•  La première partie publiée du 6ème rapport du GIEC donne l'alerte - Les  clés du social 

    LES ¨PETS DES VACHES SONT CONSIDéRéS AUSSI COMME GAZ A EFFET DE SERRE.L'ABSURDE ECOLO N'A AUCUNE LIMITE,COMME PAR EXEMPLE METTRE DES LOUPS A PROXIMITE DES MOUTONS AU NOM DE LA SAUVEGARDE DES ESPECES.

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     LE CO2 DE NOS ENERGIES FOSSILES(GAZ,CHARBON) POUR PRODUIRE L'ELECTRICITE EST LE BOUC EMISSAIRE POUR FAVORISER LA MULTIPLICATION DES CENTRALES DU LOBBY NUCLEAIRE.QUID DES ACCIDENTS NUCLEAIRES ET DES DECHETS NUCLEAIRES ? LE FEU NUCLEAIRE A NOS PORTES.VOIR FUKUSHIMA ET TCHERNOBYL.

     

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    > Études par Alain Mathieu

    le 18 mars 2018

    Le réchauffement est-il dû au CO2 ?

    Dans son « résumé à l’attention des décideurs » de 2014 le GIEC indique qu’« il est extrêmement probable que (les émissions humaines de gaz à effet de serre) aient été la cause principale du réchauffement ». Qu’en pensent les climato-sceptiques ?

     

    Ils disent :

    1) On ne sait pas encore avec certitude quelle est la cause du réchauffement. Peut-être les variations d’activité du soleil ? les rayons cosmiques ? les aérosols ? les variations de la nébulosité ? les variations de la durée de rotation de la terre ? Dans son avis du 3 novembre 2015, l’Académie française des sciences indiquait : « il reste de nombreuses questions en suspens nécessitant un programme de recherche soutenu ». C’est ce que disent les « climato-sceptiques ».

     

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    2) Si la quantité de CO2 dans l’atmosphère était la cause principale du réchauffement, ne devrait-on pas observer une hausse régulière de cette température, proportionnelle à la teneur en CO2, qui augmente régulièrement. Comment expliquer alors les périodes de refroidissement (1880-1910 ; 1945-1975 ; stagnation depuis 1998) ?

     

    3) Il est possible que le réchauffement soit la cause principale, et non la conséquence, de l’augmentation de la teneur de l’atmosphère en CO2.

     

    4) Le réchauffement a des effets positifs sur les rendements agricoles (encore accrus par l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère), le tourisme, les besoins de chauffage, le nombre de décès dus au froid.

     

    5) Si l’« effet de serre » existe, les émissions humaines n’y jouent sans doute qu’un rôle secondaire puisque leur stock dans l’atmosphère pourrait ne représenter que 4,8 % du stock total de CO2 dans celle-ci.

     

    6) L’« effet de serre » n’est pas prouvé. Dans une serre il existe une barrière physique (verre ou plastique) bloquant l’air dans une enceinte fermée. L’« effet de serre » créé par le CO2 est de nature différente. Il est ainsi décrit par le GIEC : « le CO2 piège le rayonnement infrarouge thermique ; le globe qui rayonne moins vers le cosmos doit donc se réchauffer ». Or les mesures du rayonnement infrarouge de la terre faites depuis 1974 par les satellites de la NOAA, une administration américaine, ne constatent aucune baisse de ce rayonnement, compris entre 225 et 240 watts par mètre carré. Le réchauffement ne serait donc pas dû à une baisse du rayonnement infrarouge causée par l’effet de serre.

     

    7) Devant des données aussi peu sûres, ne prenons pas de décisions nocives et coûteuses. L’Allemagne a rendu inutilement plus onéreuse sa production d’électricité. Ne faisons pas la même erreur. D’autant plus que, même si l’effet de serre existe, la contribution française (1 % des émissions humaines) est marginale, et nos efforts dérisoires. Si en outre nous arrêtons des centrales électriques nucléaires, nous augmenterons comme l’Allemagne nos émissions de CO2.

