egypte pour fuir la chaleur oppressante de la péninsule arabique et s’installent dans des hôtels luxueux et des appartements du Caire.

    De là, les riches touristes saoudiens se rendent dans leurs luxueux 4×4 dans le village voisin d’El Hawamdia, un village pauvre situé à 20 km au sud du Caire. Des intermédiaires les attendent le long des routes, et leurs proposent des locations très courtes durées, et surtout, fournies de ce qui fait la spécialité de la ville : des plaisir sexuels avec des mineures dans le strict respect de la sharia.

    Selon IPS, ce sont des milliers de fillettes de 11 à 18 ans qui sont vendues chaque année par leurs familles à ces vieux riches sous le couvert d’un Nikah al-Mut’ah, un « mariage de plaisir » halal qui durera de quelques heures à quelques semaines, selon les arrangements.

    Les « intermédiaires » offrent également la livraison des fillettes dans les hôtels du Caire ou séjournent les saoudiens, rapporte IPS.

    Combien ?

    Une jeune prostituée pour une journée de « mariage » est facturée 800 livres égyptiennes, environ 80 euros. L’argent est partagé entre l’intermédiaire et les parents de la fille. Pour l’été complet, le prix va de 20 000 livres (2 000 euros) à 70 000 livres (7 100 euros), selon l’âge, les plus jeunes étant les plus prisées.

    La prostitution halal a été interdite par une loi égyptienne en 2008. Mais la loi n’est pas appliquée. Le pays est au bord de la faillite, et il a un besoin vital de ces très riches touristes.

    Selon Azzael- A shmawy, directeur du Centre contre le trafic d’enfants du Conseil national de l’enfance et de la famille égyptien, certaines fillettes ont été mariées 60 fois avant d’arriver à l’âge de 18 ans.

    Et tout ceci est parfaitement légal : aucun musulman ne conteste le fait religieux qu’un homme peut se marier avec une fillette pré-pubère. A la fois le coran et les hadith l’autorisent, et Mohammed lui-même s’est marié et a eu un rapport sexuel avec A isha quand elle n’avait que 9 ans.

    Au Liban, le Hezbollah propose même des prostituées halal pour assurer son recrutement :

    Les musulmans s’imaginent donc qu’il est facile de tromper leur Dieu avec le stratagème du Nikah al-Mut’ah…



    Ce qui différencie fondamentalement une épouse légitime d’une prostituée est la somme versée proportionnellement à la durée du mariage, car là où n’est pas Dieu, l’Argent est roi (Lc 6.24). Le mariage temporaire, appelé en Occident prostitution, est légitimé par le Coran (4.24), et pratiqué aussi bien par les chiites (nikah*-al-mutaat) que par les sunnites (nikah-al-misyâr). ‘Abd-Allah ibn Mas‘ûda a dit : “Nous participions aux expéditions avec le Prophète et comme nous n’étions pas accompagnés de nos femmes, nous lui demandâmes s’il ne fallait pas nous châtrer. Mais, le Prophète nous interdit de le faire ; puis, il nous autorisa le mariage temporaire en contrepartie d’une pièce d’étoffe à titre de mahr.” Puis, ‘Abd-Allah récita ce verset : “Ô Croyants, ne déclarez pas illicites les bonnes choses qu’Allah vous a rendues licites. Et ne transgressez pas ! Allah n’aime pas les transgresseurs.” (Muslim I.152). N’est-ce pas que l’islam est la religion qui enseigne ce qui est convenable et interdit ce qui ne l’est pas (Coran 3.110) ?



    Dans la religion d’Allah, le mâle n’a tout de même pas tous les droits : S’il a une petite épouse et qu’elle tète encore sa fille, sa mère ou sa sśur, ou la femme de son frère, son mariage est invalidé et elle devient illicite pour lui. Parce que par cet allaitement, elle est devenue sa fille, sa sśur, sa nièce. Et s’il a deux épouses – une petite et une adulte – et que l’adulte allaite la petite, alors l’adulte devient illicite pour lui parce qu’elle est devenue la mère de sa femme. (Ayatollah Ruhollah Khomeini, Tahrir al-Wassiila, Vol.2, p.248, ISBN 978-1496120663). Un musulman peut non seulement épouser sa propre fille née en dehors de son foyer, mais aussi des fillettes, comme Allah l’établit lorsqu’il traite de la répudiation, établissant que les épouses qui ne sont pas encore pubères sont soumises aux mêmes dispositions que celles qui sont enceintes ou ménopausées (Coran 65.4)… Pour échapper à la honte de ce verset certains musulmans font valoir qu’une chose est le mariage et autre chose sa consommation. Ce verset ne concernerait donc que des épouses impubères vierges. Or, un autre verset traite du délai d’attente en cas de divorce et avant la consommation du mariage (Coran 33.49), en sorte que si un délai d’attente est aussi prescrit en ce cas aux épouses impubères, il est alors établi qu’il est non seulement possible d’épouser des fillettes impubères mais encore de les déflorer… Ce qui s’appelle en pratique imiter le Prophète, parce que ce dernier a lui-même commis cette abomination au témoignage de Aïcha, son épouse préférée : J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa et neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations sexuelles avec moi. (Bukhari 58.236 ; Muslim 2547)[1]. Mahomet avait alors 54 ans. Il n’est malheureusement pas rare que, pour tenter d’innocenter leur Prophète de pédo-criminalité et justifier leurs propres mariages avec des fillettes, des musulmans avancent qu’une fillette peut avoir ses règles dès l’âge de huit ans… comme si cela suffisait à la rendre mature et libre d’engager sa vie ! C’est ainsi par exemple qu’au Yémen, la loi autorise le mariage des fillettes dès l’âge de neuf ans[2] et que le grand Mufti d’Arabie saoudite pouvait déclarer le 24 avril 2012 : Nos mères et nos grands-mères se sont mariées quand elles avaient à peine 12 ans. Avec une bonne éducation une fille est prête à remplir toutes les tâches conjugales à cet âge.[3] Ce vice immonde, encore donc légalement pratiqué ou remis à l’honneur dans nombre de pays musulmans, avait déjà été interdit par les Romains 1200 ans avant la venue de l’islam… Est-ce que vraiment le sort des femmes en islam doit être mis au nombre des progrès que celui-ci aurait apportés ?



