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    Insigne nazi du régiment ukrainien Azov

    Les accointances néonazies du Juif V. Zelensky: parlons-en
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    Quand Vladimir Poutine a annoncé vouloir « dénazifier » l’Ukraine, plusieurs médias occidentaux et leurs « experts maisons » ont tourné en dérision ses propos en arguant que le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, est juif. Autrement dit, l’Ukraine ne peut pas être dirigée par des néonazis puisque son président est d’ascendance juive.
    Un tel argument est-il recevable ? Peut-on être juif et fricoter, pour ne pas dire entretenir des relations pour le moins particulières, avec des néonazis ?
    En vérité, rien n’est impossible, et l’histoire fourmille d’exemples de collaborations contre-nature entre gens ou groupes de personnes que tout semblait pourtant opposer. La Seconde Guerre mondiale, par exemple, est riche d’enseignements à ce propos. En effet, des historiens juifs ont mis en exergue la complicité de certains Juifs avec le régime nazi contre d’autres Juifs. Le phénomène était certes marginal, mais il a existé. Les Judenräte, par exemple, ont joué un rôle non négligeable aux côtés du Troisième Reich.
    Grâce aux documents d’archives déclassifiés par les États-Unis et la Grande-Bretagne et grâce aux travaux de certains historiens, on sait également que sans l’appui des industriels états-uniens, Adolf Hitler n’aurait jamais tenté son aventure européenne. Le journaliste d’enquête américain Edwin Black, fils de survivants polonais de l’holocauste, a décrit dans un livre comment IBM, via sa filiale allemande IBM Dehomag, a participé à l’entreprise de la mort nazie. Aux États-Unis même, les victoires de l’Allemagne Nazie en Europe de l’Ouest étaient célébrées et plusieurs grands industriels américains figuraient parmi les convives. C’est notamment le cas de James Mooney, un des hauts dirigeants de General Motors, et Edsel Ford, le fils d’Henri Ford, pour ne citer que ces deux-là.
    L’Europe n’était pas en reste puisque les élites sociales et politiques attendirent de Hitler de grandes prestations anti-soviétiques. Rappelons par ailleurs, à ce dernier propos, les paroles attribuées au sénateur Harry Truman, qui deviendra quelque temps après le président des États-Unis : « Si nous voyons l’Allemagne gagner, nous devrions aider la Russie, et si la Russie est en train de gagner, nous devrions aider l’Allemagne pour que le plus grand nombre possible périsse des deux côtés. » Truman aurait tenu ses propos en 1941.
    La suite, on la connaît. À la fin de la guerre, les Américains, dans le cadre de l’« opération Paperclip », recrutèrent et exfiltrèrent des milliers de scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel du Troisième Reich pour s’en servir tant dans leur propre complexe militaro-industriel que contre l’URSS.
    Ce bref survol de l’Histoire est essentiel pour comprendre ce qui se passe aujourd’hui en Ukraine. Le fait que Volodymyr Zelensky soit Juif et se retrouve à travailler avec des néonazis n’a rien d’illogique. Cela peut paraître surprenant, voire invraisemblable, pour des gens qui ont une vision manichéenne de l’Histoire et des enjeux géopolitiques auxquels les acteurs impliqués en Ukraine sont confrontés. Or ces enjeux n’ont cure du manichéisme ambiant dans lequel baignent un grand nombre de médias, d’« experts » et de politiques occidentaux. Comme le fait observer Allan Ripp dans un article publié sur le site Internet de la chaine américaine NBC News,« aussi important qu'il soit de défendre le drapeau jaune et bleu contre l'agression brutale du Kremlin, ce serait un oubli dangereux de nier l’histoire antisémite de l’Ukraine et sa collaboration avec les nazis d’Hitler, ainsi que l’adhésion récente de certains milieux à des factions néonazies. »