     

    8) Notre production d’électricité dépasse nos besoins. La France est le premier exportateur mondial d’électricité (7 % de sa production) et n’a pas besoin de nouvelles productions. Sous le prétexte de « sauver la planète », le gouvernement français oblige EDF à acheter à des propriétaires de « fermes » éoliennes et photovoltaïques des kilowatts dont elle n’a pas besoin, à des prix maintenus pendant dix ans à un niveau compris entre deux et trois fois le prix de revient d’EDF avec ses propres installations. Les subventions versées à EDF pour combler la différence sont financées par des impôts payés par tous les Français sur leur consommation d’électricité. Ces subventions feront dans quelques années monter de 30 % le prix de l’électricité, y compris pour les « précaires énergétiques » (les Français trop pauvres pour pouvoir payer leurs factures d’électricité). Des petits malins ont compris qu’en produisant de l’électricité à ces prix garantis pendant dix ans ils pourraient devenir millionnaires. L’un d’eux est même devenu milliardaire. C’est une politique ubuesque, enrichissant des riches au détriment des pauvres. Il est urgent de l’arrêter, comme l’a fait notamment le Royaume-Uni.

     

    9) Le gouvernement français a fait voter une loi limitant à 50 % en 2025 la part du nucléaire dans la production d’électricité. Mais le ministre Nicolas Hulot a reconnu que cet objectif ne serait pas atteint. Ce sera au plus tôt en 2035 et sans doute bien après.

     

    10) Les prévisions d’évolution des technologies sont toujours difficiles. Qui aurait parié il y a 15 ans sur le pétrole de schiste et le gaz de schiste, qui ont révolutionné le marché et fait baisser de moitié le prix du pétrole brut ? Que deviendront les recherches sur des tissus remplaçant les panneaux photovoltaïques et pouvant à terme faire baisser le prix de l’électricité qui en proviendrait ? Les prix des batteries permettant de stocker les productions d’électricité intermittentes suivront-ils le chemin de la baisse vertigineuse des prix des transistors ? Trouvera-t-on le moyen de faire baisser le coût du transport à grande distance de l’électricité ? En couvrant 5 % de la superficie du Sahara en panneaux photovoltaïques, on pourrait produire toute l’électricité consommée par la planète, si elle était transportable à peu de frais. Un gouvernement sage ne s’engagerait pas sur un chiffre déterminant la part du nucléaire dans vingt ou trente ans dans la production d’électricité.

     

    11) Un gouvernement sage renoncerait à son interventionnisme dans le domaine de l’énergie : fixation arbitraire des prix, subventions et taxes nuisibles, fermeture autoritaire de centrales nucléaires, etc. Il s’efforcerait de créer un marché équitable, sans subventions, dans lequel des producteurs d’électricité en concurrence se battraient pour produire et vendre au prix le plus bas possible.

     

    12) En l’absence de certitude sur les causes du réchauffement climatique, n’empêchons pas les pays en développement de se doter de centrales électriques au charbon.

     

    13) Il est irréaliste de prévoir, comme le fait le GIEC, que les émissions de gaz à effet de serre seront réduites de 50 % d’ici à 2050.

     

    14) Neuf auteurs ont publié le 15 mai 2013 une étude cherchant à évaluer le « consensus » scientifique sur les thèses du GIEC concernant le réchauffement climatique dû principalement à l’homme. Ils ont examiné 11.944 articles sur le sujet parus dans des revues scientifiques entre 1991 et 2011. Les résultats ont été les suivants : 66,6 % ne prennent pas position ; 0,7 % considèrent l’influence humaine comme négligeable ; 0,7 % considèrent que l’influence humaine explique plus de 50 % de la hausse des températures ; 32 % considèrent qu’il y a une certaine influence humaine. Le GIEC en a déduit que « plus de 97 % des scientifiques » étaient favorables à ses thèses. C’était une falsification, reprise depuis par de nombreux hommes politiques. La vérité était : la majorité des scientifiques ne prend pas position ; la majorité de ceux qui prennent position estiment que les activités humaines ont une certaine influence sur l’élévation des températures ; très peu considèrent que l’influence des émissions humaines est prépondérante.