     



    [2] En septembre 2013, au Yémen, la mort de Rawan, huit ans, par hémorragie vaginale, la nuit de ses noces avec un homme de quarante ans son aîné à qui son père l’avait vendue pour près de 2000 € a, un temps, défrayé la chronique de quelques journaux occidentaux…



    [3] Le cheikh marocain Mohamed Ben Abderrahman Al Maghrawi, a publié une fatwa en 2008 autorisant le mariage des fillettes dès l’âge de neuf ans. Grâce à une intervention occidentale et à la médiatisation internationale de son procès, Nojoud Nasser, 8 ans, a osé demander le divorce deux mois après ses noces au motif de mariage forcé par son père et d’abus sexuels par son ex-mari de vingt-deux ans son aîné (Moi Nojoud, 10 ans, divorcée, J’ai lu, 2009). Elle a eu plus de chance qu’Elham Mahdi al-Assi, fillette de 12 ans, originaire du nord-ouest de Sanaa, décédée en raison “d’une hémorragie résultant d’une déchirure vaginale” peu après sa nuit de noces avec un homme de trente ans son aîné ; ou Fawzia Abdallah Youssef, morte en couches à l’âge de 12 ans. Ces exemples, parmi tant d’autres, n’émeuvent pas les Autorités islamiques qui rejettent l’éventualité de modifier l’âge du mariage des fillettes en disant : Les musulmans doivent rejeter cette décision politique qui porte atteinte à leur Prophète. Nous devons rester libres de nous marier très tôt. (Ouléma Issa Al-Qassem). Abd Al-Hamid Al-Ubeidi, expert irakien en loi islamique, estime que les filles musulmanes sont mûres plus rapidement que les occidentales : Dans des pays froids, comme la Russie, la Biélorussie, la Scandinavie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, une fille ne peut atteindre sa maturité sexuelle avant vingt-deux ans. Chez nous, c’est beaucoup plus tôt à huit ou dix ans.… Pour mémoire rappelons que l’âge légal du mariage établi par le Parlement de Rouen en 1666 était de vingt ans pour les filles et les garçons… Il a fallu attendre la fameuse libération sexuelle de 1968 pour que le Code Civil abaisse l’âge légal du mariage à 18 ans pour les garçons et 15 ans pour les filles.

    Le commentaire (tafsîr) complet du Coran d’Ibn Kathîr (http://bibliotheque-islamique-coran-sunna.over-blog.com/article-le-commentaire-tafsir-complet-du-coran-d-ibn-kathir-sourate-87-a-114-121185210.html)

     

    Près de 2000 jeunes en Grande-Bretagne, dont la grande majorité sont des filles, ont été mariés avant l’âge de 18 ans entre 2010 et 2015.



    LONDRES, le 23 octobre (Fondation Thomson Reuters) – À l’âge de 13 ans, Zee est revenue de l’école un jour pour trouver une fête de fiançailles chez elle dans le nord de l’Angleterre, mais son enthousiasme pour les célébrations s’est rapidement transformé en choc.

    « J’ai demandé à ma mère qui allait se marier. Elle a dit: » C’est toi « « , a déclaré Zee à la Fondation Thomson Reuters.

    Sa fiancée était représentée par une photo – une cousine plus âgée qu’elle n’avait jamais rencontrée et qui vivait en Afghanistan, le pays de naissance de ses parents.

    « Je ne suis même pas autorisé à parler aux garçons et le lendemain, on me dit que je vais me marier« , a déclaré Zee."



















     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     



     

     





     

     



     

     

     

     

     

     





     

     

     

     

     

     

     

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