    En fait, tout est avant tout question de positionnement et d’intérêts. Voici comment la situation se présente. Les Américains n’aiment pas les Russes et c’est réciproque. Les néonazis ukrainiens n’aiment pas les Ukrainiens russophones et la Russie. Comme dans les années 1940, les Américains décident de se servir de ces groupes néonazis ukrainiens pour « faire la fête » aux Ukrainiens russophones et à leur parrain russe. Le Juif Volodymyr Zelensky, qui arrive au pouvoir en grande partie grâce au vote des russophones de l’Est, tente de mettre fin à la guerre qui perdure au Donbass et de normaliser les relations avec la Fédération de Russie. Mais les Américains, qui tiennent à faire de l’Ukraine un élément essentiel de leur dispositif contre la Russie, le dissuadent de prendre cette direction. « Zelensky le Juif » acquiesce. Mieux, il se retrouve à travailler, à son corps défendant ou non (lui seul sait) avec les néonazis formés et armés par les États-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada.
    En clair, chacun se positionne en fonction de ses intérêts, quitte à sceller des partenariats ponctuels en fonction des enjeux du moment. On l’a vu dans les années 1940 entre les Américains et les Nazis. On l’a constaté en Afghanistan où les Yankees se sont alliés à monsieur Ben Laden et à ses copains moudjahidines — que l’administration Reagan n’avait pas hésité à qualifier de « combattants de la liberté » — pour « faire la fête » aux Russes, avant de se retourner contre les barbus. On l’a également vu en Syrie, où les Israéliens n’ont pas hésité à « fricoter » avec des groupes djihadistes antisémites cherchant à renverser le gouvernement de Bachar al-Assad... avec le soutien de certains pays occidentaux qui combattent les mêmes mouvements intégristes sur d’autres théâtres de conflit et d’atrocités.
    Compliqué, tout cela, pour des journalistes et des « experts », qui, de manière générale, ont une vision manichéenne de l’Histoire, de la géopolitique et du fonctionnement du monde. Enfermés dans des logiques binaires, ils sont incapables de composer avec la nuance et la complexité. Or, il ne suffit pas de dire Juif, Zelensky, Hitler et nazi pour rendre compte de la complexité du réel. Et ce n’est pas parce qu’on brandit à tout va le nom du Führer qu’on doit impérativement cesser de réfléchir sur l’Histoire et sur les évènements auxquels l’on associe ce nom.
    La vérité qui fâche pour finir : Adolf Hitler était le mal absolu fait chair sans être le méchant. Il ne l’était pas vraiment en tant qu’allié objectif des États-Unis et de certaines élites européennes soucieuses d’en finir avec l’Union soviétique dans les années 1940; et il était ou est devenu le « grand méchant » à partir du moment où il a décidé de s’attaquer aux Occidentaux.
    En réalité, et cela est difficilement acceptable en Occident, le seul grand péché de Adolf Hitler est d’avoir infligé aux Blancs des souffrances que ceux-ci avaient l’habitude d’infliger aux non-Blancs pendant des siècles. L’historienne afro-colombienne Rosa Amelia Plumelle-Uribe fait observer à juste titre que «l’Allemagne, même nazifiée, n’était ni le Congo ni l’Amérique du Nord », où les Européens exercèrent une violence inouïe qui fit des dizaines de millions de morts. Et c’est en toute justice que l’historien français Léon Poliakov, pionnier de l'histoire de la Shoah, dira combien il est « important de faire ressortir la responsabilité de l’Occident tout entier dans la formulation et la propagation d’un racisme dont le Troisième Reich fut l’aboutissement extravagant mais logique. »
    Pour ainsi dire, Adolf Hitler n’a rien inventé; il est juste allé plus loin que les autres. Et l’histoire semble malheureusement se répéter en Ukraine... avec pratiquement les mêmes acteurs. Avec au final, un terrifiant bilan matériel et humain pour le pays et pour sa population.
    Continuez donc à tomber sous le charme de ce bel acteur en lui envoyant aveuglément des armes qui tombent également entre les mains des ses amis nazis. L'histoire retiendra justement que vous ne retenez rien d'elle en refaisant continuellement les mêmes erreurs sinon en perpétuant les mêmes plans machiavéliques.