     

    15) La vérité d’une théorie scientifique ne dépend pas du nombre de savants qui la soutiennent. Sinon, les théories de Copernic, Galilée, Newton, Pasteur, Einstein, de la tectonique des plaques, n’auraient jamais été admises. Le doute est un puissant facteur de progrès scientifique.

     

    La conclusion est donc : ne nous excitons pas ! Dans de nombreux pays les hausses de la température atmosphérique et du CO2 seront bienfaisantes (c’est pour l’avoir écrit que le chef du service météo de France Télévision a été licencié). Les catastrophes dont on nous menace sont exagérées. Les Européens, qui sont moins concernés que les habitants des pays chauds par ces catastrophes, sont ceux qui s’en inquiètent le plus. Les mesures préconisées pour les éviter sont très probablement incapables de les éviter, et certainement nuisibles. La France et son président ne devraient pas prendre la tête d’une croisade aussi ridicule.


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    Donbass : drame au cœur de l’Europe

    20 AOÛT 2019

    Donbass : drame au cœur de l’Europe

    par NIKOLA MIRKOVIC

     

    La guerre au Donbass dure depuis 2014 et a déjà fait des dizaines de milliers de victimes. Comme en Yougoslavie, l’Union européenne se révèle incapable de rétablir la paix sur son continent, dans des villes qui ont pourtant accueilli l’Euro de football en 2012. Washington et Moscou se partagent le leadership de l’Ukraine, reléguant les Européens au second plan, alors même qu’ils sont signataires des accords de Minsk II. Point d’étape sur la situation actuelle au Donbass où la paix semble bien loin d’advenir.

     

     

    Nikola Mirkovic, président de l’association Ouest-Est, qui vient en aide aux victimes de la guerre du Donbass. Propos recueillis par Conflits

     

    Votre association vient en aide aux victimes de la guerre du Donbass, conflit que vous suivez depuis le début. Aujourd’hui, quel bilan humain peut-on tirer de ce conflit qui a débuté en 2014 ?

     

    Le bilan humain donne le vertige. On compte depuis 2014 plus de 13 000 morts, 30 000 blessés et un million de réfugiés. Des villages et des quartiers de villes entiers ont été dévastés. L’approvisionnement en eau et en électricité ou l’accès à des biens de première nécessité alimentaires, pharmaceutiques, etc. sont un problème majeur également. C’est une zone noire en pleine Europe du XXIe siècle.

     

    Quelle est la situation militaire au Donbass ? La ligne de front est-elle stabilisée ? Les principales villes de la région sont-elles touchées par les bombardements et les affrontements ?

     

    Nous sommes passés d’une guerre de mouvement à une guerre de position et on peut dire que la ligne de front est globalement stabilisée même s’il y a des incursions dans la zone grise des deux côtés de temps en temps. Certaines zones peuvent encore basculer d’un camp à l’autre, mais c’est rare. En revanche les combats continuent quotidiennement le long des quelque 400 kilomètres de ligne de front. Les quartiers Nord ou les premières villes périphériques des grandes villes comme Lougansk et Donetsk sont touchés, car ils sont sur la ligne de front. Mais si vous visitez les deux centres-villes, il vous est parfois difficile de deviner qu’il y a une guerre à quelques kilomètres.

     

    Comment vit le Donbass par rapport à l’Ukraine ? Les relations sont-elles complètement coupées avec Kiev ou bien y a-t-il encore des liens politiques ou économiques ? 

     

    Le Donbass indépendantiste est organisé en deux républiques la République populaire de Donetsk (RPD) et la République populaire de Lougansk (RPL). Ces deux républiques ont proclamé leur indépendance suite aux événements du Maïdan et au coup d’État qui a renversé le président Ianoukovicth. Les habitants du Donbass ont voté leur autonomie par référendum et c’est à partir de ce moment-là que Kiev leur a déclaré la guerre. Dans le cadre des accords de Minsk II signés en 2015, il y a des négociations officielles entre les deux républiques et Kiev, mais elles n’avancent pas. Les liens économiques ont été stoppés suite à l’imposition d’un blocus par Kiev sur le commerce avec le Donbass. Les deux républiques se sont organisées en Etat et ont leur propre constitution, leurs propres administrations et même leurs propres armées. Elles ont tous les attributs d’un État régalien, mais ne sont pas reconnues par la communauté internationale.