     
     
     
     

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    Jeune fille avec problème de peau Images De Stock Libres De Droits

     Affection cutanée de la variole

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    Variole du singe : fièvre, ganglions... qu'est-ce que le virus "Monkeypox", dont des cas ont été identifiés en Europe ?

     

    Des cas de "variole du singe" ont été détectés l

    Publié le 19/05/2022 à 09:12 , mis à jour à 09:49

    Des cas de "variole du singe" ont été détectés au Royaume-Uni, au Portugal et maintenant en Espagne. L'OMS tente d'en savoir plus sur ce virus.

     

    Le Covid, et maintenant, la variole du singe. Après le Royaume-Uni, l'Espagne et le Portugal ont annoncé ce mercredi 18 mai à leur tour avoir recensé plus d'une quarantaine de cas suspects ou confirmés de variole du singe, une maladie rare en Europe. Doit-on pour autant s'inquiéter ?

     

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a en tout cas dit mardi vouloir faire la lumière, avec l'aide du Royaume-Uni, sur les cas de variole du singe détectés dans ce pays depuis début mai, notamment dans la communauté homosexuelle. Il convient toutefois de préciser qu'à ce stade, aucun lien avec l'orientation sexuelle des cas ne peut être officiellement établi.

     

    Le "Monkeypox", c'est quoi ?

    Il s'agit d'une maladie peu fréquente, qui se manifeste généralement par de la fièvre, des douleurs musculaires, des ganglions lymphatiques enflés et une éruption cutanée sur les mains et le visage, comme une varicelle, détaille un communiqué des autorités sanitaires de la région de Madrid

     

     

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    IL ÉTAIT UNE FOIS

    Juin 1981, le début d'une longue guerre contre le sida

    Le 5 juin 1981, une revue scientifique aux États-Unis fait état de jeunes homosexuels atteints d’un mal mystérieux. En France, des médecins sont confrontés à des cas similaires. Les morts brutales côtoient de folles rumeurs, des stigmatisations... Les prémices d’un combat multifront toujours mené 40 ans plus tard.

     

    Publié le

    Samedi 5 Juin 2021

     

     

    Atlanta, États-Unis, 5 juin 1981. Un article scientifique décrit cinq cas de malades à Los Angeles ; un deuxième article paraît début juillet à propos de patients similaires, à New York et en Californie. En communiquant sur les atteintes observées chez de jeunes homosexuels, des médecins américains partagent leur perplexité. De quoi s’agit-il ? D’un épiphénomène ? D’une nouvelle maladie ?

     

    On compte alors à peine plus de 30 cas sur 230 millions d’Américains et 4,5 milliards d’êtres humains. Pourtant, le signal va fonctionner. Malgré ce faible nombre de cas et le caractère relativement confidentiel de la revue des centres américains de prévention et de contrôle des maladies, la nouvelle fait écho assez vite, en France aussi.

     

    Un problème immunitaire

    À Paris, Willy Rozenbaum est assistant chef de clinique au service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Claude-Bernard. Il a lu l’article de la revue américaine lorsqu’il reçoit un patient qui présente une fièvre persistante. Ce dernier enchaîne ensuite de multiples affections : à chaque fois que le Dr Rozenbaum traite un problème, un autre surgit. Ces atteintes répétées lui font penser à un problème immunitaire.

     

    Par ailleurs, il sait que son patient est homosexuel, multipartenaire et qu’il a séjourné aux États-Unis. La conjonction de ces éléments l’amène à faire le lien avec les cas étudiés à Los Angeles. Fin 1981, un autre médecin français, l’immunologiste Jacques Leibowitch, est confronté à d’autres cas. Avec la Dr Odile Picard, il soigne deux jeunes homosexuels dont les symptômes leur font penser aux observations faites à New York sur le sarcome de Kaposi.


  • Peut être un dessin animé de texte


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    Peut être une image de 3 personnes et texte qui dit ’Et l'Ukraine remporte le championnat du monde de body bulding Pro-Poutine’


  • Peut être une image de chien et texte