     

     

     

    Qu’en est-il de la place de la Russie dans ce conflit ? Est-ce que Moscou intervient directement ou indirectement ?

     

    Le Donbass est une région majoritairement russophone et qui a historiquement appartenu plus longtemps à la Russie qu’à l’Ukraine. Les relations avec la Russie sont donc importantes et les liens profonds. Moscou est d’autant plus concernée que la guerre se déroule sur  sa propre frontière. Le Kremlin n’a pas pour autant envoyé son armée sur place contrairement à ce que certains médias ont laissé croire, ce sont des volontaires locaux qui se sont eux-mêmes organisés en armée. Moscou doit certainement apporter du conseil militaire et un soutien logistique, mais ça ne va pas plus loin que cela. Les États-Unis en revanche fournissent les militaires ukrainiens en armes, conseillent l’armée ukrainienne et envoient des soldats sur place officiellement pour assurer de la formation. Aussi Moscou a apporté énormément d’aide humanitaire et développe les relations commerciales avec les deux républiques.

     

    Les républiques ont abandonné la hryvnia ukrainienne pour utiliser le rouble russe. Récemment Poutine a octroyé aux habitants du Donbass la possibilité d’obtenir la nationalité russe.

     

    Le Donbass a-t-il la volonté d’être indépendant ou bien de rejoindre la Fédération de Russie ? Compte tenu de la dureté de ce conflit, est-il possible que le Donbass rejoigne l’Ukraine ?

     

    J’y suis allé une petite dizaine de fois depuis cinq ans et je sens vraiment que les habitants veulent rejoindre la Russie. Cinq ans après l’Euromaïdan, la situation de l’Ukraine est catastrophique. Porochenko a ruiné le pays et n’a répondu à aucune des aspirations des Ukrainiens. Quand les habitants du Donbass voient cela, ils n’ont pas du tout envie de redevenir ukrainiens. C’est d’ailleurs la promesse du président de la RPD Pouchiline qui parle « d’intégration » avec la Russie. Le problème est que le Donbass est presque une épine dans le pied de Moscou. Si Moscou accepte une intégration de ces régions, elle sera accusée d’impérialisme comme pour la Crimée même si c’est la volonté réelle des habitants du Donbass. Comme ce sujet est justement très sensible il est possible aussi que le Donbass réintègre un jour l’Ukraine dans un modèle fédéral ou avec une large autonomie, Kiev garderait la tête haute et la Russie ne serait plus accusée de belligérance tout en gardant des amis proches au sein des institutions ukrainiennes capables de freiner un Kiev trop atlantiste. La dernière possibilité est le statu quo comme en Ossétie du Sud, en Transnistrie, en Chypre du Nord ou le Haut-Karabakh. En tout état de cause il est inenvisageable de concevoir l’avenir comme avant. Trop de sang a coulé pour imaginer une réintégration complète des régions indépendantes du Donbass dans le giron kiévien.

     

    La guerre se déroule depuis cinq années, dans une grande indifférence des Européens. Peut-on espérer une fin prochaine du conflit et la reconstruction de la région ?

     

    C’était un des thèmes principaux de la campagne du nouveau président ukrainien Volodymyr Zelensky, il faut voir maintenant comment il s’y prend et s’il arrive à dominer l’aile radicale de son armée soutenue par le Pentagone. Moscou a besoin de la paix sur sa frontière, mais elle ne peut pas laisser l’OTAN s’implanter sur son pas-de-porte.  L’Europe est indifférente, car elle a laissé la manette à Washington qui est trop content de mettre la pression sur la Russie sur sa frontière occidentale. C’est dommage que l’Europe et notamment la France et l’Allemagne, signataires des accords de Minsk II, ne joue pas un rôle plus important. Les Européens n’ont pas besoin de nouvelles guerres sur leur continent ni que d’autres nations négocient en leur nom. Tant que Washington jouera la carte de la tension sur le grand échiquier cher à Brezinski il n’y aura pas de paix au Donbass ni en Ukraine.

     


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     "La variole du singe"

    La variole du singe provoque notamment des éruptions cutanées très douloureuses. (PHOTO D'ILLUSTRATION)

     

    "Tu ne t'uniras pas à un homme comme on  s'unit avec une femme,c'est une abomination."

    (Lévitique:18:22)

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    "C'est le 5 juin1981 que le centre de contrôle des maladies d'Atlanta identifie le sida chez 5 jeunes homosexuels à San Francisco.

    Un mois plus tard,le sida est diagnostiqué chez 26 homos américains.On parle à l'époque de cancer gay."

    (Source France Info)

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    BFMTVSANTÉ

    "ÇA SE RAPPROCHE ET RIEN N'EST FAIT": LA COMMUNAUTÉ GAY INQUIÈTE FACE À LA DIFFUSION DE LA VARIOLE DU SINGE

    Jeanne Bulant

    Le 08/07/2022 à 11:23  | MAJ à 14:15

     

     

     

     

    À mesure qu'augmente le nombre de personnes infectées par la variole du singe, l'inquiétude grandit en France. S'ils ne sont pas les seuls concernés, les hommes ayant des relations homosexuelles commencent à redouter une flambée épidémique.

    "Les témoignages que j'ai pu voir font vraiment peur, les symptômes ont l'air assez extrêmes... À l'approche de l'été, ça ne fait pas rêver." Installé à Paris, Théo a décidé d'arrêter totalement de voir d'autres hommes pendant quelques temps. Ce céramiste de 33 ans a fait ce choix par crainte de contracter la variole du singe, à l'heure où le nombre de cas augmente en Europe et en France depuis le printemps.

     

    Plus de 6000 cas sont désormais recensés dans le monde par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), dont 721 en France au 7 juillet selon Santé Publique France. Si la majorité des cas recensés concerne des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH), "d'autres groupes vulnérables sont aussi à risque", a rappelé une porte-parole de l'OMS. "Il y a eu quelques cas chez les enfants (et) chez des personnes qui ont un système immunitaire compromis."


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    UNEEK24 SUR FACEBOOK

     

    BHL CONDAMNÉ PAR LA JUSTICE POUR AVOIR TOUCHÉ 9 MILLIONS D’EUROS DU QATAR POUR SOUTENIR LA GUERRE EN LIBYE

    BHL condamné par la justice pour avoir touché 9 millions d’euros du Qatar pour soutenir la guerre en Libye

    Le philosophe français, Bernard Henri-Lévy, aussi appelé BHL, a été débouté par la justice française dans sa plainte pour diffamation contre le média Blast qui l’accusait d’avoir été le destinataire d’un virement de 9 millions d’euros en provenance de l’Emir du Qatar pour soutenir le déclenchement de la guerre en Libye

     

    Triste nouvelle pour BHL. Le philosophe français, Bernard-Henri Lévy, vient d’être débouté par la justice française dans ses poursuites contre le média Blast qui l’accusait d’avoir été le destinataire d’un virement de 9 millions d’euros de l’Emir du Qatar en contrepartie de son appui dans le déclenchement de la guerre en Libye. Pire, BHL a été condamné à une amende de 3 000 euros par la justice.

     

    C’est du moins ce que révèle Blast dans un article paru sur son site ce 29 juin. “La cour d’appel de Paris a débouté Bernard-Henri Lévy dans son procès contre Blast. Confirmant le jugement de première instance, qui déboutait BHL de toutes ses demandes – il réclamait 100 000 euros de dommages et intérêts, le retrait de l’article en cause et la publication dans la presse de la condamnation qu’il espérait – la cour d’appel confirme également la condamnation de l’écrivain globe-trotter à nous payer 3 000 euros”, révèle le média.

     

    Et Blast de poursuivre : “(…) finalement, la Cour d’appel, qui a rendu son jugement mercredi 29 juin, donne raison à Blast et déboute Bernard-Henri Lévy. Non seulement, la cour confirme le jugement de première instance, mais elle confirme aussi la condamnation de BHL à nous payer 3 000 euros au titre des frais de justice. Notre victoire est donc totale”.

     

     

     

    Ce 30 juin, c’est Denis Robert (apparemment journaliste au Blast) qui a relayé l’information sur son compte Twitte. “Je remercie la presse de ce pays d’informer de la défaite en appel de Bernard Henri Levy contre Blast. l’avons accusé d’être le destinataire d’un virement de 9 millions d’euros de l’émir du Qatar en contrepartie de son appui dans le déclenchement de la guerre en Libye”, s’est réjoui Denis Robert.


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    Mons: la criminalité devient de plus en plus violente

    Les instances judiciaires de la police fédérale Mons-Tournai  

    21 janv. 2017 à 14:32 - mise à jour 21 janv. 2017 à 14:32

     

    Par Marie Anne Brilot

     

     

     

    Si les instances judiciaires de l’arrondissement de Mons-Tournai dresse un bilan plutôt satisfaisant de l’année 2016, le procureur du Roi Christian Henry retape sur le clou : "les effectifs de la police judiciaire fédérale et du parquet sont entre 70 et 80% par rapport au cadre prévu. On doit demander toujours plus à un nombre plus réduit de personnes et cela ne fait que s’aggraver. On ne voit pas de perspectives d’améliorations pour cette année. Si les gens qui nous gouvernent ne voient pas la réalité, on se dirige vers le clash".

     

     

    Les mots sont clairs et pourtant les faits ne diminuent pas dans l’arrondissement judiciaire Mons-Tournai. "Nous devons jouer les équilibristes au quotidien entre l’urgent et le très urgent" ajoute le procureur du Roi. François Farcy est le directeur judiciaire et il ne dit pas autre chose. "Les laboratoires sont particulièrement touchés par cette pénurie d’effectifs et il faut faire aussi avec l’âge du personnel dans certains services".

     

    Les crimes de sang ne diminuent pas

    Le parquet de Mons a enregistré près de 53.000 nouvelles affaires l’an dernier dont 24 affaires criminelles qui ont été mises à l’instruction. Un constat tiré par François Farcy:  la violence reste très présente. "Si les chiffres globaux de la criminalité sont à la baisse, des phénomènes ne cessent de s’amplifier comme les home-jacking, les home invasion (les intrusions violentes dans les habitations), les braquages. Dans tous les milieux y compris celui des stupéfiants, chaque fois qu’on mène des opérations et des perquisitions, on trouve toujours des armes, parfois très lourdes, y compris des explosifs aussi et des grenades."  C’est un souci important pour les corps de police amenés à se protéger avec une formation renforcée par rapport à cette problématique et aux affaires de terrorisme aussi qui se multiplient.

     

    Une banque de données pour les libérés conditionnels

    Depuis 2015, la plateforme I+ Hainaut permet à tout moment de savoir quel détenu bénéficie d’une libération conditionnelle et quelles sont ses obligations. Une banque de données qui concerne aujourd’hui 14 zones de police qui dépendent du Parquet de Mons. "C’est un système d’information alimenté par les employés du parquet et qui permet de disposer d’informations en direct. Un outil efficace qui nous fait gagner du temps dans les signalements lors de contrôles, avant cela nous avions de 4 à 6 mois de retard dans la transmission des informations" nous précise Christian Henry, qui ajoute : "dans les prochains mois, cette banque de données va être étendue au parquet de Charleroi et elle couvrira donc 22 zones de police". Les priorités des instances judiciaires sont claires pour 2017 : gérer les déficits en personnel, maintenir le service à la population sans oublier la lutte contre le terrorisme et la criminalité violente, organisée et internationale.